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Right now in various locations around SF, you can find free copies of glossy local gay club guide, Left. The cover (original photo above) was great enough for me to bring a copy home and track down both the art and the artist featured on the cover, discovering a new magazine I really like in the process.
That artist is Paul Oberle, whose sexy nude Leia is unnamed in the original photo. His entire Star Wars themed set is here. He previously featured it with even more photos on his blog, DC Discombobulated, in a post titled Star Wars: Macros and Models.
On a side note, I really wish Flickr would fix their photo view. It makes great photos look too tiny and unforgivably unflattering. But Flickr’s users really don’t matter, do we? My account is almost a decade old (12,215 photos, 9,934,844 views) yet the last contact I had from Flickr was a non-contestable warning that I would have my account deleted without notice at its discretion — all because I linked to Tiny Nibbles in my bio. Now that links and website content are starting to be considered the arena of free speech protections … I think policies like this are looking as dated as they are problematic for companies like Yahoo (who really doesn’t need more of either category).
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Il n’y a pas 36 façons de s’imposer sur un marché extrêmement concurrentiel. Casser les prix, miser à fond sur la communication, s’engouffrer dans une niche… Ou innover. C’est l’option qu’a choisie Veronica Chaos pour conquérir les plaines impitoyables du camshow. Pour se démarquer de ses milliers de concurrentes sur MyFreeCams, la jeune femme de 27 ans réalise ses performances avec l’aide d’une marionnette équipée d’un gros gode depuis 2013.
Aux côtés de ce partenaire de bois baptisé Slappy, elle a pastiché de nombreux classiques, du Magicien d’Oz au célèbre hentai La Blue Girl. Veronica Chaos se donne du mal pour élaborer ces camshows. Elle se maquille avec soin, parfois intégralement. Elle prépare des costumes élaborés pour elle et Slappy. De temps à autre, elle bricole même des décors. Sans oublier ses répliques : grâce à ses talents de ventriloque, la camgirl fait mine de discuter avec sa marionnette pendant ses shows.
La formule paraît trop étrange pour fonctionner. Pourtant, c’est exactement ce qu’elle fait. “Le marché pour ce genre de chose était bien plus gros que ce que j’avais imaginé, expliquait Veronica Chaos dans Cracked en juillet 2014. Avant, il n’y avait que 10 à 20 personnes qui suivait mon show du début à la fin. Aujourd’hui, il y en a plusieurs centaines, parfois même plus de 1 000”. La notoriété de la camgirl n’a cessé de croître depuis. Jusqu’à lui permettre d’ouvrir son propre site Internet avec abonnements payants au mois d’avril dernier.
Malgré ce succès, Veronica Chaos n’a pas l’intention de trop s’éterniser dans le domaine des camshows. Être ventriloque sans être nue, c’est là son rêve. “J’aimerais m’orienter vers le mainstream en étant plus bavarde avec ma marionnette tout en couchant moins avec elle”, a-t-elle déclaré avec humour au Huffington Post il y a environ un an. Pour le moment, elle semble avoir plutôt décidé de rester dans la niche bien chaude qu’elle s’est creusée.
Avec près de six millions d’abonnés, Sky Broadband est le deuxième plus grand fournisseur d’accès à Internet du Royaume-Uni. Cette année, le groupe éponyme auquel il appartient a réalisé plus de 11 milliards de livres de chiffre d’affaires, presque 15 milliards d’euros. Il détient près de trente chaînes de télévision et un service de vidéo à la demande. En clair, Sky est un acteur majeur du divertissement outre-Manche, mais aussi en Europe : le groupe propose également ses services aux Italiens, Allemands et Autrichiens.
Malgré sa qualité de mastodonte, Sky est soumis aux directives de son gouvernement. En 2013, le premier ministre britannique David Cameron et son équipe ont déclaré la guerre à la pornographie en ligne au nom de la défense des enfants. Leur projet a abouti quelques mois plus tard, quand tous les fournisseurs d’accès à Internet du pays ont été contraints de proposer un système de filtrage des contenus adultes à leurs clients.
