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Le 28 septembre est la journée mondiale pour le droit à l’IVG. Nous, françaises, bénéficions de ce droit depuis 1975 grâce à Simone Veil. Plus de 40 ans. Ce droit, nous pourrions le croire bien ancré dans notre société et dans les mentalités. Nous pourrions penser qu’il n’est plus ébranlable. Mais gardons les yeux bien...
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La rentrée bien entamée Le Porn la poésie est de retour avec un léger changement de mise en page afin d’optimiser votre plaisir poético-porn (la vidéo précédera désormais le poème). Et pour ce faire c’est la superbe Isis Love en docteure dévouée qui inspire à notre poète de nouveaux vers.
Qu’il ait une blessure par balle
Ou un mal de crâne,
Isis et son serment d’Hippocrate
À eux deux le soigneront
À coup d’hand ball
Ou de prostate !
Et s’ils sont deux la balle au crâne
Isis en deux se coupera,
Multipliera son jus…
Moitié Moïse
Moitié Jésus.
Et tant qu’à faire elle sucera les deux
Presque en même temps et juste
Pour test
Tour à tour de chacun
Les trois bras !
Et, enfin, pour qu’Isis femme médecin
A la bave abra-
cadabrantesque
Elle aussi ait son reste.
Vous vous souvenez de Brent Corrigan ? Justin Kelly va vous rafraîchir la mémoire. Avec son dernier film King Cobra, le réalisateur de I Am Michael nous offre un véritable biopic sur l’acteur gay du début des années 2000. Nous vous en avions déjà parlé il y a quelques temps, mais une nouvelle bande-annonce pour le long-métrage vient d’être dévoilée… Nous devions en remettre un couche.
King Cobra nous embarque dans l’histoire dramatique de Bryan Kocis, producteur du studio gay Cobra Video et dénicheur de talents. Après être tombé sous le charme du jeune Sean Paul Lockart aka Brent Corrigan âgé de 17 ans seulement, sa carrière s’arrête subitement en janvier 2007. Il est retrouvé décapité dans sa villa à Dallas, assassiné par les deux producteurs du studio Vipers Boys, jaloux de son succès. Anciens escort boys, Harlow Cuadra et Joseph Kerekes ont répondu à la concurrence d’une façon peu habituelle pour un contrat qui liait Bryan Kocis à son égérie. Who run the world ? Sex and business.
Brent Corrigan oklm
Après s’être inspiré du livre Cobra Killer de Andrew Stoner et Peter Conway, le réalisateur a réuni une belle brochette de stars américaines. Entre James Franco et Christian Slater aka Bryan Kocis, Justin Kelly va en faire saliver plus d’un. Et comme la magie d’Hollywood est grande, le jeune Garrett Clayton du film Teen Beach Movie produit par Disney Channel, tient le rôle principal. Et il a bien grandi !
Suite à la projection du film lors du Tribeca Film Festival à New York en avril dernier, la société de production IFC Midnight s’est emparée de King Cobra. C’est elle qui distribuera le long-métrage. On peut lui faire confiance : IFC Midnight a pris en charge les Wrong Cops et Reality de Quentin Dupieux, l’affreux australien Babadook et Antichrist de Lars von Trier. Des critiques élogieuses se sont accumulées suite à Tribeca, même si le véritable Brent Corrigan reste sur ses gardes. Tout d’abord approché par le réalisateur, l’ancien acteur gay a rapidement décliné la proposition : « Je ne voulais pas faire partie de ce film s’ils ne racontaient pas ma vraie histoire. J’ai lu le script et ce n’était pas mon histoire » a-t-il expliqué. Après la première du film, l’acteur a campé sur ses positions :
It's made. And it's not about me. It's Hollywood's attempt at bastardizing my early years in porn, one man's murder, blah blah @JamesPMBerry
— Brent Corrigan (@BrentCorrigan) April 18, 2016
« Hein, quoi ? James Franco a fait un film à propos de Brent Corrigan ? J’ai bien lu ?
