De trop nombreux mois que je n'étais pas retourné au club le Taken depuis que je m'étais séparé de Ch ... qui adorait le lieu.
L... voulait le découvrir après qu'un amant l'ai amené au Mask,
C... était seule, nous serons trois n'ayant pu trouvé un accompagnant à c ...
Trouple lubrique qui se présente à la porte rue Le Régrattier.
Un homme chanceux me lance le portier, il faut dire que mes accompagnatrices étaient craquantes.
Nous descendons l'escalier, un verre vite pris et voilà C... qui montre à L... les lieux.
La piste de danse est pleine, mais elles ne s'y arrêtent pas, c'est l'entrée de droite que C... vise.
Couloir rouge, qui débouche sur le grand lit.
les yeux de C... brillent de ses souvenirs du quatuor de sa semaine passée , les yeux d'L... de ses désirs à venir.
Passé, futur et moi présent je les suis amusé.
Les coins câlins sont vident il est trop tôt.
Qu'à cela ne tienne mon duo s'installe sur le grand lit, se déshabille et s'enlace.
Deux maitresses que j'ai baisé à cris rabattus et me voilà juste spectateur de leur sensualité !
je tire les rideaux du lit baldaquin me mets moi aussi nu et les caresses.
Parfois leurs bouches se détachent et me sucent, mes doigts jouent sur deux pianos en même temps, me voilà musicien ambidextre.
Des visages écartent les rideaux nous observent
Une femme observe fascinée , son homme un peu en arrière, je les trouve mignons et les appellent.
Les voilà vite nus à nos cotés, ses jambes levées je prends C ... joyeusement qui suce L ... qui me caresse les tétons, mon peché de gourmandise, la coquine aime me faire plaisir.
le couple se mélange à nous.
je quitte C ... L ... est caressée par l'homme
et puis ...
je ne sais plus
ou si ...
j'ai des images éparses.
je ne vois rien la tête dans les jambes de la fille, mon sexe est sucé par deux bouches, puis des cris et gémissements se font entendre mon sexe est délaissé, je vois par les miroirs du plafond un corps qui convulse, des cris jamais entendus.
Me voilà à prendre la femme, je peux voir pendant que ma bite explore cette nouvelle chatte.
Mes coquines se font sucer par l'homme qui les doigtent, elles hurlent, l'une est sur le coté reprenant ses esprits d'un orgasme vulgurant, le lit est trempé.
L'homme est un sorcier, un sourcier, il vient de faire découvrir à C... sa capacité à être fontaine.
L ... n'est pas en reste et jailli elle aussi plusieurs de fois de ses doigts.
Mes coups de reins se font plus puissants, la femme décolle.
je me retire et fille à la salle de bain
De retour, mes deux accompagnatrices sont comme hébétées des multiples orgasmes jaillissants qu'elles ont vécu,
je me glisse vers L ... que je n'avais pas baisé depuis au moins ... 5 h, une éternité ! Son sexe est trempé, il est brulant, avec délice je m'y plonge, le mien est une bâton dans un brasier.
Des cris de C... ou de la femme ou des deux se font entendre, ceux de L ... s'y mêlent, des couples nous observent.
L ... part,convulse et explose.
Je me roule contre C ... et l'embrasse, elle est comme épuisée, son corps est trempe.
Il est temps d'une pause.
Le couple nous rejoint au bar, elle vient de divorcer et rattrape 18 ans de sagesse, lui est un coquin aux doigts de feu, à la langue d'enfer.
L'envie reprend mes coquines et j'avoue moi même, ne les faisons pas passer pour plus gourmandes que moi.
Elles ont en tête d'autres plaisirs.
Après que leurs deux bouches aient mis en condition l'objet de leur convoitise, m'extirpant des feulements de plaisirs, L ... se pose me tend son cul suppliant que j'ouvre son œil obscur.
L’oeil était dans la tombe et regardait Caïn.
Comme dans le poème de Victor Hugo il me regardait au fond de cette cave, pupille dilatée de ce que je l'avais dans l’après midi copieusement ouvert.
J'y entre, il est bouillant et à nouveau serré pour mon plus grand plaisir, et c'est très lentement que je joue avec.
L ... jouis dans les bras de C ... qui sourie de son plaisir.
C ... qui réjouira des doigts de l'homme venu nous rejoindre.
je prolonge l'enculade pour mieux contenter L... qui en raffole.
puis quand épuisée et contentée elle se roule, je file à nouveau à la salle de bain, elle m'y rejoint son plaisir a été mousseux preuve d'une béatitude réussie.
de retour C ... est en manque , l'addiction à l'orgasme est plus rapide que celle des drogues les plus dures.
elle m'offre elle aussi son cul en s'appuyant sur la banquette . autour de nous des couples nus ou habillés passent, des couples baisent à droite et devant.
Je la prends les gens me frôlent pour passer d'une pièce à l'autre, ils observent, les corps des femmes me caressent et m'excitent à l’humidité de leur peau je sais si elles vont ou ont baisé.
je n'entends plus rien, je ne sais plus s'il faut accélérer ou ralentir, C ... jouis cris, L ... l'embrasse me regarde heureuse et épuisée, me guide dans le rythme pour que je garde le bon tempo.
Le couple baise contre C ...
Je plane.
En nous quittant sur les quais de seine, nos visages sont épuisés mais béats et radieux, les taxis les embarquent, je rentre à pied.
Paris de nuit Paris d'après débauche, mon téléphone vibre de leurs messages;
je gazouille de bonheur ,
j'ai jamais autant jouis de ma vie.
Elles retournent vers leurs hommes, moi vers mon nid parisien,
et je me dis que la vie est belle.