Si l’art est ancien, le phénomène débute réellement avec les Hentaï japonais. Depuis, tout y passe, des personnages de dessins animés cultes jusqu’à Peepoodoo qui bouscule les conventions. Retour sur une tendance où les jeunes adultes préfèrent s’exciter sur des personnages « animés » plutôt que sur les films X de leurs aïeux.
Depuis les années 50 (1950) et Goldrake, chaque décennie a vu ses héros et surtout ses héroïnes sur papier glacé entretenir la frénésie de consommation d’un autre papier… toilette. Et, modernisme oblige, les courbes des jolis personnages s’agitent et s’animent désormais sur les écrans. La télévision d’abord et bien sûr, sur les ordinateurs, tablettes et surtout smartphones aujourd’hui.
Ce phénomène BD pour adultes débute réellement avec les Hentaï (mangas pornos japonais), pour en arriver à l’énigmatique « Peepoodo et ses personnages aussi étranges que cash. Pour Grégory, tout jeune adulte parisien de 20 ans, il y a d’abord le ton (humour décalé), l’hyper-sexualisation de certains personnages, mais aussi la pédagogie : « Peepoodo c’est énorme, tu comprends tout de la sexualité dans un langage accessible, hyper clair, grâce au docteur Lachatte. Elle t’explique le plaisir prostatique, les sextoys, etc. avec des schémas et croquis à la clé. Un vrai cours d’éducation sexuelle. » L’inventeur de ce nouveau genre porno-éducatif n’est autre que Balak, un jeune auteur français, patron des studios « bobbypills » et déjà créateur (ente autres) des célèbres Kassos. Il explique une partie de la réussite de Peepoodo grâce notamment au savant mélange de personnages trop mignons qui sont néanmoins affublés...Lire la suite sur Union
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