– C’est fait. Et ce n’est pas à propos de moi. C’est Hollywood qui essaye de pervertir mes premières années dans le porno, le meurtre d’un homme, bla, bla… »
Même si la sortie en France n’est pas encore connue, la première européenne se tiendra lors du BFI London Film Festival entre le 5 et 16 octobre. Le film sera projeté dans les salles américaines à partir du 21 octobre prochain.
C’est très tard dans la soirée de ce mardi 27 septembre que les sénateurs et sénatrices présent.e.s dans l’hémicycle ont discuté l’article 18 quater du projet de loi Justice du XXIe siècle, qui tend à établir un cadre légal aux démarches des personnes trans pour effectuer un changement d’état civil. Une certaine inquiétude planait autour de cette nouvelle lecture. En effet, après l’échec de la commission mixte paritaire en juin, plusieurs sénateurs ont présenté des amendements allant clairement à l’encontre des revendications des associations trans: ces amendements réintroduisaient l’obligation de présenter des attestations d’ordre médical pour toute demande de changement d’état civil (que certains de ces sénateurs s’obstinent à nommer «changement de sexe»).
UN TEXTE REMÉDICALISANT LE CHANGEMENT D’ÉTAT CIVIL
Dans un communiqué commun, plusieurs associations (Acthe, En-Trans, Prendre Corps, Jardin Des T, Trans 3.0, et l’Inter-LGBT) avaient dénoncé ce retour en arrière et appelé à dépasser les clivages politiques face à la dangerosité du texte pour les personnes concernées. L’association GayLib a fait part quant à elle de son inquiétude: «Ces conditions subjectives ainsi que le maintien d’une procédure judiciarisée continueront à engendrer des disparités de traitement dans les procédures de CEC et à rendre les décisions des juges encore trop arbitraires.» Hier soir un peu avant minuit, le rapporteur Yves Détraigne (UDI) a défendu les modifications apportées au texte de l’article 18 quater en affirmant: «Il faut s’assurer que la demande ne résulte pas d’un trouble passager. Un avis médical est indispensable, quand une personne s’engage dans un processus pour changer de sexe, elle a affaire au monde médical, qui compte des spécialistes de la question.» Les différents amendements présentés par la gauche, notamment ceux des sénateur et sénatrices Cécile Cukierman, Esther Benbassa et Jacques Bigot ont été tour à tour rejetés. Ils tendaient à faire modifier le texte pour retirer toute référence à la présentation de documents médicaux, mais aussi pour certains à déjudiciariser la procédure.
LA NÉGATION DES MINEURS TRANS
Il demeure un point sur lequel s’accordent les sénateurs de droite qui s’opposent à la démédicalisation du processus et la gauche au gouvernement: l’inclusion des mineurs aux dispositions de l’article 18 quater. En effet, ils s’y opposent en invoquant la même raison. Selon eux, les mineurs trans ne sont pas une réalité en France. «Étendre la possibilité aux mineurs ne s’impose pas: un seul cas a été signalé», a ainsi justifié Yves Détraigne pour s’opposer à un amendement. Comme il l’avait déjà affirmé à l’Assemblée nationale, Jean-Jacques Urvoas est allé dans le même sens: «A ma connaissance, il n’y a eu qu’un cas de mineur identifié.»
Pour l’Association nationale transgenre (ANT), le résultat de cette nouvelle lecture du Sénat est révoltant: «Si le gouvernement de gauche a refusé d’adopter ce qui est maintenant un standard international concernant le changement d’état civil des personnes transgenres, c’est à dire l’autodétermination, la démédicalisation et la déjudiciarisation, les parlementaires de droite ne s’offusquent pas de rester bien ancrés dans les horreurs transphobes du XXème siècle que l’on aimerait bien voir une fois pour toute révolues. Le vote par le Sénat ce mardi 27 septembre du texte de l’article 18 quater amendé par le sénateur Yves Détraigne (UDI) n’étant qu’une illustration de la “droite décomplexée” qui reste figée dans un passé homophobe, transphobe et sexiste.»
