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Définition :
Moneyslave : Le money slavering, dit également « financial domination » est un terme anglais pour désigner la domination financière. Cet esclavage financier implique une soumission qui devient un agent financier d’une autre personne. L’esclavage financier ou autrement dit la servitude financière représente une sphère à part entière des pratiques sadomasochistes
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Cela peut sembler difficile à croire, même pour un membre de la famille BDSM mais pour un esclave financier, donner de l’argent à une Maîtresse toute puissante et satisfaire ses moindres désirs génère un plaisir « sexuel » intense. Il ne faut pas perdre de vu que la D/s n’est rien d’autre à la base qu’un échange consenti de pouvoir. Hors l’argent est une des formes de pouvoir la plus puissante. Il est donc normal qu’on la retrouve à la sauce BDSM. Lors du recrutement de l’esclave, les règles du jeu sont souvent clairement définies. Il ne peut y avoir tromperie car le message ne laisse aucun doute sur l’aspect vénal et à sens unique de la démarche. Le soumis, réduit au statut de sous-merde n’est là que pour payer le train de vie de sa Maîtresse sans aucun geste en retour de la part de la Dame. Il faut préciser aussi que cette pratique se place entre Un soumis et Une Maîtresse. Je n’ai pas trouvé sur le net de cas inverse entre une soumise et Un Dominant, mais je suppose que cela doit surement exister.
Pour le soumis, le besoin est avant tout psychologique. Payer sans rien en retour est une forme de soumission et d’humiliation qui lui apporte un infini plaisir. L’échange de pouvoir se fait par le bien de l’argent. Il devient le symbole de la dévotion du soumis. Plus il donne, plus il est heureux. Il ne faut pas s’offusquer sur ce type de relation. On en trouve de nombreuses variantes dans le monde vanille, des épouses vénales qui ne s’intéressent qu’au fric de leurs maris. Des femmes qui traitent leurs époux comme de la merde parce leurs revenus ne sont pas suffisants pour satisfaire leurs goûts de luxe. Nous en connaissons tous. La domination par l’argent n’a rien d’un phénomène réservé à un milieu particulier. Il est présent dans toutes les couches de la société. Dans le cas particulier du MoneySlave, il faut bien comprendre que la Maîtresse ne doit rien au soumis. Elle peut l’ignorer totalement du début jusqu’à la fin. Elle n’a aucune obligation, devoir envers ses pourvoyeurs de fric. Elle peut donc ainsi s’offrir le plaisir suprême de leur cracher dessus si l’envie lui prend sans que cela nuise à la relation bien au contraire. Le soumis n’en sera que plus convaincu de lui donner son argent.
Tous les goûts sont dans la nature et toutes les névroses aussi. Nous avons tous nos fantasmes et déviations. Il faut donc bien faire la part des choses. Les Maîtresses annoncent clairement la couleur, les soumis l’acceptent.
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Personnellement, je considère que chacun est libre de faire ce qu’il veut de son argent. Si le fait d’entretenir une femme sans rien en échange, si ce n’est un mépris total, procure au soumis un plaisir, alors je suis pour. Ce qui me choque dans le concept, c’est le comportement des maîtresses ou qui osent se considérer comme telles. Le moneyslave est en proie à un fantasme fort. Ces pseudos maîtresses profitent de la faiblesse psychologique de leurs victimes, et je dis bien victimes, pour mener grand train et vivre comme des parasites. J’aimerai bien savoir quel regard peut porter une femme qui agit ainsi sur l’homme en général ? Je trouve dans cette démarche, quelque chose de particulièrement malsain d’un point de vue psychologique. On ne peut établir une relation raisonnée avec l’argent en trouvant normal de vivre au crochet d’individus que l’on méprise totalement. Comment ces femmes peuvent-elles ainsi comprendre la valeur de l’argent gagné par le travail ?
Maintenant, il faut bien faire la part des choses. Vous avez des Maîtresses qui s’investissent dans leur fonction et qui donnent quelque chose en retour, une présence, une domination, un encadrement. Que ces Domina en tire un profit financier important, je suis tout à fait d’accord. Elles font payer leur savoir-faire, leur prestation même si à la base, le soumis lui n’attend rien en retour.
Mais il y a les autres, ces femelles, ces profiteuses, qui surfent sur la vague et profitent à fond du système et de la dépendance de leurs victimes. Elles ne s’investiront jamais dans leur rôle de Maîtresse, n’auront jamais le moindre contact physique avec leur soumis, resterons toujours cachées derrière leurs écrans d’ordinateur comme des lâches. Elles vivront en parasite, telles des sangsues, elles mèneront une belle vie, claqueront du fric à tout va sans jamais en comprendre la valeur.
Pour moi, ces « merdeuses » sont une nuisance majeure dans la mesure où elles s’enrichissent financièrement de la souffrance et de la dépendance de leur soumis. Cela va à l’encontre de statut de Domina.
Quelques exemples d’annonce :
Sur un forum BDSM, on trouve cette annonce postée par une femme qui prétend avoir 24 ans :
Jeune femme de caractère, passionnée, adore dominer et être supérieure, cherche actuellement soumis moneyslave virtuel pour me payer le financement de mon permis de conduire, mon shopping entre copines ou sur sites internet, me faire plaisir aux restaurants, avoir plusieurs paires de chaussures car je fais beaucoup la collection, pour s’occuper de mon bien être, mes pieds bien sûr et financer mon permis, très important est mon indépendance et mon gout pour soumettre les hommes à mes pieds sans sexe.
