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Les bienfaits corporels des massages sont connus et reconnus. En revanche, je ne m’attendais vraiment pas à ce qu’un simple massage du dimanche soir me fasse autant de bien. Non seulement il s’est transformé en fantasme vivant…mais aussi en torture. Je vous raconte tout !
Tout était pourtant parti d’une bonne intentionEn effet, je ne suis pas du genre à trainer dans des adresses douteuses. Désolée pour nos lecteurs habitués au mariage avec finitions, perso c’est pas mon truc. Bref, donc je suis en week-end dans le sud de la France, à Marseille, car c’est là que j’ai emménage depuis peu. … Lire la suite
Cet article J’ai testé pour vous : le massage érotique qui ne devait pas en être un est apparu en premier sur Desculottées.
“Votre peau est une source de plaisir” : en voilà une promesse intéressante. Pour autant, ce n’est pas tant la peau que le clitoris que nous allons exciter avec ce gel. Le principe ? On dépose une goutte du produit sur notre petit bouton, et c’est parti pour un rodéo de sensations !
La recette du bonheurLe packaging est très beau et épuré, touches de doré sur boîte blanche, on se dit qu’on a un produit de luxe entre les mains.… Lire la suite
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Nos premiers émois érotiques marquent profondément notre mémoire. Que ce soit une image, une sensation ou un jeu, ces moments de trouble indiquent souvent le début de la fin de notre innocence. Je peux dater très précisément cet instant où une image a fait naitre en moi cette excitation qui ne me quitte plus depuis. Je ne savais pas très bien à l’époque ce qu’il se passait dans mon corps, ni dans ma tête. Je me rappelle d’un début d’érection, d’avoir eu chaud et de rester scotché à l’écran. On était au début des années 90, 1991 précisément et j’avais à cette époque 7 ans. Le téléviseur familial diffusait Sébastien c’est fou de Patrick Sebastien, une émission fourre-tout du samedi soir avec un public jovial déguisé façon carnaval. L’émission classée grand public était empreinte des obsessions de l’animateur : ambiance cabaret et gros plan sur les seins nus d’une danseuse en guise de générique. C’était la télévision de cette époque, dans la continuité du Collaro Show, de Canal + et d’une certaine idée de la France polissonne mais néanmoins lourdingue.
Les cocogirls de Collaro
Patrick Sebastien avait annoncé dès le début du show qu’une séquence très chaude allait être diffusée, une sorte de première en France. Il n’en était pas à son coup d’essai, on avait pu voir Lova Moor se rouler dans la rosée du matin ou sans doute croiser ses collègues danseuses du Crazy Horse pour l’émission du réveillon. C’était pour les enfants que nous étions un mélange d’interdit (la fameuse phrase « éloignez les enfants du poste » étant martelée plusieurs fois dans l’émission) et de non sens : comment un enfant de 7 ans peut-il s’émouvoir d’une paire de seins sauf si il on lui dit qu’il n’a pas le droit de la voir ? À la maison, nous étions assez libres de regarder cette télévision, nos parents étaient là, on partageait ces moments de malaise érotique ensemble sans dire un mot. Pas d’interdit mais pas non plus de recommandation. En gros, à nous de nous faire notre propre opinion. Pour la personne curieuse que j’étais, il s’agissait d’un moment grisant mais aussi empli d’anxiété. Me voyaient-ils être troublé ? Pourquoi être là alors que ce Patrick Sebastien nous disait plusieurs fois de nous éloigner du poste ?
L’émission s’avance alors dans la nuit et le moment tant attendu et redouté arrive. Un dernier avertissement nous signale la diffusion imminente d’un nouveau clip du chanteur Prince. Patrick jubile. Un rectangle blanc, signalétique d’un programme n’est pas pour « tout public » apparaît et le danger s’approche, m’amenant dans cette zone trouble d’appréhension et de curiosité. Prince est alors au sommet médiatique de sa carrière. Devenu une superstar de la pop, en compétition avec Michael Jackson et Madonna (dont le clip Erotica ne manquera pas d’être diffusé dans la même émission avant d’avoir appelé encore une fois à « éloigner les enfants »), il s’entoure depuis 1990 d’un nouveau groupe : The New Power Generation (NPG) avec un son plus urbain, plus dur et agressif. Une synthèse de l’ère du temps, inspirée par le rap, tout en suivant les bases de sa musique : funk, fière et sexuelle.
