34739 éléments (3198 non lus) dans 75 canaux
Vu sur I love porn, Carl Royer
I love porn, Guide de survie à l’usage du porn addict, est un petit livre de la collection Le sexe qui rit, dont j’avais déjà parlé (au moment de la lecture d’un précédent titre, Les filles bien n’avalent pas). Un livre d’humour sur la sexualité, très peu de texte, des images, beaucoup de schémas, des […]
Cet article provient de Littérature érotique
Une femme amoureuse d’un couple, c’est le scénario du beau film de Jérôme Bonnell À Trois on y va en ce moment au cinéma....
The post A trois on y va : voyage en eaux « trouples » appeared first on Paris Derrière.
Le Mouvement du Nid - France salue la publication dans le Journal du dimanche (28/03/15) d'une tribune intitulée « Dépénaliser les prostituéEs, pénaliser les acheteurs de sexe ! », demandant aux éluEs de prendre en compte la dégradation de la santé qu'implique toute situation de prostitution.
Sous la plume de Xavier Emmanuelli, fondateur du Samu social, du généticien Axel Kahn, membre du Comité consultatif national d'Éthique, des gynécologues Israël Nisand et Emmanuelle Piet, également présidente du Collectif féministe contre le viol, nous lisons ces constats que notre association de terrain n'a eu de cesse de faire connaître : La prostitution est en soi une atteinte grave à la santé physique et psychologique qu'il faut faire reculer tout en protégeant ses victimes (…) Univers de violences, qu'elles soient le fait de réseaux de proxénètes ou des clients, et de contraintes, qu'elles soient financières, psychiques ou physiques, la prostitution est incompatible avec la définition de la santé sexuelle donnée par l'OMS.
Les signataires, engagés dans les domaines du soutien aux victimes de violences sexuelles comme Muriel Salmona (association Mémoire traumatique) et dans la promotion de l'égalité Femmes/Hommes, comme Gilles Lazimi (membre du Haut conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes) ou Jean-Pierre Frachet (militant de Zeromacho), assurent qu' en matière de prostitution, le monde de la santé ne peut pas se contenter, comme le proposent certains, d'une approche de réduction des risques ou de la simple prévention des maladies sexuellement transmissibles.
En conséquence, ils appellent les sénateurs/trices qui vont examiner les 30 et 31 mars la proposition de loi renforçant la lutte contre le système prostitutionnel à voter en faveur du texte, rétabli dans ses 4 axes : Nous soutenons l'adoption rapide de politiques publiques permettant de renforcer la lutte contre le proxénétisme et la traite des êtres humains, de supprimer les mesures répressives à l'encontre des personnes prostituées et leur offrir un accès à de véritables alternatives, y compris pour les personnes étrangères, et enfin d'interdire l'achat d'un acte sexuel qui permet d'imposer un acte sexuel par la contrainte financière.
Le Mouvement du Nid - France, qui rencontre et / ou accueille jusqu'à 6000 personnes prostituées chaque année dans toute la France, constate que ces personnes souffrent d'atteintes à leur santé physique et psychique. Ces préjudices varient selon la situation des personnes mais ont toujours des conséquences désastreuses sur leur bien-être. Ils sont de véritables obstacles à la sortie de la prostitution. Nous nous réjouissons de la publication de cette tribune « Dépénaliser les prostituéEs, pénaliser les acheteurs de sexe ! », qui contribue à la mise à jour des dommages physiques et psychiques liés à prostitution.
La santé des personnes prostituées ne doit plus être réduite au seul risque sanitaire. Elle passe au contraire par la construction d'alternatives pour les personnes prostituées. Elle exige d'en finir avec ces facteurs aggravants que sont la pénalisation des personnes prostituées et la complète impunité dont bénéficie les "clients", dont on sait qu'ils sont ceux qui exigent les passes sans préservatifs et multiplient les actes de violences.
Elles nous disentMarion
Là-dedans, on perd pied. On n'a plus d'identité, plus de repères. Aller voir un médecin est difficile ; dire ce qu'on fait. On s'arrange entre copines, on se passe des médicaments.
Noémie
Mon corps a commencé à se couvrir de plaques d'eczéma tellement je ne supportais plus qu'on me touche.
Fiona
J'ai fait huit établissements en Belgique. [Dans] le dernier, il y avait deux Brésiliennes, réputées « tout faire sans ». C'était la publicité du bordel. Une des deux (...) bossait huit heures d'affilée. Sans préservatif. Ni les patrons ni les clients n'y voyaient d'inconvénient, au contraire ! J'ai parlé avec elle (...) Elle m'a répondu : Il faut bien mourir de quelque chose.