Avoir un compte Paypal , possibilités chèques cadeaux Amazon, Mandat cash etc… VIENS je t’attends cher soumis viens faire de moi une princesse
L’annonce a au moins le mérite d’être claire. Il n’y a pas de piège. Celui qui répond sait qu’il n’aura rien en retour si ce n’est le plaisir de donner son argent à une merdeuse de 24 ans pour qu’elle aille jouer les princesses avec ses copines. J’aimerai savoir si pour elle, la vie consiste à vivre au crochet des hommes et de claquer tout leur pognon en futilités ? Du reste, vu qu’elle restera toujours cachée derrière son ordinateur, ça peut être n’importe qui, un homme pourquoi pas ? En effet, qu’est ce qui m’empêche de déposer une annonce en me faisant passer pour une femme ? Rien, je pourrais ainsi très bien moi aussi me faire du fric à moindre frais. Et là on comprend tout de suite ou est le danger. Il y a risque d’escroquerie car celui qui donne croit donner à une femme qui en fait s’appelle Robert ou Léon !
Autre exemple :
Recherche moneyslave (esclave financier)
Bonsoir. Je suis à la recherche de petites chiennes bien soumises, de vrai sous merde, prêt à entretenir leur maitresse. Je vous veux très dociles, prêt a tout pour votre maitresse. N’espérez ou n’attendez rien de moi, je vous enverrai si l’envie me prend une nouvelle de temps en temps… SI tu as envie de combler mes envies de luxe, et de m’entretenir, contre absolument rien, juste le fait de savoir, que ma vie est plus agréable. Alors contact moi. N’espérez aucune rencontre ! Alors si tu es une merde, que t’as vie n’a aucun but, comble moi. Ecrivez-moi par MP ! Annonces sérieuse, plaisantins ou autres… Ce n’est pas la peine. Pour ceux qui m’écrivent appelez-moi Maitresse, et ne me tutoyer en aucun cas ! Vous êtes mes larbins, et vous devrez agir en tant que tel ! Bises Caroline..
Les annonces de ce type sont de plus en plus nombreuses sur Internet. Beaucoup de femmes y voient là un moyen facile de vivre bien sans travailler. Mais si on lit attentivement l’annonce, on est quand même en droit de s’interroger sur la santé mentale des protagonistes.
Les pseudos maîtresses, qui n’ont que mépris pour leurs semblables, ne vivent que dans l’apparence et l’oisiveté et cherchent à profiter au maximum des faiblesses des soumis en proie à cette dépendance
Les soumis qui répondent à ce type d’annonce sont-ils vraiment sain d’esprit. On pourrait au premier abord dire oui car cela ne les empêche pas de vivre normalement, rien dans le comportement de tous les jours ne les distingue de vous ou moi. Pourtant, face à ces femmes ultra vénales, ils sont des cibles très faciles et dépourvues de toute défense car incapables de lutter contre leur besoin de soumission financière.
Soumis en réel, par une vraie Domina, je suis pour, mais en virtuel, il y a grand danger pour les soumis.
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D’après ce que j’ai vu sur la toile, le moneyslave est un homme qui cherche une Maîtresse. La quasi-totalité des annonces que l’on trouve concerne des femmes qui cherchent des moneyslaves.
Pourquoi le moneyslave est-il toujours un homme ?
Voilà une question qui me taraude depuis que j’ai entendu parler du phénomène. Car en fait, que l’on soit homme ou femme, le besoin de domination et/ou de soumission est le même. Alors pourquoi ne trouve-t-on pas de soumise prête à payer pour le bien être de leur Maître ? Il y a là vraiment quelque chose qui me perturbe. Y a-t-il des moneslaves féminines dans ce monde de brutes ?!
Et si j’avais une MoneySlave ?
Voilà un truc qui me fait fantasmer. Ce qui me fascine, c’est qu’une femme puisse payer pour m’avoir comme Maître. J’avoue que cela serait assez jouissif en ce qui me concerne. Bon, d’un autre côté, je me doute bien qu’il y en a une qui ne trouverait pas ça si terrible et pour cause, ça la rendrait jalouse de savoir qu’une autre salope puisse se faire empaler par la bite de son Maître.
Mais revenons à ma MoneySlave. N’étant pas du genre à entretenir une relation uniquement dans le virtuel, elle devra donc vivre pas trop loin de moi. Bien entendu, elle devra être totalement libre, pas de relation autre, pas de mari, pas ou plus d’enfants à charge sous son toit. Totalement disponible pour son Maître tant en virtuel qu’en réel. L’échange ne doit pas se faire à sens unique. Elle doit pouvoir tirer profit de cette liaison. Elle dispose donc d’un Maître qu’elle peut contacter à certaines heures qui lui seront réservées, etc. Mais elle ne sera jamais l’égale de Thysminia puisque cette esclave financière aura un Maître, moi, et une Maîtresse, Thysminia. Cela permettra à cette dernière de tester les deux côtés de la domination et comprendre de façon très concrète que dominer n’est pas si facile que cela quand on n’est pas dominant dans l’âme. Mais qui sait peut être que cela lui donnera la foi. Mais ma moneyslave elle portera bien son titre car elle sera esclave, esclave d’un Maître et d’une Chienne (notez la majuscule à Chienne) ! Elle n’aura pas d’avis à donner sauf si je le lui demande expressément, elle sera là uniquement pour mes délires, parfois sadiques voir cruels. Rassurez-vous, ce que j’aime torturer, c’est l’esprit et non le corps. Son parcours sur le chemin de la soumission sera à la hauteur de mon imagination et j’ai beaucoup d’imagination.
Et l’argent me dirait vous ? Je ne l’oublie pas. Il sera la cerise sur le gâteau.