Prince délaisse depuis quelques années son côté androgyne et ambigü pour revêtir un costume plus macho d’ultra séducteur, sorte de Casanova transporté dans l’époque de la prohibition (un imaginaire visuel qu’on trouve déjà dans la BO du film Batman qu’il compose en 1989). Prince domine de son regard et de sa présence les femmes avec qui il tourne dans ses clips. Elle se divisent en deux catégories : d’un côté les musiciennes avec qui il travaille, joue, aime et qu’il met en avant, de l’autre de grandes mannequins brunes et blanches, habillées de manière hyper sexy et dont le rôle est de valider sa propre über-sexualité. En ce samedi soir à une heure de grande écoute sur la chaîne la plus regardée de France, Prince n’est pas là, mais son clip va être diffusé. C’est celui de Cream, sorti sur l’album Diamond and Pearls.
Le clip commence sur un râle lancinant, une sirène qui alerte, un décompte à la cloche puis l’explosion d’un break tonitruant : quatre minutes de jarretelles, de corsets, de jambes écartées et d’attitude hyper sexuelle déboulent non stop devant mon innocence. Prince n’est définitivement plus le garçon qui chantait « Am I black or white, am I straight or gay? », il est bel et bien hétéro, star d’un threesome avec deux belles brunes qui semblent être sœurs (l’une incarne « Diamond », l’autre « Pearl »). La musique appuie son propos, tout est tendu et respire le cul à s’en étouffer. Les paroles sont explicites, cherchant à peine à se cacher derrière des double-sens. Patrick Sébastien avait prévenu, ça allait être chaud. Ça l’est. Mes yeux confirment, ma bite s’affole, la gène s’installe et ces quatre minutes semblent interminables. La séquence passée, l’animateur change rapidement de sujet et nous laisse barboter dans notre trouble. Ces images auront-elles un impact sur nous ? Difficile à dire, elles ont été pour ma part une sorte de catalyseur. En regardant ces images et en comprenant leur impact physique et mental, elles ont attisé ma curiosité. Le passage de ce clip est un des points de départ de la recherche d’images érotiques, puis porno, qui m’anime depuis bientôt 30 ans. D’une certaine manière, on peut remercier Patrick Sebastien d’avoir posé les bases du Tag Parfait dès 1991.
Je me souviens cependant revoir un camarade de classe courir et glisser sur les genoux vers une fille comme il avait pu voir dans Kiss. Les mouvements explicites de bassin qu’on retrouve à l’époque dans tous les clips de Prince mais aussi chez Michael Jackson dans The Way You Make Me Feel (1987) s’imitaient entre nous quand les adultes n’étaient pas là. Provocation, jeu et apprentissage de la sexualité, la pop culture à cette époque n’a pas l’impact du porno, mais n’en reste pas moins marquante. Diffusés dans un cadre grand public, ces images ont un poids certain car elles sont autorisées par la société, puisqu’elles ne font pas (ou peu) le cadre d’une censure, si ce n’est l’autorisation ou non de regarder ces images par nos parents.
Cette esthétique sexuelle et luxueuse couvrira la carrière de Prince de 1986 à 1992, celle la plus médiatisée avant que l’artiste ne s’engouffre dans une guerre avec sa maison de disques et se tourne vers la religion (marquant au début des années 00s, la fin des allusions sexuelles dans ses titres). Cette longue période de repli jusqu’à sa mort, même si elle est entre-coupée de morceaux à la hauteur de son génie, coïncide également avec une guerre contre le streaming. Très tôt, Prince a fait retirer tous ses morceaux des plateformes comme YouTube, ne laissant aux curieux que peu de solutions pour revoir ces clips, comme ils tournaient à l’époque sur MTV.
Le 21 avril 2016, Prince meurt d’une surdose de Fentanyl. Un an plus tard, ses morceaux refont surface sur les plateformes musicales (Spotify, Deezer…) ainsi que Youtube où une chaîne officielle permet de regarder ses clips et se replonger dans l’atmosphère particulière de cette époque. Une décision qui va à l’encontre de la volonté de l’artiste, mais qui me permet de vous faire un petit best-of commenté d’autres clips volontairement explicites de Prince.
KissOn retrouve dans Kiss tout ce qui allait faire l’esthétique sexualisée des clips de Prince qui suivront pendant une décennie. Il reste dans la séduction avec sa musicienne, la guitariste Wendy Melvoin et joue un jeu bien plus sexuel avec l’actrice Monique Mannen. La première est habillée, la seconde porte sous son voile une lingerie noire. La musique penche plus du côté sexy que sexuel, on reste un pas avant les préliminaires. Kiss sera un de ses plus grands tubes.
U Got The LookSorti en 1987, U Got The Look est tourné à Paris. On retrouve la chanteuse et actrice Sheena Easton et la batteuse Sheila E., Prince refait le coup de la séduction avec la première porté par un morceau à la ligne rythmique agressive. Le clip n’a pas pour but de provoquer la censure, mais offre un nouvel élément visuel qu’on retrouvera par la suite : l’ambiance défilé de mode et Fashion Week. Musicalement, le morceau pose les bases du son à venir avec The New Power Generation. Détail amusant : si vous avez l’œil, vous retrouverez Monique Mannen sous son voile à 1’11.
