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PRÉSENTATION
Samedi 8 février 2020
de 21h00 à 05h30
Découvrez le programme de la NUIT ÉLASTIQUE : dancefloor, grand bar, immense donjon SM…
Deux niveaux, l’un convivial et festif avec le dancefloor et l’autre carrément sulfureux, érotique, pervers et sexe + bien d’autres choses.
Pour acheter vos tickets en prévente cliquez sur le logo ci-dessous :
Capacité : 250 personnes.
1. Entrée et accueil accueil de la clientèle et des personnalités par FrancisPhotos (appareils photos, smartphones ou autres) STRICTEMENT INTERDITES dans la backroom.
TENUE FETICHISTE STRICTEMENT OBLIGATOIRE Tenue vinyle, latex, wetlook, simili-cuir ou cuir véritable strictement obligatoire.Octobre 2018, le gouvernement indien décide de bannir plus de 800 sites pornos. Pour qui veut se palucher dans le Sous-continent, la parade est vite trouvée : s’équiper d’un VPN (Virtual Private Network). Un peu plus d’un an après, une étude révèle que le nombre de téléchargements de ce type d’applications a connu une croissance fulgurante.
Les indiens vont pouvoir continuer à s’astiquer. Un an après l’interdiction de 827 sites pornos par leur gouvernement, Top10VPN – spécialisé dans l’actualité de ce genre d’applications – révèle que le nombre de téléchargements de VPN a augmenté de 405% au pays de la vache sacrée. Soit un total de 57 millions. Pour rappel, un VPN permet d’attribuer à un ordinateur une adresse IP différente de celle du pays où il se connecte. Un moyen très efficace pour contourner n’importe quel système de censure local mis en place.
Une situation évidemment très intéressante pour les compagnies du secteur. ExpressVPN a par exemple été téléchargé 1.8 million de fois sur la période octobre 2018/septembre 2019. A 12.95$ le mois, le calcul est vite fait. Pour les indiens qui ne veulent/peuvent pas payer (la majorité), il reste toujours des applications gratuites (Turbo VPN, Solo VPN, etc.) ou les rares sites qui passent encore entre les mailles du filet, RedPorn ou SexVid par exemple. Quant aux branleurs indiens qui se font gauler, pas d’inquiétude : regarder de la pornographie n’est pas interdit par la loi au pays de Gandhi. Sauf si c’est en public, ou si les vidéos mettent en scène des enfants.
C’est justement sous le leitmotiv de la lutte contre la pédopornographie que le pouvoir indien avait adopté cette décision drastique, en octobre 2018. Résultat : une vague d’indignation issue de la société civile et de la classe politique, accompagnée de l’émergence du hashtag #PornBan. Réaction prévisible dans un pays classé troisième en matière de consommation de porno, derrière les USA et l’Angleterre. Même le géant américain Pornhub était venu au secours des fapeurs indiens, mettant en ligne un site miroir dont l’URL se terminait en « .net » (au lieu de « .com ») afin de rendre ses vidéos accessibles. Une ruse vite neutralisée. Un rapide coup d’œil à la liste publiée par The Indian Express permet de mesurer l’ampleur de la censure.
Le porno en ligne de mire dans l’HexagoneLutte contre l’accès aux sites pornos, protection de l’enfance, ça ne vous rappelle rien ? Bingo ! L’exemple, et échec, anglais en matière de régulation de porno. Mais surtout la récente déclaration du Président Emmanuel Macron, à la tribune de l’UNESCO, le 20 novembre dernier : « on n’emmène pas un enfant de 13 ans dans un sexshop ». Une formule choc pour justifier sa croisade contre l’accès au porno par les plus jeunes. Oui oui, le même Emmanuel Macron qui expliquait à Konbini, dans une interview décalée de 2017, que « le porno fait partie de la vie ». Allez comprendre.
Macron, le candidat du porn pic.twitter.com/ZhIz8WXC8O
— Le Bon Fap (@lebonfap) February 3, 2017
Mais vers quoi se dirige-t-on exactement dans l’Hexagone ? Pour l’instant, c’est le flou artistique et la balle est dans le camp des « acteurs de l’Internet ». Ces derniers ont six mois pour présenter une « solution robuste » pour contrôler l’âge des internautes qui souhaitent accéder à du contenu pornographique (le disclaimer demandant si le visiteur a plus de 18 ans est jugé insuffisant). Passé ce délai, les sites non dotés d’un système de contrôle efficace pourraient être bloqués sur décision d’un juge. Se dirige-t-on vers un système de reconnaissance faciale, comme l’envisage l’Australie ? Ou vers une plate-forme de vérification d’âge à la AgeID, produite et commercialisée par Mindgeek, l’entreprise montréalaise propriétaire de Youporn & Pornhub ?