En réintroduisant le délit de racolage passif dans la loi sur la prostitution, les sénateurs donnent un coup d’arrêt brutal à une possible amélioration des conditions de vie des personnes qui se prostituent. L’abrogation de ce délit leur permettait d’entrevoir la fin de ces mesures iniques qui mettent chaque jour en danger leur sécurité en les condamnant à la clandestinité et à l’isolement, et leur santé, en les éloignant des structures de prévention et de soins. Elle les prive ainsi de droits humains fondamentaux.
Vendredi 27 Mars 2015 2015-03-27_cp-retablissement_-delit_-racolage_passif-senat_.pdfPatricia Chaumet, militante de la délégation du Mouvement du Nid du Loiret, présente en quelques minutes les enjeux sociaux de la lutte contre le système prostitutionnel, la nécessité de la prévention, l'accompagnement et le soutien des victimes.
La possible réforme du mariage en Suisse commence sérieusement à agiter les esprits au sein de la droite chrétienne helvétique. Au lendemain de la publication d’un rapport du Conseil fédéral qui propose de remettre à plat les formes d’union, l’Union démocratique fédérale (UDF) de Zurich a annoncé avoir réuni les 6000 signatures nécessaires à l’aboutissement de son initiative cantonale pour la «protection du mariage».
La méthode rappelle celle des mouvements antigay américains, qui livrent, Etat par Etat, une bataille juridique acharnée pour empêcher l’ouverture des unions au niveau fédéral.
Polygames et homos dans le viseur
Le texte veut ancrer dans la Constitution zurichoise la définition du mariage comme «une communauté de vie entre un homme et une femme». Ses auteurs veulent lutter «contre les forces qui cherchent à affaiblir le mariage, à l’ouvrir à des formes de vie différentes, ou à l’abolir.» Polygamie, promotion du concubinage et unions homosexuelles sont cités par le parti comme les principales menaces.
A noter que l’initiative reprend quasiment mot pour mot un passage controversé de l’initiative fédérale du PDC «Non à la pénalisation du mariage», qui sera probablement soumise au vote en 2016. Parallèlement, les Vert’libéraux ont lancé une initiative parlementaire en faveur du mariage pour tous.
Insignifiant, mais actif
Petit parti ultraconservateur d’obédience évangélique, l’UDF affirme avoir réuni les paraphes en seulement cinq mois. Faute de briller aux élections (son seul représentant au Parlement fédéral s’est fait éjecter en 2011), il s’est fait une spécialité de lancer des initiatives et des référendums, notamment contre le partenariat enregistré, en 2005. En Suisse romande, la formation a une audience confidentielle, hormis dans ses bastions du Nord vaudois et du Jura bernois.
Cette pièce de théâtre, création originale, est suivie d'un débat entre la metteure en scène, Clémence Bigaud, de la compagnie Quatre Bouts de Bois, et la délégation de l'Hérault du Mouvement du Nid.
Entre l'intime et le monde extérieur, quatre comédiens portant différents personnages dressent un état des lieux des différentes causes et situations existantes dans la prostitution en France. Et toi combien tu pèses ? est un spectacle pluridisciplinaire visant à amener le spectateur à se questionner sur le phénomène prostitutionnel.
Infos pratiquesJeudi 2 avril 2015 à 18h30
aux Caves Ecoiffier à Alenya
Spectacle conseillé à partir de 15 ans.
Contact et renseignements : 04 68 85 86 07 / 31
À l'invitation de M. Jean-André Magdalou, Maire d'Alénya, de Mme Hermeline Malherbe, Présidente du Conseil Général des Pyrénées-Orientales et Sénatrice
et de L'Assemblée Départementale,
Avec le soutien de Mme Ségolène Neuville, Secrétaire d'Etat chargée des Personnes handicapées et de la Lutte contre l'exclusion et Conseillère Générale des Pyrénées-Orientales.
La pièce de théâtre sera suivie d'un débat avec Clémence Bigaud, metteure en scène et le Mouvement du Nid, association œuvrant pour l'abolition du système prostitueur.
Note d'intentionMouvement du Nid, délégation de l'Hérault :
Nous sommes très engagés sur des actions d'accompagnement des personnes vers la réinsertion, des actions de prévention en direction des jeunes et de sensibilisation de l'opinion publique. C'est donc à travers le constat posé que la prostitution est au cœur d'un enchevêtrement d'inégalités sociales et notamment de genre, que notre équipe s'est mobilisée pour sensibiliser le grand public à la réalité du phénomène prostitutionnel. La commande d'une pièce de théâtre à l'Association Quatre Bouts de Bois en est une illustration poignante. Quoi de mieux que l'art pour faire réfléchir ? A partir de cette pièce, nous aimerions lancer un débat avec les spectateurs sur la problématique prostitutionnelle en mettant en avant notre analyse et notre expérience de terrain.
Clémence Bigaud, metteure en scène, Compagnie Quatre Bouts de Bois :
Après plus de six mois de recherches faites en collaboration avec le Mouvement du Nid, j'ai sélectionné une vingtaine de textes comprenant extraits de reportages, interviews, poèmes et chansons (...).
Mon envie pour ce spectacle est de garder une parole authentique et l'amener sur un plateau de théâtre telle qu'elle a été récoltée, brute, non embellie quand il s'agit de témoignages.
Je le conçois dans une idée d'évolution du spectacle allant de ce qui est assumé, de ce qui est connu, vers ce qui l'est moins, plus difficile à dire et/ou à entendre et donc plus décousu et moins clair. Les personnages passent du domaine extérieur à celui de l'intime jusqu'à ce que tout termine par se confondre et imploser devant l'incapacité de dire...
Il m'a paru intéressant de remarquer l'extrême proximité du phénomène prostitutionnel dans notre société et le gouffre qu'il y a entre la vision que nous en avons et notre connaissance réelle des faits. Une sorte de monde parallèle profondément ancré dans notre société et évoluant avec elle, presque invisible, mais pourtant là et bien réelle, car nous pouvons tous attester avoir déjà vu ou connu une personne se prostituant.
