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Franck (le prénom a été changé) a la trentaine. Il vit seul et travaille à Paris, dans un hôtel où il occupe le poste de directeur-adjoint. Au départ, il avait sollicité Rue89 pour participer à la rubrique « Votre porte-monnaie au rayon X » et montrer qu’avec ses 1 850 euros mensuels, il ne parvenait pas à s’en sortir :
« Il n’y a rien de larmoyant, car c’est la conséquence de certains de mes choix, que j’assume et ne regrette pas. Il y a bien pire que moi. Je voulais juste raconter mon histoire, un peu particulière. »
Sa démarche ressemblait finalement beaucoup plus à un...
Vu sur Secrets de voyage, Isabelle Lorédan
Le magazine en ligne Fusion’elle, auquel collabore activement Isabelle Lorédan, propose sur son site la lecture et le téléchargement gratuit (en version pdf ou zip) d’une nouvelle, Secrets de voyage. Cette nouvelle érotique d’Isabelle Lorédan entraîne le lecteur dans un train, où la jeune narratrice éprouve un malaise croissant face au regard insistant d’un homme. [...]
Cet article provient de Littérature érotique
Explorez en couple un éventuel manque de désir, de communication... Osez vous avouer cette mésentente et la frustration qui en découle. Seule l'élimination de la cause profonde, de ce manque d'attirance, permet au couple de retrouver son équilibre et de briser la monotonie.
Le couple traverse parfois de la lassitude voire de l'ennui. Cela provient d'un manque de connaissance de soi, des désirs de l'autre et de motifs inconscients. Ayez une écoute attentive, le couple doit se parler en toute franchise. Cela demande parfois du courage et surtout du tact. A notre époque où certains tabous sexuels sont encore bien ancrés, l'être humain est par nature très sensible aux remarques concernant ces questions. Une fois dépassé, ce dialogue entre partenaires sera profitable pour une harmonie et un épanouissement sexuel réciproque intense et durable.
L'amour peut s'émousser :
• Si on se néglige,
• Si on n'est pas attentif à l'autre,
• Par l'intrusion des parents ou des beaux parents,
• Par l'envahissement de la télévision,
• Par négligence corporelle ou vestimentaire (chez l'homme comme chez la femme),
• Par tracasseries de la vie quotidienne,
• Par soucis financiers,
• Par divergence sur l'éducation des enfants,
• Par un travail trop prenant,
• Par la tentation d'aventure extra conjugale,
• Par abstinence des rapports affectueux, érotiques et sexuels,
• Par la venue d'un nouveau né,
• Par des problèmes de santé, ménopause, andropause, fausse couche…
• Par anxiété, tristesse, état dépressif, incertitude professionnelle, affective, familiale, amicale, surmenage intellectuel.
En effet, le ‘malade' dépense toute son énergie à refouler certaines pulsions dans son inconscient. Toute sa personnalité, toutes ses activités en souffrent. Il passe à coté de l'essence même de l'Amour. Il ne voit plus (son) sa partenaire, ni ses proches, ni ses ami(e)s. La moindre contrariété lui parait, à juste titre, insurmontable. Dans de tels cas, il est recommandé de recourir à un suivi thérapeutique.