Mylène
Après je ne supportais plus le sexe. Une main masculine sur mon épaule me brûlait. Je n'ai plus eu aucune sexualité pendant trois ans. J'étais dans une anesthésie totale.
Laurence
Il y avait un client qui me payait avec de la coke. J'ai commencé à en prendre. Après, je me défonçais tous les soirs. Sans ça, je n'aurais jamais pu y retourner.
Témoignages extraits de Prostitution et Société n°179, dossier Prostitution, la santé dégradée
De la mode, de l’érotisme, une bande son du feu de Dieu, du second degré, de la magie et de la surprise, merci Menfred Thierry Mugler pour avoir su mélanger les ingrédients indispensables à un cabaret parisien réussi ! Mais Mugler… c’est pas une marque de parfum avec une étoile tordue ? Si, si c’est bien ça aussi ! Je vous explique…
Thierry et la scène artistique, une histoire d’amourPersonnellement, je connaissais Mugler surtout pour son parfum Angel (comment passer à côté de ses mannequins maigrissimes sur I-Télé le matin ?) et pour ses sacs à main que je croisais parfois au bras d’une dame chic dans le métro. Ce que je ne savais pas, c’est que ce touche-à-tout est aussi un metteur en scène d’exception ! Il crée régulièrement des costumes de scènes (pour le Cirque du Soleil ou pour Macbeth pour la Comédie Française) et se fait conseiller artistique de stars lors de leurs tournées mondiales (Beyoncé, par exemple). Bref, la scène n’a plus aucun secret pour lui. On aurait pu s’attendre à du luxe, du glamour, du j’melapète-grave-et-je-plonge-dans-une-piscine-de-champagne… mais non ! A la place on a eu du second degré, du rire, de l’auto-dérision et de la légèreté. Chapeau l’artiste !
De la beauté, des insectes, et des créatures« Nous sommes tous beaux ! » (Oui, oui, même toi là-bas !) C’est ce que s’efforce de clamer Mugler à travers son spectacle. Mais surtout, avant d’être beaux, nous sommes tous différents et tous pareils à la fois (allez comprendre…).
On peut y voir des fourmis travailleuses et des pompiers musclés dont les costumes uniformes représentent « un certain standard » de la beauté. Puis, à leurs côtés, se joignent des créatures, grandes, grosses, petites, maigres, bizarres (surtout par leurs costumes, hein, on est pas au cirque Pinder) et qui ont chacune leur charme, leur sensualité et leur érotisme.
A mi-chemin entre un défilé de mode, de la danse coquine façon Moulin-Rouge et un cabaret burlesque, Mugler a su réinventer un spectacle original où il réaffirme son univers et sa vision de la beauté… avec une touche de coquinerie bien placée !
La mauvaise nouvelleJe suis allée à la dernière représentation. (Nooon, ne me frappez pas !) Le spectacle y siégeait depuis un an et demi au théâtre Le Comédia, boulevard de Strasbourg, et ça y’est, c’est fini !
Mais bon, on est pas à l’abri d’un Mugler II le retour des fourmis ?
C’est ce que je leur souhaite, en tout cas !
Du coup, moi, ça m’a donné des envies de shopping…
Hier soir, mon Chéri et moi étions allongés sur le lit et il m’embrassait les fesses. Moi, j’avais l’ordinateur devant moi et lui créais une fausse fiche sur AdopteUnRiche.com .
De temps en temps, je fermais les yeux. J’aime bien quand il m’embrasse les fesses.
La veille, sur AdopteUneQuiche.com , il en avait fait de même pour moi et, après avoir fait le tri, nous étions tombés sur un homme excessivement drôle avec qui nous avions tchaté, entre deux galipettes, jusque tard dans la nuit.
Aurions-nous autant de chance ce soir, avec les femmes ?
De temps à autre, mon Chéri remontait lire et, de me voir aussi excitée à lui inventer une vie, cela le faisait bien rire. Puis il retournait s’occuper de mes fesses : « Ça, c’est du réel ! » qu’il disait.
Puis, et enfin : les photos furent téléchargées, la bio complétée, l’attente commença.
… qui ne fut pas longue, car au bout de 30 secondes arriva un premier message, puis de suite un second. « Yesssss !!! Ça y est ! » je lui ai crié.