Le rapport de la personne prostituée avec son corps, avec les autres, avec la société qui l'entoure, le rapport homme / femme, client/prostituéE (...) Qu'est- ce que les personnes prostituées pensent de leur activité et comment la vivent-elles ? Qui sont les clients ?Voilà les thématiques autour desquelles évolue ce spectacle.
La Compagnie Quatre Bouts de Bois regroupe 6 comédiens pluridisciplinaires, intervenants artistique et un travailleur social. Elle favorise l'accès à la culture pour tous à travers :
En 2014, elle compte à son actif quatre spectacles joués ou en cours de création, une intervention au Lycée Jules Guesde à Montpellier dans le cadre du Printemps des Poètes et a organisé un festival pluridisciplinaire (théâtre, danse, cirque, projections, photographies, peintures...) nommé 4 saisons le week-end du 20 et 21 septembre 2014 à Saint-Jean de la Blaquière (un village à 40 km de Montpellier).
Et toi, combien tu pèses ?"
Montage de textes et mise en scène par Clémence Bigaud
Création lumière et scénographie par Claire Eloy
Avec Lou Barriol, Jonathan Mallard, Marion Notte et Laurent Quentier
Création de la compagnie Quatre Bouts de Bois, en collaboration avec l'association Mouvement du Nid, avec le soutien de la ville de Montpellier, du département de l'Hérault et du Conseil général des Pyrénées Orientales. Création en résidence à la Maison pour tous André Chamson. Résidence au Théâtre de la Distillerie à Aubagne.
La cravache peut servir à plein de choses. On peut l’utiliser pour faire du bien, comme stimulateur lors d’une fessée érotique par exemple, mais elle peut aussi servir d’auxiliaire pédagogique pour punir une soumise un peu trop dissipée. Dans ce dernier cas, il y a un certain nombre de règles à respecter si l’on veut éviter les dérapages et mauvaises surprises.
La première règle à prendre en compte lorsque l’on veut punir, c’est de ne jamais le faire dans le feu de l’action, sous l’effet de la colère ou d’une forte émotion. Le Maître se doit de montrer l’exemple en gardant son sang-froid et le contrôle de ses actes. Combien de soumises se sont retrouvées sérieusement abîmées à cause d’une punition mal contrôlée car exécutée dans un moment de colère de la part du Maître ? Une punition doit toujours se faire dans le calme.
Il ne faut pas punir en silence. Une punition doit toujours être expliquée avant d’être accomplie. Normalement, si la soumise n’est trop idiote, elle doit bien se douter de la raison de l’arrivée impromptue de la cravache sur son postérieur et de la douleur qui en découle.
La cravache est un instrument qui laisse très vite des marques bien visibles. Il est donc indispensable de bien faire attention ou l’on frappe. Il est évident qu’il faut impérativement éviter le visage, mais pas seulement. En fait, il ne faut pas oublier qu’une soumise est aussi une femme qui a une vie sociale. Il ne faut pas que ses relations soient choquées par des marques de coups sur le corps. Ainsi, si la soumise a pour habitude de s’habiller en jupe, il faut aussi éviter de frapper les jambes. Cela vaut aussi pour les bras.
Certaines parties du corps sont plus sensibles que d’autres. On ne frappera pas avec la même intensité sur les fesses ou sur les seins. Sur le postérieur, je peux y aller franco si je veux vraiment lui faire mal, mais sur les seins, je modère considérablement le coup. Pareil pour les parties génitales, le but d’une punition doit toujours être pédagogique. Frapper comme une brute sur la chatte et faire pleurer à chaude larmes la soumise dans la seconde qui suit n’est pas très porteur en terme de leçon. Même si la faute est grave, le châtiment corporel qui lui est associé, doit rester dans les limites du raisonnable.
Il ne faut pas chercher à faire la compétition avec les autres Maîtres ou soumises. Par exemple, au tout début, la plus grande crainte de ma chienne était de ne pas arriver à supporter autant de coups que certaines soumises. En surfant les blogs, elle voyait des femmes se prendre cent coups de cravache et elle se demandait comment elle pourrait être capable de faire ça. Du coup, elle cherchait la punition pour s’endurcir et arriver avec le temps et l’habitude à être aussi résistante que les autres. C’est au Maître qu’il incombe de faire cesser cette déviance. Une bonne soumise n’est pas celle qui reçoit 100 coups de cravache, mais celle qui n’en reçoit aucun car elle sait obéir à son Maître. Cela vaut aussi pour certains maîtres qui considèrent que pour être un bon Maître, il faut punir à tour de bras comme une brute ou pour faire comme les autres. Il faut en fait savoir s’adapter aux capacités de résistance de sa soumise. Si elle est novice, vouloir infliger 30 coups de cravache très violents risque d’être beaucoup trop dur pour elle. La punition n’est pas une compétition, mais un outil permettant de corriger le comportement d’une soumise.
En conclusion, n’oubliez pas que la soumise est un être vivant, une femme, on peut la punir par des châtiments corporel mais ces derniers doivent être adaptés à la soumise. La cravache est un instrument qui mal utilisé peut faire très vite de gros dégâts et parfois même des dégâts irréversibles. Une bonne punition à coups de cravache est une punition qui laissera des marques bien visibles sur les fesses pendant une ou deux heures et qui permettra à la chienne d’avoir le cul en feu suffisamment longtemps pour méditer sur la cause de la punition.
