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J’écris toutes les frénésies le stupre et la luxure, la maman et la putain, mille et une scènes de cul, en couleurs et en ardeurs. Ça s’effeuille comme à l’automne poésie des corps étreints, poésie des vies froissées. Tous ces désirs, ces peaux l’une contre l’autre, ces sexes qui se cherchent, tous ces désirs, où … Lire la suite →
The post 1001 scènes de cul appeared first on Julie Derussy.
Chloé (le prénom a été changé) n’habite pas à Paris, et bientôt, elle n’habitera plus en France. Elle a fini ses études et part s’installer ailleurs.
C’est ce qu’elle a dit aux derniers mecs qu’elle a rencontrés, principalement grâce à l’application Tinder, ses « coups d’une fois » qui ponctuent son quotidien sexuel depuis quelques mois :
« Je ne cherche pas quelque chose de sérieux. Je pars vivre un an à l’étranger. Ce que je veux, avec toi, c’est du sexe et qu’on s’amuse. »
A 25 ans, Chloé a eu 27 amants. Elle a compté. Elle se considère comme libérée mais n’évoque pas le...
Puisque comme beaucoup d’entre vous, j’ai acheté le Canard Enchainé en essayant d’acheter Charlie, je me permets de vous demander si vous êtes tous bien foulés à la messe?
Je vous propose donc un peu de lecture dominicale, et en parlant de messe foulée, dégustez donc avec toutes les chantal une fine pâtisserie nordiste.
Le « Trou d’balle à Chantal », nouvelle pâtisserie du Carnaval. VIDEO : http://t.co/INXfIhT8pk
— France 3 Nord (@F3nord) 17 Janvier 2015
Pour le rangement de vos sex toys, les magasins de bricolage restent la meilleure solution.
Les sextoys vont en boîte http://t.co/ZOhghWMMjj #accessoires pic.twitter.com/bz0hE6KX98 — Objets de Plaisir (@Objets2Plaisir) 17 Janvier 2015
De toutes façons, si vous pensez que le sex-toy est un objet ultra-moderne de luxe, vous vous trompez.
Photo du plus vieux sextoy du monde http://t.co/jwsrh1emOd via @planet_fr — Bridget (@Les_Bridgets) 17 Janvier 2015
Et pour finir en beauté, une stagiaire à Wall Street plaque tout pour faire du porno. Opération de com’ ou pas, ce n’est pas la première à quitter la banque pour l’industrie du sexe : Joe, banquier à Goldman Sachs, avait quitté le milieu de la finance dont il avait honte pour créer les préservatifs sur-mesure They Fit.
«Vous avez du mérite. Le business du porno est bien plus propre que celui de Wall Street» http://t.co/zkp6ZfatK0
— Arnaud@Thurudev (@arnaud_thurudev) 17 Janvier 2015
Sur ce, bon dimanche, sous vos applaudissements!
Le 15 janvier, un site de propagande affilié à l’organisation Etat islamique (Daesh) a posté des images et une vidéo d’une nouvelle série d’exécutions publiques à Mossoul (Irak). On y voit deux jeunes hommes habillés en civil, les yeux bandés, qui sont précipités du haut d’un immeuble qui surplombe la ville, en application de la «sentence divine». Ils sont désignés comme appartenant au «peuple de Lot», un terme que l’interprétation coranique réserve aux «sodomites», autrement dit, aux homosexuels.
Une foule compacte a assisté aux supplices (cliquer pour agrandir l’image).
La chute mortelle des deux condamnés est filmée en détail, jusqu’aux deux cadavres gisant au pied du bâtiment. D’autres clichés montrent que la double mise à mort a rassemblé des centaines de personnes, massées sur la place, bloquant le trafic pour assister aux spectaculaires exécutions. Difficile de dire si ce public était approbateur, ou même consentant. Au milieu d’eux, on distingue deux individus crucifiés, que la vidéo présente comme des voleurs. Ils sont finalement exécutés par balles. Enfin, la vidéo montre la lapidation d’une femme présentée comme adultère dans un lieu différent.C’est la deuxième fois que la propagande de Daesh publie des images d’exécutions de prétendus «sodomites», des atrocités dont elle se vante déjà régulièrement. En décembre, l’organisation avait montré un homme jeté du toit d’un immeuble de Raqqa, bastion syrien des jihadistes. Mossoul, troisième ville d’Irak (2 millions d’habitants), est aux mains des rebelles sunnites depuis leur grande offensive de juin 2014.