Mais là, son téléphone a sonné : c’était sa mère. Je lui ai lancé un regard furieux mais ce salaud a quand même répondu. Alors je me suis jetée sur son sexe et l’ai avalé d’un seul coup. Il m’a regardé de ses grands yeux perdus en essayant de répondre quelque chose à sa mère, mais je m’en foutais :
1) c’était le soir
2) jolie-maman était interdite de séjour dans notre lit.
Alors : son sexe, ses bourses, je le violais de partout. Je lui suçais tout ce qui était suçable, lui crachais sur le gland puis le ré-enfournais. Je le masturbais près de mon oreille, ses deux boules dans ma bouche. Je le mordais, le griffais, et frottais son sexe contre mes seins ; j’étais déchainée. D’autant que j’entendais la voix de crécelle de sa mère qui continuait, imperturbable, à lui raconter je ne sais trop quelle urgence qui aurait pu, j’en suis certaine, attendre le lendemain.
Mon Chéri, lui, répondait comme il pouvait, coassait quelques onomatopées, ce qui m’encourageait encore plus à continuer : j’allais gagner, j’allais gagner, il allait raccrocher.
Mais pas du tout !
A ma grande surprise, il changea soudainement d’attitude, se dégagea fermement, se mit debout près du lit, son sexe à l’horizontale, et, très calme, m’agrippa par les cheveux, sur le sommet du crane. Je descendis du lit comme je pouvais, ainsi tenue, puis il me plaça à genoux devant lui, telle une pénitente pour la prière.
Sa voix aussi changea : elle devint grave, posée et il s’embarqua dans un long monologue à sa mère sur les raisons du déclin des mœurs en France, ou quelque chose comme ça. Ce faisant, il me fit signe d’ouvrir la bouche, dans laquelle il enfonça lentement son sexe. Sa main me guidait, imprimait la cadence. Je l’accompagnais du mieux que je pouvais, et je n’osais pas le toucher, essayant tant bien que mal de garder aussi bien l’équilibre que mon souffle. Ah, si elle savait, jolie-maman, de quoi est capable son fils lorsqu’il bande. Si elle savait, juste à ce moment, ce que son fils me faisait faire alors qu’il lui parlait bien tranquillement …
J’en bavais et mouillais de plaisir.
Et finalement, il a raccroché. Sans doute voulait-il me faire passer à la casserole et avait besoin de ses deux mains pour cela, mais là : hop-hop-hop, en trois sauts de cabri je suis remontée m’allonger sur le lit : « J’y crois pas mon Chéri, tu as déjà neuf messages ! »
Il m’a regardé, médusé et incrédule, puis, souriant et beau joueur, est venu s’allonger près de moi, et m’a susurré : « Petite garce ! ». J’ai fait celle qui n’avait rien entendu, mais j’ai adoré.
Et là, c’est MON téléphone qui s’est mis a sonné : Maman.
Mon Chéri et moi on s’est regardé, on s’est souri … et, d’un commun accord, j’ai répondu à Maman.
Qu’est-ce qu’il m’a mis !
Par contre en levrette, la voix grave et posée, c’est impossible, je n’y suis pas arrivé. J’ai coassé des onomatopées à Maman pendant au moins une demi-heure.
*************
L’épisode précédent, c’est ici :
http://popyourcherry.fr/cheriecheri-20-mars/
My new book Bisexual Husbands became available for purchase on Amazon and direct from me, on Digita Publications one week ago.
Someone I respect and admire very much, Ms. Naughty, reviewed Bisexual Husbands saying, “It’s hard to pick a favourite from this selection. (…) Every story features explicit sex, often in great detail, but none of them ever commit the sin of being boring. The physical ins-and-outs are well balanced by the drama and emotion of what’s happening between the characters and it’s very easy to inhabit their minds even as your vicariously experience their bodies.”
It has been a surprising week for reviews and support for the companion to Filthy Housewives. If you’ve been following what all us Cleis authors and editors have been going through (yes we’re still dealing with what the former owners did to us), you know that both books represent much more than being romantic bookends, though that sounds pretty nice all by itself. Long story short, the support for Bisexual Husbands (like this tweet from hero Laura Antoniou) is beyond affirming for me, and all the authors.