Parmi les domaines les plus sulfureux de la presse spécialisée, le secteur gay demeure depuis toujours l’un des plus hauts en couleur. Il détient des perles monumentales parmi les pionniers du genre, parus entre 1970 et 1990: les fanzines underground. L’iconographie délicieusement spécifique de ce créneau, alliée à la vaste diversité des publications «off», en font un monde à part à disséquer avec jubilation en se délectant de ce florilège quasiment historique ayant ouvert la voie en grande pompe à toutes les futures publications LGBTQ contemporaines.
Notre premier plongeon dans cet univers parallèle qu’est celui du «fagzine» se situe à Paris autour de 1980. Didier Lestrade, pas encore cofondateur d’Act Up ni de «Têtu», mais déjà très au clair quant à son orientation et à ses coups de gueule, fonde «Magazine», une publication réunissant tous les attributs de cette presse hors-circuit.
brut de décoffrage
Empruntant autant à «Interview» d’Andy Warhol quant à la prédominance de portfolios photographiques d’illustres inconnus (qui bien souvent ne le resteront pas longtemps) qu’aux interviews intégrales en version brut de décoffrage, mais aussi beaucoup à l’esprit punkrock dans l’utilisation de papier coloré pour l’impression et de typographie façon journal: la recette est simple et fait mouche.
«Magazine» est très vite reconnu comme l’un des «fagzines» majeurs de son époque. Stars en devenir et trublions iconiques de la scène gay underground internationale se côtoient sur les pages colorées, le plus souvent épinglés au coin de la rue en mode snapshot par Didier Lestrade lui-même à l’aide d’un Instamatic Kodak.
esthétique hypersexuelle
Au fil de l’aventure, qui durera sept ans, la crème du futur gotha artistique mondial œuvrant à offrir à la cause gay ses lettres de noblesse participe activement à la consolidation de cette image de marque. Aujourd’hui unanimement admise comme incontournable, cette esthétique hypersexuelle reste encore dans l’obscurité au début des années 80. Ce sont très précisément les «fagzines» qui semblent avoir opéré le déclic en ayant fortement influencé la propagation et l’acceptation de la plupart des codes les plus sulfureux de l’univers gay en les élevant au rang d’art .
La liste des collaborateurs en dit long quant à la qualité générale de l’objet réunissant un nombre affolant de futures stars incontestées, ainsi qu’à l’instinct visionnaire de Didier Lestrade. Parmi les nombreux satellites ayant œuvré avec ou pour «Magazine», on trouve entre autres: Tom of Finland, Pierre et Gilles, Divine, Keith Haring, Paul Morrissey, Gilbert and George, Erwin Olaf, Erté, David Hockney et la liste est encore longue et pétillante. Actuellement en voie de canonisation chez certains galeristes et libraires, «Magazine» a récemment été l’objet d’une exposition éponyme à Paris, permettant de découvrir la totalité des numéros parus ainsi qu’une partie des photographies cultes qui en ont fait sa réputation.
L’exposition a été prise d’assaut par les jeunes générations qui n’ont pas eu la chance de les avoir négligemment empilés sous leur lit depuis plusieurs décennies, sinon vendus à prix d’or sur eBay. Pour en avoir le cœur net, il est possible de feuilleter virtuellement quelques numéros de «Magazine» sur le site de Didier Lestrade afin de pouvoir palper d’un peu près l’une des clés de voûte de la presse LGBTQ alors en devenir, grâce à l’engagement et au talent du très prolifique Monsieur Lestrade à la carrure digne d’un héros aux couleurs arc-en-ciel.
La question Nnous est souvent posée mais malheureusement Nnous n’avons pas la solution miracle. Les gens, les petgirls et les petboys ne viennent pas Nnous voir. Et quand bien même comment pourrions Nnous prendre la responsabilité de les diriger vers des inconnus. Pour un petgirl ou un petboy avoir un bon Maître est essentiel. Comme un animal avoir un human pet ou un petboy ou une petgirl demande des repsonsabilités et des devoirs. Certe il existe plusieurs façons de vivre cette relation mais en ce qui concerne la Nnotre. Beaucoup veulent la vivre mais peu sont capable de le faire. Alors pour moi présenter une petgirl ou un petboy à une personne est un acte important. je n’ai pas envie d’apprendre par la suite que cela se passe mal et être responsable pour les avoir présentés. Même si les faits divers sur le BDSM ne portent jamais sur le petplay je n’ai pas envie de faire cela à la légère et surtout je n’ai pas le temps. Pour faire cela il faut prendre le temps pour bien faire les choses. Avec Les Anges Déchues, mon travail vanille et les enfants il ne me reste plus de temps pour faire autre chose. Il ne faut pas à mon sens aller sur des sites de rencontre, d’échanges, de discussion en espérant rencontrer le Dom ou le/la soumis(e). Il vaut mieux y aller pour rencontrer des personnes ayant des points de vues identiques, pour échanger et partager et ce sont les relations des relations qui avec le temps vous permettront de rencontrer votre futur Maitre et Votre futur soumis(e). Bien sur certains diront que rien ne vaut le réel, dans ce cas privilégiez les Munch plutôt que les soirées car aussi bien dans le monde vanille que le monde chocolat je ne crois pas aux rencontres dans des lieux ou les gens vont pour danser et draguer. en général ce n’est pas une recherche à long terme mais plutôt un plan d’un soir.
Elle m’écrivait en anglais. Je lui parlais en français. Ce fut un accord tacite de facto. Il y avait là un très vif plaisir de conquérir la citadelle d’une femme dans sa deuxième langue.
I was late. A client delayed me. I was somewhat flustered as I rushed into the metro station, as I was the first time. I found a bench and sat with my eyes closed, as agreed.
L’obéissance à un ensemble de consignes simples, c’est beau.