Les député.e.s de l’Assemblée nationale auront le dernier mot durant l’automne lorsque le projet de loi reviendra en dernière lecture.
C’est très tard dans la soirée de ce mardi 27 septembre que les sénateurs et sénatrices présent.e.s dans l’hémicycle ont discuté l’article 18 quater du projet de loi Justice du XXIe siècle, qui tend à établir un cadre légal aux démarches des personnes trans pour effectuer un changement d’état civil. Une certaine inquiétude planait autour de cette nouvelle lecture. En effet, après l’échec de la commission mixte paritaire en juin, plusieurs sénateurs ont présenté des amendements allant clairement à l’encontre des revendications des associations trans: ces amendements réintroduisaient l’obligation de présenter des attestations d’ordre médical pour toute demande de changement d’état civil (que certains de ces sénateurs s’obstinent à nommer «changement de sexe»).
UN TEXTE REMÉDICALISANT LE CHANGEMENT D’ÉTAT CIVIL
Dans un communiqué commun, plusieurs associations (Acthe, En-Trans, Prendre Corps, Jardin Des T, Trans 3.0, et l’Inter-LGBT) avaient dénoncé ce retour en arrière et appelé à dépasser les clivages politiques face à la dangerosité du texte pour les personnes concernées. L’association GayLib a fait part quant à elle de son inquiétude: «Ces conditions subjectives ainsi que le maintien d’une procédure judiciarisée continueront à engendrer des disparités de traitement dans les procédures de CEC et à rendre les décisions des juges encore trop arbitraires.» Hier soir un peu avant minuit, le rapporteur Yves Détraigne (UDI) a défendu les modifications apportées au texte de l’article 18 quater en affirmant: «Il faut s’assurer que la demande ne résulte pas d’un trouble passager. Un avis médical est indispensable, quand une personne s’engage dans un processus pour changer de sexe, elle a affaire au monde médical, qui compte des spécialistes de la question.» Les différents amendements présentés par la gauche, notamment ceux des sénateur et sénatrices Cécile Cukierman, Esther Benbassa et Jacques Bigot ont été tour à tour rejetés. Ils tendaient à faire modifier le texte pour retirer toute référence à la présentation de documents médicaux, mais aussi pour certains à déjudiciariser la procédure.
LA NÉGATION DES MINEURS TRANS
Il demeure un point sur lequel s’accordent les sénateurs de droite qui s’opposent à la démédicalisation du processus et la gauche au gouvernement: l’inclusion des mineurs aux dispositions de l’article 18 quater. En effet, ils s’y opposent en invoquant la même raison. Selon eux, les mineurs trans ne sont pas une réalité en France. «Étendre la possibilité aux mineurs ne s’impose pas: un seul cas a été signalé», a ainsi justifié Yves Détraigne pour s’opposer à un amendement. Comme il l’avait déjà affirmé à l’Assemblée nationale, Jean-Jacques Urvoas est allé dans le même sens: «A ma connaissance, il n’y a eu qu’un cas de mineur identifié.»
Pour l’Association nationale transgenre (ANT), le résultat de cette nouvelle lecture du Sénat est révoltant: «Si le gouvernement de gauche a refusé d’adopter ce qui est maintenant un standard international concernant le changement d’état civil des personnes transgenres, c’est à dire l’autodétermination, la démédicalisation et la déjudiciarisation, les parlementaires de droite ne s’offusquent pas de rester bien ancrés dans les horreurs transphobes du XXème siècle que l’on aimerait bien voir une fois pour toute révolues. Le vote par le Sénat ce mardi 27 septembre du texte de l’article 18 quater amendé par le sénateur Yves Détraigne (UDI) n’étant qu’une illustration de la “droite décomplexée” qui reste figée dans un passé homophobe, transphobe et sexiste.»
Les député.e.s de l’Assemblée nationale auront le dernier mot durant l’automne lorsque le projet de loi reviendra en dernière lecture.