Au départ, Sky ne proposait ce service qu’à ses nouveaux consommateurs. Et puis, au mois de janvier 2015, il a contacté tous ses abonnés pour leur demander d’activer ou non le filtre. Ceux qui ne répondaient pas à la requête du groupe voyaient le système activé : qui ne dit mot consent, c’est bien connu. Et puis hier, à quelques jours de la nouvelle année, le fournisseur d’accès a annoncé une nouvelle mesure de lutte contre la pornographie.
Désormais, Sky ne demandera plus l’avis de ses nouveaux abonnés. A partir du début de l’année 2016, son filtre sera activé par défaut pour tous les clients ayant nouvellement souscrit aux services du fournisseur d’accès. Contactée par le site Internet de la chaîne de télévision britannique BBC, la directrice de Sky Broadband Lyssa McGowan a expliqué que “le filtrage par défaut (était) le meilleur moyen (…) de prendre part à la lutte du gouvernement contre l’exposition des enfants à du contenu inapproprié”.
Encore un grand pas en arrière pour la liberté des internautes britanniques.
Vu sur Tirage au sort sur la page facebook de la collection De fil en soie
Aucun concours n’avait encore été organisé sur la page facebook de la collection De fil en soie. Je propose donc rapidement un tirage au sort parmi les personnes qui aiment (et aimeront) cette page. Le premier épisode des Impromptus pour Chloé de Daphnis est en jeu. Je vous laisse un peu de temps pour vous […]
Cet article provient de Littérature érotique
Voici venu le temps des bonnes résolutions, du “(re)cadrage” de vie, de carrière et d’habitudes afin de coller un peu plus aux critères de la société… Pour être heureux, il faut avoir des objectifs.
Comme tous les ans, je pourrais me voiler l’âme. Ne plus jurer, ne plus avoir envie de coucher le premier soir. Donner ma vie à Jésus et être la fille de ma Mère… Toussa, toussa quoi. Mais à presque 31 ans, je commence à avoir une connaissance de moi, de ma volonté, que je n’avais pas jadis.
Je pourrais me mentir et me dire que ma dizaine de clopes par jour et mon verre de vin quotidien ne sont pas si graves et que je pourrais m’arrêter quand je veux. Ben oui, “ya ka d’mander”. Je pourrais reconnaître en toute humilité que mes fréquentations sont merdiques et que je pourrais m’entourer de gens un peu plus “sains d’esprits” qui m’aident à avancer sereinement et à me rendre meilleure.
D’ailleurs, dans un état de pure folie, je pourrais même commencer à croire à tous ces mantras pleins de propagande qui défilent sur Facebook : “souris et la vie te sourira”. Ou pire, “si tu y crois dur comme fer, les portes de la vie ne se refermeront plus face à toi”. Et dans tout ce blabla digital plein de sentiments sirupeux à la kiss cool, je pourrais même demander la paix dans le monde et les couronnes de fleurs…
Mais non.
Quand tu as 30 ans et des poussières, tu sais. Tu sais que dans la vie, il ne suffit pas de cliquer sur “j’aime“ pour que tes rêves se réalisent. Si tu ne me crois pas, lis les journaux ou repère les trolls. Suis l’évolution du monde – chaotique – pour te rendre compte que l’être humain a beau espérer, désirer, prier de toutes ses forces pour des jours meilleurs – et pour être meilleur qu’hier – cela ne marchera pas, ne marchera jamais.
Ainsi, j’ai décidé, cette année, d’être moins ambitieuse. De faire des pas d’enfant pour construire mon histoire d’adulte… Pour continuer encore un peu. Comme je peux. Et au lieu de demander, je vais remercier.
Remercier le ciel, la stratosphère, les arbres ou le dieu éternel de m’avoir donné la chance d’être encore en vie. Parce qu’on a beau essayer de s’en persuader, ce souffle qui nous habite n’est pas un dû. Toi, moi, elle : on pourrait être l’enfant qui pleure sa famille tuée dans un accident (mille fois plus probable que de mourir sous le joug de ces bâtards de terroristes). On pourrait être ce père qui pleure son enfant enchaîné par les vices de miss Héro, cette femme qui prie tous les soirs pour que l’univers lui rende sa dignité et son droit à la liberté…
Je veux remercier l’inconnu qui, hier, à Nanterre, m’a souri. Comme ça. Cadeau. Je veux remercier l’enfant qui m’a fait rire et le caviste qui sait trouver les mots justes qui me feront aimer, encore, ce grand cru. Ben oui, je ne suis que bouc émissaire, mais quand même. Merci à ce collègue qui m’aide sans poser de questions alors que finalement, il me connaît à peine.