Within minutes, Monsieur’s submissive appeared (well, so to speak that is). D… sat down next to me and held my hand. She talked. She conforted. She reassured. She spoke about who she was, vaguely. She apparently gave me her first name. She said she completely understood where I was coming from.
I felt a strange bond with her. The bond of submission.
Taken in HandMonsieur appeared soon after, I believe.
You must understand…when your eyes are closed and your world is limited to one man, there is no sense of time.
L’obéissance à une consigne à la fois simple et difficile : garder les yeux fermés jusqu’à nouvel ordre. Ça aussi, c’est beau.
They both talked. He apparently gave me his first name. I did not give mine as the information I had already provided him would reveal my true identity and I would be too vulnerable.
Je n’ai pas besoin de votre nom, ni de connaître votre métier. Ce n’est pas cette vulnérabilité qui m’intéresse…
The talking was used to reassure me. I had to remain still, mute and with my eyes closed.
Photo : d…
He said he wanted to move into a bit more intimate environment but still public, still at the metro station. He asked if I would feel comfortable in her car but that it wouldn’t move, just stay parked where it was in a very public area.
D… reassured me. He asked for my consent. If I consented, I was to raise my hand and put it on his. This was perhaps the most defining moment of my submission to date as it required, for the first time, my active submission.
After a couple of hesitant moments, I slowly raised my hand.
Ça aurait mérité une belle photo, ça.
He said to raise it higher. That order to raise it higher was very symbolic to me, indicating my clear and unequivocal step to the next level.
Monsieur took me in hand. I could not remain passive any longer. I consented because I did feel safe.
At this point, D… took me in hand. Eyes remaining closed, she led me to the parked car. Monsieur had gone first to warm it up. Walking with Monsieur’s submissive, a stranger with whom I have such an intimate bond… very surreal yet so very real.
D sat in the front seat. I got in the back with Monsieur.
He never touched any of my intimate, private areas. He did however, order me to sit straight and open my legs. He felt my panty hose and I felt him reaching for something. The next thing I knew, he was cutting them off.
J’aime cette disponibilité nouvelle chez une femme que je ne connais pas… que je puisse la prendre à mon envie… ou ne pas la prendre même…
He went to cut my panties off but I stopped him because I was wearing pink ones, my only pink pair, which my husband had seen me readjust earlier this morning and he does the laundry.
Monsieur listened and stopped immediately. He covered me back up somewhat.
I was not exposed….at least I think not. I have no idea.
It is irrelevant, in any case. I wanted to please him.
He put his hands close but never touching in order to stir my desire. He took off my bra without taking off my blouse; never really touching me. He readjusted all my clothing properly.
Photo : d…
It was an extremely relaxed setting. He would talk casually with his sub and me. He was acutely aware at all times of both our situations and well being. I didn’t detect any malice in his voice or intonation but that remains to be seen. Not everything is as it appears.
He remained involved with his sub, putting a gag on her while she sat in the front seat. He had first put that gag in my mouth but not secured in any manner just so she could taste me. He would ask her if she was alright. At one point he took it off her which was lucky because soon after someone knocked on the window to ask a question.
So I sat there with tattered stockings as Monsieur caressed me with his skin. His hands ran over my face and neck, alternating between soft, gentle caresses to grabbing my hair, pulling me down. It was a beautiful, sensual dichotomy.
He told me to remain still. I felt the point of a knife sliding down my face. I felt no fear for some reason. This is what confuses me here. My submission was so perfect at that moment that I was lost in Monsieur. I had complete trust in him. A stranger. A complete stranger. That really wasn’t smart on my part.
C’est dommage que la soumise dénigre son ouverture alors qu’elle vient de se faire confiance et qu’elle n’en a pas été punie.
He had me lie back on his lap. He continued to softly stroke and comfort me; sometimes grabbing my hair and neck. He spanked me a couple of times, once quite hard ;)
Oh, si peu.
The music, Shostakovich; my favorite composer as his work always resonated with me. Now I know why. I believe it was his Second Waltz playing in the background. The song Strangers in the Night was playing. Coincidence? I think not. What a surreal experience!
He stroked my face and neck for quite a long time. I loved the tenderness.
It sounds very pitiful as I write this but I realize that no man, meaning my husband, has shown any kindness, any gentleness to me in such a long time that I relished every moment of it. My husband does not come near me. I have not been touched in so long.
It’s weird when I say it because I sound like such a loser but until you write the words, you don’t realize how pathetic your situation is; you just live with it.
Photo : d…
The normal becomes abnormal, I guess. And the abnormal is becoming new normal for me.
His HoldIt was so incredibly erotic. I held D…’s hand at various points and she spoke to us.
But I don’t think I need to anymore. I just need Monsieur’s hand now. Very comfortable situation. Monsieur respected my time constraint and, save for the pantyhose, I was returned unscathed.
Monsieur walked me back to the inside terminal with my hand in his. He kissed me on the forehead. Our first kiss ;).
He ordered me to turn around, facing away from him. He put one arm around my waist, the other arm circling my neck and secured his grip.
In the middle of Métro station on a busy Friday night, Monsieur exacted my sexual submission. I was symbolically bound to him.
One last hold in the middle of a busy Métro station.
I can still feel his hold on me.
The bond of submission.
Sur le même sujetLa liste des exhibitionnismes éphémères et futiles sur les réseaux sociaux s’étend. C’est parti pour montrer ses boobs… enfin pardon ses underboobs (traduction : sous-les-seins)!