Gett OffSorti en 1991 sur le même album que Cream, le clip Gett Off nous transporte dans une orgie romaine organisée avec The New Power Generation. On retrouve une nouvelle fois Prince dans un threesome avec deux mannequins danseuses (celles qu’on voyait déjà dans Cream), attitude dominatrice et groupe qui la joue sensuel au fond mais pas trop (cette fois-ci c’est la chanteuse Rosie Gaines qui est mis en avant, sans pour autant avoir les faveurs du chanteur). Musicalement, on navigue entre pop, funk et new jack. Un peu bourrin mais toujours agréable à regarder.
Violet the organ GrinderViolet the Organ Grinder est la suite de Gett Off. Le morceau est disponible uniquement sur l’EP Gett Off qui comporte des remix du premier titre, dont une version house de Gett Off qui sera clippée plus tard. Le morceau emprunte des éléments de Gett Off et le clip est une version plus centrée sur Prince que le clip du premier. Un mix qui ne donne ni un clip remarquable, ni un morceau inoubliable, mais qui permet d’admirer Prince dans sa position d’animal sexuel, là où il excelle.
Sexy M.F.Sorti en 1992 sur l’album Love Symbol, Sexy M.F. poursuit l’idée du chanteur superstar accompagné de son groupe dans une esthétique du Chicago de la prohibition mixé avec le rap de l’époque dont il s’inspire. Le titre aura le droit à sa censure (et une version « clean » de l’album), ce qui n’empêchera pas le clip d’être largement diffusé. On retrouve tout le monde dans celui-ci, même les deux filles de Gett Off et Cream dont le plan à trois semble être une valeur sûre pour Prince en avant. Synthèse du son avec The New Power Generation, difficile de faire plus cul et arrogant. Le tube est immédiat. La suite des clips est un peu moins marquante, mais vous pouvez les retrouver ici si vous êtes curieux.
Image en une : Prince, Diamond (Lori Elle) & Pearl (Robia La Morte)
Vu sur Rapports du troisième type, SF et érotisme
Un recueil de nouvelles associant science fiction et érotisme a été récemment publié aux éditions…
Cet article provient de Littérature érotique
Dans la ville où repose Georges Bataille, une exposition lui est consacrée. Intitulée “Les Saintes de l’abîme”, elle met en scène deux activités problématiques : la jouissance et l’extase. Ces deux activités ne reposent ni sur l’utile, ni sur le calcul, ni sur le gain.
Dans notre société, ceux et celles qui jouissent «trop» sont appelés «addicts». Quant aux «folles de dieu» et aux «illuminés», ils ont pratiquement disparu, dieu merci… Rangées pêle-mêle dans la même catégorie (celle des malades mentaux), les personnes qui s’adonnent à l’excès n’ont plus vraiment droit de cité. Aucune civilisation ne peut cependant échapper à ce que Bataille appelait sa «part maudite», c’est-à-dire son besoin d’actes gratuits et suicidaires. L’exposition “Les Saintes de l’abîme” sonne comme un rappel au désordre.
Entre jouissance et transe
Cette exposition salutaire –organisée par Christian Limousin, poète et historien d’art– met en scène l’univers de Bataille comme une tension entre érotisme et sainteté, jouissance et transe. Les deux formes de ravissement sont illustrées différemment par les photos d’Elizabeth Prouvost, au fil de deux séries distinctes dont les éditions Humus ont fait un livre d’art magnifique. La première série –inspirée du livre «Madame Edwarda»–, en noir et blanc, représente les étreintes carnivores d’une femme sans visage. Son corps adopte les contorsions extrêmes d’une volupté furieuse. Son visage gommé n’est plus que mâchoire hurlante. Elle jouit. A l’opposé, la série «Madeleine» –inspirée de la sainte–, représente une silhouette fantôme, vaporeuse, en rouge carmin. Elle bouge trop vite pour qu’on puisse distinguer ses traits. Son mouvement exprime «une sorte de désintégration proche de la folie», explique Elizabeth Prouvost. Elle disparaît.
La perte de soi
Les deux séries ont en commun l’idée de la perte. Deux femmes cherchent chacune à vivre quelque chose qui les dépasse, qui les déborde. «J’ai toujours ressenti une correspondance entre la jouissance sexuelle et l’extase décrite par les mystiques», explique Elizabeth Prouvost. Fascinée par «l’abolition des limites, aussi bien charnelles que spirituelles», la photographe poursuit depuis plus de 20 ans un travail photographique étrange qui consiste à saisir des modèles en plein vol, un peu comme des avions qui explosent. Elizabeth ne s’intéresse qu’aux femmes frénétiques, celles qui abordent «les extrêmes soit dans un sens, soit dans un autre» (pour citer Lautréamont). Ses modèles vivent des expériences de béatitude alternées avec des délires d’angoisse ou connaissent des transports brûlants, dont Elizabeth essaye de capter l’image.
