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De nos jours (si obscènes, grands dieux) posséder un sextoy n’a plus rien d’exceptionnel. Si vous en doutiez encore, l’étude conso de PriceMinister-Rakuten sur les « 100 000 transactions réalisées en 2013 » parue la semaine dernière devrait vous faire changer d’avis.
On y apprend, entre autres, que les Montpelliérains sont les plus gros consommateurs de ces jouets, avec une moyenne d’un sextoy pour deux habitants dans la ville.
A lire ces chiffres, je me suis demandé, comment on faisait avant. Avec quoi on « jouait » dans la préhistoire, au Moyen Age, au début du XXe siècle....
Alors que l’Angleterre et le Pays de Galles s’apprêtent à célébrer les premiers mariages entre personnes de même sexe, le 29 mars prochain, les lois réglant le système monarchique britannique devraient recevoir un léger lifting entrepris en urgence, rapporte «The Telegraph» (via PinkNews). Ainsi ce texte, remontant au XIIe siècle: «Quiconque épouse, ou est marié au roi ou au régnant reçoit le titre de reine». En l’état, le texte permettrait au conjoint homosexuel d’un futur roi de devenir «queen». Plutôt fâcheux, même si en anglais, le terme signifie aussi «homosexuel».
Deux princes de Galles?
Afin d’éviter toute «confusion», les lois régissant d’autres titres de noblesse devront être aussi restreintes. Pas question de se retrouver avec deux princes de Galles: l’héritier du Trône et son mari. «La voie choisie par le gouvernement semble admettre que l’égalité en matière de mariage a ses limites», commente un juriste.
Par ailleurs, la loi britannique sur le mariage égalitaire, adoptée en juillet dernier, ne prévoit pas d’accorder les titres de courtoisie aux conjoints s’ils épousent le titulaire d’un titre de noblesse.
A quoi joue Yoweri Museveni? Au pouvoir depuis bientôt 18 ans, le président ougandais a retardé la promulgation d’une loi qui prévoit l’incarcération à vie des personnes «coupables d’homosexualité aggravée» (par exemple avec un mineur). Tout en défendant le projet de loi inspiré par les milieux évangéliques, il a affirmé vouloir donner l’occasion aux milieux scientifiques de prouver que l’homosexualité est d’origine génétique plutôt qu’un «choix de vie». Il a laissé entendre que des chercheurs internationaux seraient invités à plancher sur la question, sans donner davantage de détails sur la future «étude».
C’est l’énième rebondissement d’un chantage qui dure depuis 2009. Le texte de loi, surnommé initialement «Kill The Gays» parce qu’il prévoyait la peine de mort pour les homosexuels, a été adopté en décembre dernier. Depuis, les proches de la présidence ont laissé entendre que la promulgation du texte était imminente, provoquant de nombreuses réactions internationales. Barack Obama a ainsi mis en garde l’Ouganda contre une décision qui «compliquerait les relations» entre Washington et Kampala.
Épée de Damoclès
La manœuvre semble avant tout destinée à faire monter les enchères avec les pays donateurs. L’Ouganda dépend de l’aide internationale (400 millions de dollars de la part des Etats-Unis), mais il est aussi une pièce importante dans le dispositif stratégique en Afrique centrale, au milieu des zones instables que sont le Soudan du Sud, les Grands-Lacs, et non loin de la Somalie. Dans ces conditions, l’épée de Damoclès suspendue au-dessus de la communauté gay locale n’est pas près de disparaître.
(De Belém, Brésil) La mère de la fille de pute, c’est Cindirela, une pétulante quinquagénaire, fard rose sur des pommettes mates, les cheveux soigneusement lissés, le sourire toujours aux lèvres. Cindirela est prostituée à Belém depuis près de 35 ans.
En passant par les ruelles animées du quartier historique, nous avons retrouvé Joyce, la fille de pute comme elle se présente, après une réunion du Gempac, le Groupe de femmes prostituées du centre-ville.
Etudiante de 29 ans, elle milite dans l’association. C’est une jeune femme mince et douce, teinte en blonde, métisse, les...