Comme j’en ai pris l’habitude, je vous fait part des petits mèmes exhibos inutiles du web. Je vous parlais déjà il y a quelques mois du #BeeChallenge où des filles montraient leurs seins en mettant leurs soutifs sur leurs yeux, de l’AfterSex qui consistait à se prendre en photo après avoir fait l’amour et du belfie qui est la mode de prendre en photo son postérieur.… Lire la suite
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Dans le domaine de la D/s, qui est celui qui me concerne le plus, les sanctions sont indispensables. Mais contrairement à ce que la grande majorité des gens pensent, une sanction n’est pas synonymes de punition. En effet, la sanction peut être valorisante (récompense) ou pas (punition). Petit tour sur le dictionnaire par ici ! Maintenant que la définition a été faite, rentrons dans le vif du sujet. La sanction est ce qui permet au Maître de récompenser sa soumise pour l’encourager à continuer dans son effort ou au contraire de la punir pour corriger un comportement non conforme aux exigences du Maître. On comprend bien qu’une domination ou il n’y aurait aucune sanction ou pire ou il n’y aurait que des punitions serait vouée à l’échec dès le départ.
Les récompenses sont indispensables. Elles permettent une stimulation de la chienne et lui donne envie de faire mieux pour avoir encore plus de bienveillance du Dominant. Il faut savoir doser, la modération est de mise pour éviter que la chienne ne prenne la grosse tête et ne devienne sans s’en rendre compte trop exigeante. En effet, il devient alors facile pour elle d’attendre une récompense à chaque fois qu’elle fait quelque chose de bien. Est-ce qu’il viendrait à l’idée de quelqu’un s’extasier devant la télé uniquement parce qu’elle s’est allumé quand on a appuyé sur la télécommande. Certainement pas. C’est dans l’ordre normal des choses. De même, un enfant qui fait ses devoirs et ses leçons, ça n’a rien d’extraordinaire (quoique ?!!!). Il n’y a pas lieu de le récompenser à chaque fois. Cela fait partie de son statut d’écolier. Par contre, un enfant qui ramène un bon bulletin scolaire à la fin du trimestre, voilà qui mérite récompense. Une chienne est comme un enfant que l’on éduque. Il n’y a pas lieu de la récompenser à chaque fois qu’elle fait quelque chose de bien. Par contre, quand elle réussit une épreuve importante, alors là, la récompense est indispensable pour qu’elle persévère sur la lancée.
Hélas, les chiennes sont loin d’être parfaites (heureusement pour nous du reste). Elles font aussi des bêtises. Dans ce cas, la punition est là pour corriger le tir et ramener la bestiole sur le droit chemin. La sanction doit être à la mesure de la faute mais il faut bien comprendre que le but du jeu n’est pas punir pour le plaisir de punir mais de punir pour corriger. Dans ce cadre, il est indispensable de bien expliqué le pourquoi de la correction. L’explication est aussi importante que la punition elle-même. Certains maître, que personnellement je qualifie de pseudo-maître vont tout faire pour que la soumise échoue et soient punie. Cette démarche est très dangereuse car en fait, il y a volonté délibérée du maître (vous noterez le « m » minuscule) de frapper pour le plaisir en invoquant une fausse bonne raison. Dans ce cas nous sommes loin de la D/s et très proche de la déviance psychiatrique du maître. Il y a aussi un autre piège à éviter. J’en parle parce que j’ai dû y faire face. C’est la volonté délibéré de la soumise de faire des bêtises pour obliger son Maître à s’occuper d’elle. Il faut alors bien distinguer la vraie faute et la fausse. Dans le second cas, le dialogue est indispensable pour rétablir la situation. De plus, comme je me plais à le dire, une bonne soumise est une soumise que l’on n’a pas besoin de punir.
La sanction doit faire partie intégrante du cheminement de la soumise. Elle est l’outil indispensable du Maître pour guider sa chienne. Le dialogue permet le plus souvent de corriger les éventuels écarts.
Un peu d’anatomie :
L’éjaculation féminine désigne, chez la femme, la libération involontaire d’un liquide (éjaculat) à l’approche ou au moment de l’orgasme. Cette éjaculation est le produit des glandes de Skene, qui seraient l’équivalent de la prostate chez l’homme. L’émission liquide est très faible chez une majorité de femmes, mais abondante chez d’autres; l’expression femme fontaine est parfois utilisée pour désigner une femme à l’éjaculation très abondante. (Merci M. Wikipédia)
Que dire ? Pour beaucoup d’hommes, la femme fontaine est un fantasme très fort quand on le connait. Car tout le monde ne sait pas que ça existe. Personnellement, je l’ai découvert par inadvertance en dégustant une chatte humide qui d’un coup m’a aspergé le visage. J’avoue que sur le coup, je n’ai pas tout compris. J’ai cru qu’elle m’avait fait pipi dessus. Mon égo en avait pris un coup. C’est en constatant que le phénomène se reproduisait presque à chaque orgasme que je me suis posé des questions. Quelques semaines plus tard et après de nombreuses recherches, j’ai fini par comprendre le pourquoi du comment. Je me suis senti nettement plus rassuré et ma chienne aussi car elle commençait vraiment à se poser de sérieuses question sur sa normalité.
Maintenant, j’avoue que je prends énormément de plaisir avec ma chienne fontaine. La faire éjaculer à répétition m’excite au plus haut point. Je dirais même que c’est maintenant un de mes jeux préférés. C’est même devenu une unité de mesure. Plus elle inonde, plus elle a eu de plaisir et plus je suis satisfait. Vous l’aurez compris, il faut donc que ça coule, que ça dégouline, qu’il y en ait partout.
Mais tout cela n’est pas sans conséquence. Il est clair que vous avez intérêt à prévoir les serviettes épaisses pour le lit ainsi qu’un protège matelas vraiment étanche. Si vous faites ça par terre, prévoyez une serpillère car ça peut parfois prendre des proportions assez spectaculaires. Par exemple, j’adore mettre ma chienne dans un état de frustration extrême avant de passer à l’acte. Résultat, quand elle se lâche enfin, c’est l’inondation totale. Ca n’arrête plus et j’adore ça.