Combien de couples ne parviennent pas à harmoniser leur équilibre ! Combien de couples plus âgés vieillissent l'un à coté de l'autre sans réellement se connaître, sans plus se surprendre ! Les partenaires méconnaissent la réalité physique du rapport sexuel. Cette "mésentente" est causée soit par ignorance, soit par des idées préconçues de l'intimité, soit par inhibition, soit par refoulement inconscient, soit par une éducation religieuse stricte… Vous vous devez de replacer la sexualité sous son véritable angle. Ce qui implique affection, douceur, compréhension et respect. Et dans la liberté de laisser s'exprimer le corps, les émotions et la créativité, l'humour, la spontanéité et la sensualité…
C'est pourquoi le coït ne doit survenir que lorsque les deux amants ont atteint un degré d'excitation satisfaisant, par un échange de caresses, de massages, de baisers. On se doit de formuler à sa (son) partenaire ce que l'on ressent et ce que l'on désire. L'homme n'a pas l'idée de demander à sa partenaire si telle position ou telle caresse lui convient. La femme préfère ne pas solliciter son amant et perdre une bonne partie de la jouissance sexuelle. Vous vous devez d'exprimer ce que vous désirez, ce que vous ressentez et de guider l'autre, à accélérer ou ralentir les va et vient pendant les rapports, à changer de position, les réticences à certaines caresses, à certaines pratiques. Subtile alchimie ! L'amour se doit de concilier les envies, les fantasmes, les désirs. La passion et la douceur sont les qualités essentielles dans la relation à soi et à l'autre. Cette harmonie ne porte qu'un seul nom : AMOUR.
Bill Brent was the editor and publisher of the influential 1990s sex zine Black Sheets, as well as a literary event and sex party organizer, book publisher, punk rock fan, and more. He killed himself this past weekend by jumping off the Golden Gate Bridge.
Most of you outside of San Francisco will probably never have heard of him. Many of you within the SF community may never have heard of him, either. But Bill’s influence on our scene was absolutely enormous; it almost can’t be overstated.
In addition to publishing Black Sheets, Bill was responsible for The Black Book, a book-length sexual resource guide in the days long before the web made such things interactive. He founded Perverts Put Out, an alt-sex literary performance series that continues to this day under the care of Simon Sheppard, Carol Queen and Lori Selke. Under the Black Books imprint, he published numerous books, including Best Bisexual Erotica (which he co-published with Circlet Press) and my own Noirotica 3. He also co-founded and co-ran the Black Sheets pansexual play parties, which were a hugely influential venue.
There’s no easy way to describe the place that Bill Brent has in American History — and no, I’m not overstating it. The tragic truth is that people like Bill too often are forgotten. Even radical queer histories tend to eat their own. But Bill was a giant of the San Francisco sex underground. Oozing (some would say “spurting”) Bill’s natural charm and perverse humor, Black Sheets came along at a time when the sexual landscape of San Francisco was being completely redefined. Bill had been an old school SF punk in the eighties, and brought a mosh pit sensibility and DIY aesthetic to the radical queer expression that was just getting started in the early nineties.
With Black Sheets Bill actively sought out and encouraged original voices; Black Sheets was one of the first zines to publish my writing, and it published it because Bill tracked me down after a reading. He believed you learned about literature the same way you learned about sex — by getting your hands dirty. He got his hands, and the rest of him, as dirty as he needed to to follow his bliss and stick it to The Man.
Bill was in many respects a culture warrior; he found a home for himself at the confluence of San Francisco’s punk, gay, and BDSM communities by putting down tent stakes where they belonged, not where the existing identity politics made them convenient. He made a home for himself by carving it out of the city. In so doing, he helped make a place for so many of us.
San Francisco writer and event host Kirk Read said something beautiful about Bill on his Facebook page:
Bill Brent — author, publisher and thrower of literary events and sex parties — has taken his own life. He was important. Up there with Geoff Mains and John Preston.
He was the crown prince of the San Francisco sex nerds. The world he envisioned was so totally different than the one we live in. For artists, writers and dreamers, that disparity can be shattering. Let us all continue to write and perform and gather together. The alternative sucks.
Kirk is not exaggerating. Bill’s may not be a name you recognize, but the world would not be the same without him.
Bill himself said something beautiful in his page at Author’s Den:
Each of us wants to hear someone shouting back as we scream into the abyss.
–Profound Bill
In classic Bill Brent style, he followed that up with the observation:
Every mind needs candy.
–goofy Bill
So here’s some candy, in honor of Bill — over on Thomasroche.com, I’ve posted his punk rock sex-noir story “I Want Candy,” Episode 1 of his Dick Death series. It appeared in the first volume of my anthology series Noirotica in March, 1996.
R.I.P., Bill. You will be missed.