Merci à vous, amis, pas toujours présents mais inconditionnellement aimants. Malgré mes rages, mes jugements intempestifs, mes silences assourdissants et ma façon d’être moi. Pas idéale. Pas très jo-jo au final mais vous êtes mes humains favoris qui depuis 2 ou 20 ans n’ont pas failli. Envers tout. Envers la vie.
Merci à ma famille, bien sûr. Toujours. Un peu brouillonne et un peu bruyante. Parfois décevante et souvent déçue. Mais sang de mes veines et espoir perpétuel qui ne m’abandonne pas.
Et par-dessus tout, merci à toi. A toi qui depuis 10 ans, me soutient, m’aime, me console, me titille, me challenge, me fait ressentir la vie. Malgré moi. Malgré mes frasques. Malgré mon envie de nous fuir. Malgré nos combats.
Parce que finalement il ne suffit pas de se faire un planning strict pour être heureux. Il suffit simplement de faire attention, connement, quotidiennement, à ces petites choses qui nous rappellent l’essence même du souffle de l’existence… Résolument “vie”.
(cc) Daniela Brown
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I’ve written about this film many times over the years, and a recent email from someone trying to track it down reminded me just how great The Operation (1993, 12:50 minutes) still is. It’s a sexually explicit sci-fi style scene shot entirely in infrared, and the effects of body heat and cooling fluids are riveting. And uncomfortably sexy. Amazingly, The Operation was shot in 48 hours on a shoestring budget. It was an underground cult film upon release, and I think it has become an incredibly important piece of art. From the film’s blurb:
In a cold tile operating room, a surgeon clad in a protective Ty-Vek suit, goggles and tight rubber gloves demonstrates her skill before a group of observers. They scrutinize the eerie coupling between the surgeon and patient, whose bodies merge like molten lava. Thermal coitus draws the viewer into an erotic experience that probes beneath the boundary of skin.
The Operation was conceived, shot, and performed by artists Jacob Pander (aka Otto Wrek ) and Marne Lucas (aka Gina Velour). From their Incident Energy project bio:
Merging their interests in surveillance technology, they recently created a multi-channel video installation filmed with heat-sensitive Thermal Imaging (IR) systems. By illuminating the actual heat of nature, culture, and the body by tracking the glowing heat/energy signatures of objects and people at terrestrial temperatures, they provide a new way of perceiving the Self.
Two years ago they released their trailer for Incident Energy, a conceptual art installation and show that brought us more bodies beautifully, hauntingly shot in IR.
At the top of this post is The Operation’s trailer, which Lucas uploaded to Vimeo four years ago, and she commented that they were trying to get the film re-released on DVD in 2013. If you want to see more of it, I found a copy of it here.
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C’est par une insulte de cour de récréation qu’un match de foot s’est terminé, dimanche en Belgique. Après la victoire de son club sur Courtrai, l’attaquant de La Gantoise Benito Raman a pris le micro pour lancer un message à l’un de ses principaux clubs rivaux. Sur l’air de «Seven Nation Army», il s’est mis à entonner en flamand: «Tous les paysans (ndlr: le surnom donné aux supporters de Bruges) sont des homos!»
La réaction ne s’est pas faite attendre, raconte la «Dernière Heure». La Gantoise, actuellement leader de la première division belge, a présenté ses excuses le soir même: «De tels dérapages sont en totale opposition avec nos valeurs fondamentales.» Le club flamad a indiqué que son joueur de 21 ans avait été suspendu jusqu’à nouvel ordre, indiquant au passage qu’il était «suivi psychologiquement depuis plusieurs années». De son côté, Raman a adressé sur Twitter ses excuses aux fans de Bruges, ainsi qu’aux «personnes avec une autre orientation». «Dans le football, ce genre de dérapage peut parfois arriver», a conclu le jeune attaquant belge.