Le fantasme de la soumission n’est pas une rareté chez les femmes (ou chez les hommes). Je dirais même que c’est l’un des plus répandus. Mais ce rêve n’est pas le même chez toutes les femmes. Certaines veulent juste un peu de soumission de temps en temps, d’autre au contraire chercherons à être soumise en permanence. Ce besoin de s’abandonner totalement ou partiellement à l’autre peut rester longtemps au stade du fantasme car la mise en pratique est souvent laborieuse et chaotique. Je ne parlerais pas des femmes qui ne veulent se soumettre que de temps en temps, cet article est dédié aux autres, celles pour qui la soumission à vocation à devenir un mode de vie permanent ou presque que ce soit en réel ou en virtuel.
La première étape de ce processus est la prise de conscience. Elle peut être rapide mais peut aussi prendre des années. L’esprit humain est ainsi fait. Il faut parfois longtemps avant qu’une névrose arrive à la surface du conscient. Car c’est bien de cela qu’il s’agit. Au départ, nous sommes tous porteurs de névroses. Certaines sont conscientes et d’autres restent dans le domaine de l’inconscient. La soumission n’est que la partie visible d’une névrose qui arrive dans le champ de perception du notre conscience. A partir de là, peut commencer le travail de réflexion sur ce que l’on est et sur ce que l’on veut. Cette introspection peut prendre un certain temps voir même un temps certain. Mais certaines femmes savent dès leur plus jeune âge qu’elles seront soumises. D’autres tenteront de lutter contre pour tout un tas de raisons, convictions religieuses, éducation, environnement social peu propice à ce type de relation. Pour ces femmes-là, la vie sera une lutte permanente contre leurs pulsions mais le bonheur authentique, la plénitude de l’esprit ne sont jamais à l’arrivée. Cela vaut aussi pour les dominants ceci dit en passant. Pour celles qui décideront de laisser parler leurs envies, la quête peut alors commencer.
Que l’on ne s’y trompe pas, qu’il s’agisse d’un couple vanille ou chocolat, l’homme propose et la femme dispose. En clair, cela veut dire qu’au final, c’est la soumise qui choisit le Maître, Son Maître. La soumise peut aussi rendre son collier à tout moment si elle estime que son dominant n’est plus apte à s’occuper d’elle. Certains faux maîtres tenteront alors de chercher à faire culpabiliser la soumise pour la faire changer d’avis mais ceci n’est qu’une réaction de défense primaire et stupide. Un vrai Maître aurait établi un dialogue dès le début et si séparation il doit y avoir, c’est dans le consensus qu’elle doit se faire. Pour trouver son Maître il n’y pas de recette miracle. Tout au plus pouvons-nous donner des conseils.
Après, pour le reste, c’est surtout une question d’atomes crochus. Il faut laisser le temps agir un peu.
Avant de rentrer dans le vif du sujet, il faut bien comprendre qu’être soumise en rêve et l’être en réel sont deux choses bien différentes. Etre une soumise, c’est s’offrir corps et âme à un Maître, celui que l’on a choisi. Cela veut dire que l’on devient sa chose, son jouet. Si l’envie lui prend de vous défoncer le cul à 3h00 du matin, vous ne pourrez rien faire d’autre que de lui offrir votre cul et de ne pas oublier de le remercier une fois qu’il aura fini. Il faut bien avoir présent à l’esprit que votre corps ne vous appartient plus. Et généralement, il n’y a pas que le corps, l’âme aussi devient sa propriété. La soumission, c’est se mettre au service de l’autre dans le cadre des limites fixées.
Le chemin d’une soumise est tout sauf facile. Votre Maître vous demandera de faire un certain nombre de choses qui vont sembler insurmontables mais avec son aide, vous franchirez tous ces obstacles. La progression doit se faire à la bonne vitesse. Il ne faut pas chercher à bruler les étapes. Il ne faut pas non plus faire de fixation sur tel ou tel aspect du BDSM. C’est le Maître qui fixe le cap et c’est lui de vous devez suivre et non vos démons. Au début de ma relation avec Thysminia, elle voulait à tout prix rivaliser avec les autres soumises qui réussissaient à encaisser des dizaines de coups de cravache. Elle pensait que c’était ça être une bonne soumise. Alors elle faisait tout pour que je la punisse et qu’elle prenne ainsi de l’endurance. Il a fallu que je lui fasse comprendre qu’une bonne soumise, ce n’est pas un soumise qui peut prendre 50 coups de cravache. Une bonne soumise, c’est une soumise que l’on n’a pas besoin de punir parce qu’elle obéît à son Maître. C’est un exemple de travers dans lesquels une soumise peut facilement tomber. Le Maître est là pour veiller à ce que cela n’arrive pas.
C’est là que l’on voit tout l’intérêt d’une relation fusionnelle soumise/Maître. Elle permet à la soumise de s’en remettre totalement à son guide ce qui selon moi est indispensable pour qu’elle puisse progresser. Par contre, le Maître doit être capable de garder un minimum de distance ce qui est très dur dans le cadre d’une relation de couple. Mais la soumise doit bien comprendre qu’elle ne peut pas jouer sur les sentiments pour pousser son dominant à faire une chose qu’il n’aurait pas faite autrement. Cela ne veut pas dire qu’il est interdit de faire plaisir à sa soumise, cela veut simplement dire qu’il faut que la hiérarchie reste stable et que si nécessaire, d’un simple regard, d’un simple geste, la soumise doit être capable de tenir son rang.