L’art divinatoire est vieux comme le monde, la phallomancie aussi ! Les prêtres égyptiens étaient consultés par les pharaons et autres vizirs afin de savoir si les crues du Nil allaient être fécondes ou si une guerre allait être gagnée. Les étrusques avaient les haruspices, les grecs, les Sibylles et la Pythie, les romains, les Augures et les Haruspices, les gaulois leurs druides.
Toutes les civilisations antiques ont eu recours à différentes méthodes de divination. On lisait dans les excréments, dans les entrailles d’un animal, dans le vol d’un oiseau et il est fort à parier que même les sociétés préhistoriques comptaient des sorciers et autres chamans.
Au XIIème Jean de Salisbury fait mention dans son ouvrage « Policraticus » de la chiromancie (de « chiro », la main en grec et de « mancie » la divination). Même si le mot n’apparait qu’entre le XIVéme et le XVème les premières traces écrites de cette pratique remontent à Aristote. Elle consiste dans l’interprétation des lignes de la main, de leurs croisements et de leurs monts.
De nombreux supports sont utilisés encore aujourd’hui : le marc de café (la cafédomancie), les pieds (la podomancie) ou encore les traits du visage et les rides du front (métopomancie). Et de la main au pénis, il n’y a qu’un pas.
L’Inde et le Tibet inventent la phallomancieL’origine de cette pratique se perd dans la nuit des temps mais on voit bien sa logique. Toutes les anfractuosités et plissures de la peau, où quelle...Lire la suite sur Union
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