La deuxième solution serait catastrophique pour les productions indépendantes qui n’auraient pas les moyens financiers de s’équiper d’une telle plate-forme. Condamnées à la fermeture par la Justice française, elles verraient le public se diriger vers des marques déjà bien connues pour qui l’achat d’un tel équipement n’est rien. Un rapport de force clairement en la faveur de grandes multinationales. Et un coup dur pour la diversité, la création et l’innovation dans l’industrie porno. Mais surtout un moyen de déplacer le problème ailleurs. Les gamins d’aujourd’hui sont plus doués que leurs parents un clavier entre les mains. Rien ne les empêchera de se tourner vers les VPN, voir le Dark Web où pullulent des contenus non contrôlés. Dont de la pédopornographie. De l’autre côté de la barrière, l’ultimatum posé par Jupiter ne laisse pas insensible. Ovidie explique dans un thread pourquoi cette mesure n’est pas si aberrante, précisant au passage que 70% de l’accès au porno se fait via le portable. D’où l’impuissance des parents à surveiller les activités en ligne de leurs rejetons, notamment sur SnapChat, très populaire chez les moins de 15 ans. Nikita Belluci rappelle que sur Twitter, le contenu porno hardcore (faciale, triple pénétration anale, etc.) est présent sans aucune forme de contrôle.
Vous voulez un thread sur la proposition d’E.Macron hier à l’Unesco de donner un ultimatum de 6 mois aux opérateurs ? C’est parti
— Ovidie (@Ovidieofficiel) November 21, 2019
Alors que faire ? Installer un mouchard sur le portable de votre ado ? Attendre un hypothétique réveil de l’Education Nationale en matière d’éducation sexuelle ? Non. Tôt ou tard, il/elle sera confronté(e) au porno. Par le biais d’un ami, sur les réseaux sociaux ou au détour d’un pop-up sur un site de streaming. Même si cela semble gênant, peut-être est-ce le moment de discuter autour de la table. De démystifier le porno, d’aborder les notions de consentement et de stéréotypes. Rappeler que, au final, tout cela n’est que du cinéma à ne pas reproduire dans la vie réelle.
Vous pensiez qu’avant internet, le monde du porno était encore à une ère préhistorique où il fallait se contenter de mater des zébrures sur Canal + le samedi soir ? Détrompez-vous !
L’âge d’or du X (les années 80-90) était bien plus funky qu’il n’y parait.
Guillaume Le Disez, auteur de Rayon X, nous éclaire sur cette époque où le porno était encore fabriqué par les professionnels du cinoche !
Aussi fou que cela puisse paraître, certains comités d’entreprise consacraient dans les années 90 une part de leur budget à la location de cassettes olé-olé… pour leurs employés. « on pouvait (…) repartir de l’usine après une dure journée de labeur, avec le sentiment du travail bien fait et un film X sous le bras. » peut-on lire dans Rayon X.
« Pour les comités d’entreprise, c’était comme offrir à ses employés une sortie à Disneyland. C’était un divertissement comme un autre. » commente Guillaume Le Disez.
Un début des années 90 marqué par des carrières longues, un secteur industriel plus développé qu’aujourd’hui…et un univers encore très masculin, peut-être ?
2. On peignait des slips sur les touffes poiluesAu début des années 70, le porno en vidéo n’est pas encore très développé et ce sont les romans photos qui cartonnent auprès du grand public ! La législation française étant encore très stricte, le « système pileux » devait être...Lire la suite sur Union
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La fausse couche représente une épreuve douloureuse dans la vie d’une femme. 15% des grossesses se terminent en fausse couche dite isolée, informe le site Améli. La majeure partie du temps, les grossesses qui suivent une interruption précoce isolée se déroulent sans grandes difficultés. Mais plus l’âge augmente, plus le risque de faire une fausse couche s’accroît : « à 25 ans, il est de 12% par cycle et de 50% à 42 ans » est-il écrit sur le site Améli. Et dans certains cas plus rares et dû à des anomalies, des malformations ou encore des perturbations hormonales, 1,5% des femmes vivent des fausses couches à répétition.
Toutefois, des scientifiques auraient décelé une pratique en vue de réduire la possibilité d’une fausse couche.
L’éjaculation buccale permettrait d’éviter une fausse coucheUne étude (relayée dans sciencealert) du Leiden University Medical Center aux Pays-Bas suggère qu’avaler du sperme réduirait le risque de fausse couche.
Les chercheurs recrutent 234 femmes dont 97 d’entre elles qui ont vécu des fausses couches récurrentes. Après les avoir interrogé sur leurs grossesses précédentes et leur vie sexuelle,...Lire la suite sur Union
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L'auteur des faits a été identifié grâce à la vidéoprotection du restaurant où la victime s'était réfugiée.
L’article Brest : Un homme agressé au couteau, en raison de son orientation sexuelle est apparu en premier sur Association STOP HOMOPHOBIE | Information - Prévention - Aide aux victimes.
Dans une rue populaire du Centre de Rio de Janeiro, derrière la porte d’une maison qu’on remarque à peine dans le paysage, se cache un lieu bienveillant pour les femmes : le premier studio de tatouage féministe de la ville. Créée en 2019, la maison Casaxottta est composée uniquement de tatoueuses femmes, qui revendiquent un […]
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