Bisexuality is often dismissed by both gay and straight camps as “not making up your mind” but bi people know its a genuine orientation that deserves respect – and its own erotica genre. On top of that, I know that plenty of women really love the idea of watching two guys fuck each other (and perhaps joining in). And then there are all those guys who dream about it but feel too restrained by societal expectations to do it. Bisexual Husbands offers a chance to explore the idea, if only in the imagination. (…)
All in all I recommend this collection. It defines itself as “refined litporn” and I think that’s an apt description. This is well-written, extremely arousing, smart erotica with a broad appeal. If you’ve ever fantasized about batting for the other team – or for watching your guy do so – you’ll love this book. (Bisexual Husbands – Review, msnaughty.com)
Right now on Amazon it has five reviews, the newest one from a woman who writes:
This collection contains some SCORCHING stories! Honestly I can say I loved all of them and am glad I bought this book as this topic/theme is one that always gets me fired up. Aside from the stories themselves, I liked the added tips and the cocktail recipes as well. After reading this I plan on purchasing the other recent, short and specifically themed collections that Violet Blue has released in the last couple of months.
But there’s more! All the Amazon reviews are great! Author Alison Tyler points out what people are saying about Bisexual Husbands:
• Violet Blue always finds great stories and authors for her anthologies. This one is no different.
• Between the covers are seven hot and kinky tales of husbands gone wild—pushed and prodded into it by their wild and kinky wives.
• I was mesmerized by the nonstop intensity of this collection.
• This collection of short stories grabbed me right away and held my attention until I’d plowed through them all.
We’re all thrilled that readers are liking Bisexual Husbands so much (THANK YOU!!) and I’m already working on the next book in the series. Please tell your friends and followers to buy our books! I love sending money to writers every month, and we all can’t thank you enough for your support, kind words, and for being part of this.
Content copyright © 2015 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.L’extrême droite italienne est manifestement prête à tout pour faire parler d’elle. Y compris à renouer avec les traditions les plus sombres de leurs idoles nazies. Ainsi le parti Forza Nuova avait-il annoncé rien de moins qu’un autodafé en plein centre de Milan, hier samedi. Sur le bûcher, les militants néofascistes voulaient brûler les livres qui, selon eux, diffusent «la culture gay» et la «propagande gender» dans les écoles.
Cliquer sur l’image pour agrandir.
Un tract reproduisait la couverture des ouvrages «jeune public» visés, en s’imaginant peut-être que des activistes allaient faire un raid dans les librairies et les bibliothèques. Mais l’opération a fait flop après que le procureur et le préfet de Milan ont interdit le bûcher, rapporte «La Repubblica».Sans heurts
Finalement, ce ne sont qu’une vingtaine de jeunes militants à poil court qui se sont rassemblés place Oberdan. Face à eux, 100 policiers en tenue antiémeute et 300 militants de gauche et LGBT qui lançaient des slogans antifascistes en brandissant les livres mis à l’index par Forza Nuova. Le face-à-face tendu s’est achevé sans heurts.
Après avoir culminé autour des 1% des votes (lors des Européennes de 2004), les nostalgiques de Mussolini sont menacés de disparition du paysage politique italien. Aussi ils multiplient les coups de pub, comme récemment le lancement d’un «numéro vert» pour dénoncer les profs «homosexualistes». Avec peu d’écho. Leur prochaine bataille s’annonce toute aussi vaine: un appel au boycott des entreprises qui soutiennent le «la rééducation forcée de nos enfants». Dans leur ligne de mire: Intesa San Paolo, Ikea, IBM, Telecom, Roche, Microsoft… et même Barilla, coupable d’avoir retourné sa veste contre les sacro-saintes valeurs familiales.
Depuis août 2013, l’application de drague gay Grindr est inaccessible en Turquie. Dans le cadre d’un grande offensive du pouvoir islamo-conservateur contre les médias numérique, peu après les événements de la place Taksim, l’agence des télécommunications d’Etat avait censuré le service.
La principale association LGBT turque, Kaos GL, a décidé de saisir la Cour constitutionnelle afin d’obtenir la levée de cette soi-disant «mesure de protection». Le groupe, soutenu dans sa démarche par deux professeurs de droit, relève que les autorités n’ont jamais livré leurs motivations à censurer Grindr. L’application ne serait mentionnée que dans une seule procédure judiciaire, qui portait sur la publication d’informations privées, et non sur une quelconque menace sur la famille ou la moralité publique.
Contraire à l’article 17 de la constitution
Kaos GL rappelle que le service est clairement réservé aux personnes de plus de 18 ans. L’interdire revient à considérer que l’homosexualité entre personnes majeures et consentantes est un crime – ce qui est contraire à l’article 17 de la Constitution turque: «Chacun possède le droit de s’épanouir son intégrité physique et spirituelle».
Par ailleurs, l’association basée à Ankara rappelle «l’importance des médias sociaux pour les gays en Turquie en termes de socialisation, de rencontres et d’organisation, ainsi que de soutien mutuel.»