Volupté dans la démesure
La pensée de Georges Bataille traverse son travail avec une violence palpable. «Il aimait les folles et les saintes», dit-elle, avant de citer une phrase extraite du Coupable : «L’abîme est le fond du possible». Pour Elizabeth, Bataille est bien plus qu’un auteur de romans sulfureux : c’est le théoricien de l’excédent, de la «dépense improductive», c’est-à-dire d’une dépense (d’énergie, de fluides corporels, de temps ou même de vie) qui ne vise rien d’autre que la pure perte. Un gaspillage. Un sacrifice dénué de sens. Au nom de quoi ? Il faut lire La limite de l’utile, pour comprendre. Première version abandonnée de La Part maudite, cet ouvrage que Bataille présentait volontiers comme un traité d’économie repose sur un raisonnement qu’on pourrait grossièrement résumer ainsi : d’un côté il y a le bourgeois qui travaille et qui a un but en vue; de l’autre l’homme «souverain» qui cherche le plaisir, sans but ou, du moins, sans autre but que s’oublier, s’épuiser, se vider, se brûler.
Can’t get no satisfaction
Le bourgeois veut se fortifier, l’homme souverain veut s’user. L’un invoque Dieu, l’autre Satan. Le premier désire monter en grade, l’autre éprouve un malin plaisir à chuter. L’un mobilise la notion de spiritualité, l’autre d’animalité. L’un a souci du lendemain et fait des projets d’avenir, par opposition à celui qui vit dans l’instant présent. Le bourgeois désire se sentir utile et satisfait, l’homme souverain préfère être inutile et insatisfait. Dans un mémoire intitulé Les Limites du champ de l’extase chez Bataille, la chercheuse Marion Avarguès (Université de Montreal) fait du «système» bataillien un rapport d’opposition entre les «irrécupérables» qui consument et les «capitalistes» qui consomment. «Contre le bourgeois qui n’aspire qu’à l’amoncellement, qu’au gonflement de son tas, tas par ailleurs des plus insignifiants, Bataille oppose la désinvolture du désintérêt et la perte absolument vide. A la suprématie du profit capitaliste, l’inanité rétorque : Non, tu ne délivres pas plus de sens que moi, et moi, de plus, je suis gratuite ! En ce sens, la dépense, tout autant gratuite qu’insensée, bataille contre la logique de l’utile».
Petite éloge de l’extase
Pour Bataille, l’histoire de notre société occidentale est celle d’un basculement. Avec le XIXe siècle, fini de rire. «Le capitalisme a demandé la renonciation de l’homme au gaspillage des fêtes», écrit-il dans La limite de l’utile. La seule forme de résistance possible, c’est –suivant l’exemple du soleil qui rayonne sans rien recevoir en retour– la recherche de l’extase, quelle qu’elle soit. Dans l’introduction à l’ouvrage publié aux éditions Lignes, la philosophe Mathilde Girard questionne : «À quoi reconnaît-on aujourd’hui une conduite glorieuse – une conduite glorieuse humainement, c’est-à-dire qui n’attendrait ni de l’au-delà ni de l’argent les bénéfices de sa dépense ? Cela se peut-il encore que des êtres, des groupes ou des communautés s’entendent à ne rien vouloir gagner – à pouvoir perdre ? Avec la “notion de dépense”, Georges Bataille nous parle de quelque chose qui n’a peut-être jamais existé et qui s’éloigne toujours davantage de l’horizon de notre économie.»
Faut-il relire Bataille, comme on relirait Nietzsche, pour se redonner envie de vivre ? «L’extase, c’est la vie vide et sans but, la vie rendue à la liberté d’un monde qui, à chaque instant, se suffit à lui-même.» (François Varin, Nietzsche et Bataille, La parodie à l’infini, Vendôme, Presses Universitaires de France, 1994).
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LIVRE D’ART : Les Saintes de l’Abîme, photographies d’Elizabeth Prouvost, accompagnées de textes de Christian Limousin, Véronique Bergen, et du fac-similé d’un poème écrit par Claude Louis-Combet, éditions Humus, 2018.
EXPOSITION : Les Saintes de l’Abîme, photographies d’Elizabeth Prouvost, du 20 juillet au 2 septembre, Maison Jules Roy.
En savoir plus : «Pourquoi la fin du monde nous excite», «Bataille organisait-il des messes noires ?»
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