Reprenant une information d'Anne Richoux publiée sur lanouvellerépublique.fr le 14 janvier 2015, le site stophomophobie.com révèle que "l'association Ciné'fil, dont l'un des objectifs est d'offrir au public l'accès à des films d'auteur qui illustrent la force artistique et humaine du cinéma, organise depuis le 12 et jusqu'au 20 janvier à Blois, une « Semaine du Cinéma britannique », conçue en concertation avec des enseignants" pour permettre à des collégiens et des lycéens de découvrir des films en version originale sous-titrée dont Pride (Matthew Warchus, 2014), un film britannique dont l'histoire se passe en 1984 : "Margaret Thatcher est au pouvoir et le syndicat des mineurs vote la grève. Lors de leur marche à Londres, un groupe d'activistes gays et lesbiennes décide d'aider les familles des mineurs, et part leur remettre l'argent en main propre." Un rendez-vous très attendu pour 380 élèves de la troisième à la première du lycée de Notre-Dame-des-Aydes pour lesquels la projection était programmée le 15 janvier dernier. Et pourtant..
« La sortie pour aller voir ce film est annulée, ils iront voir Queen & Country. [...] Ce film n'est pas adapté au public de seconde ou de troisième. Il est pédagogiquement orienté pour des élèves de terminale. Des parents se sont émus de l'histoire de ce film et ont attiré mon attention. », explique le chef d'établissement. Un argument qui étonne Jean-Marie Génard de l'association Ciné'fil : « Tout était calé depuis décembre, les chefs d'établissement ont donné leur accord. Ce film parle de tolérance, de rencontre entre deux communautés opposées, de solidarité. Bien sûr, il y a des homosexuels, mais pas de scènes de sexe, seulement un baiser entre deux hommes, ce qui n'est pas plus que ce qu'on voit à Plus belle la vie ! C'est une comédie comique débridée présentant des personnages hauts en couleur. » Un point de vue condamné par certains parents d'élèves : « J'en ai fait part au chef d'établissement. Ce film fait la promotion de l'homosexualité. J'ai choisi pour mes enfants un enseignement catholique qui prône des valeurs chrétiennes. Ce film n'entre pas dans cette catégorie. De plus, les enseignants doivent essayer de respecter les convictions des parents d'élèves, le film n'aurait même pas dû être proposé. » et néanmoins approuvé par d'autres, scandalisés : « Je suis une maman en colère. Je viens d'apprendre que ma fille ne pourra pas aller voir le film Pride, car je cite un parent d'élève : "Ce film fait la promotion de l'homosexualité !" Moi aussi je suis maman et je veux que ma fille puisse voir ce film, car il prône le partage, le soutien, la gentillesse... Je ne sais pas si vous pourrez faire quelque chose mais je tenais à vous en informer pour que vous puissiez le dénoncer. Pour moi c'est inacceptable ! Je n'arrive pas à croire que l'on puisse encore pratiquer ce genre de censure et tenir de tel propos. En 2015 ? Je suis triste........ merci à vous. »
Notons que le film est classé "tous publics" en France et interdit aux moins de 15 ans au Royaume-Uni.
I just discovered the graphic, fanciful, visceral and just wonderful paintings of Crystal Barbre, many of which can be seen on her website’s gallery page. Her blog hasn’t been updated in a couple of years so I won’t send you there, but she does have a few prints for sale here on her store page. I especially love that you can buy a print of the mural she did for Seattle bar The Rabbit Hole. She’s also on Twitter here. I’m now a huge fan. Snip:
The Rabbit Hole mural is located at 2222 2nd Avenue at The Rabbit Hole in Seattle, Wa. Crystal was commissioned to paint a mural for the back of the bar in 2012. The wall was scanned with a special process by Bellevue Fine Art Reproduction, allowing for the creation of smaller fine art prints.
I originally found her on Empty Kingdom, which seems to have fallen apart after they tried to do a blog renovation last year, though a quick search brings up a more recent profile of Barbre on Beautiful Decay (another of my favorite art blogs). Lindsey Rae Gjording writes,
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.Crystal Barbre, a Seattle painter, has created an alternate universe where women call the shots, their raw glory shining prominently through the head of an animal. These hungry scenes, at first glance, just look like a skillfully painted playground of lust: voluptuous animal-headed women in the throes of passion, yet there is much more at work here.
(…) They are eternally present, and they engage with their sexuality while remaining a powerful, wild, and even threatening figure. Theriocephaly, or, the condition of having the head of an animal, dates back to Greek mythology and is often used in art and storytelling as a symbolic element…