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“It was very strange in some respects, because I was in this space where I felt safe and accepted, but other people perceived it very differently,” she says. In fact, Jo Broughton more often felt threatened by the world outside of the porn studio at that time than the one inside it. She says that people would call Colby’s studio every day, screaming obscenities into the line, while one actress she knew — who shot porn to pay her way through school — attended her graduation ball, only to discover that a classmate had posted her “work” all around the venue.”
Empty Porn Sets Reveal The Strange World Of XXX Interior Design (FastCo Design)
“Social scientists say there is little hard research into the dick pic, but they’re being called upon to think about it. Is it simply the case than some men have never grown up? Is it a pants-down return to caveman courting, where the “boing” of a willy is being used as a club?”
‘Too much too soon’: The rise of the ‘dick pic’ (Canberra Times)
“Gail Dines, a radical feminist and anti-porn activist is on a mission to stamp out what she sees as a dire threat to the social fabric, and she has linked up with [religious] conservatives in many places to do so. Her primary tactic is — as the headline of her Post article suggests — “framing pornography not as a subject of moral decree but as an urgent issue of tangible detriment to human bodies and minds,” in Hamblin’s words. In Utah, she found a strong ally in state senator Todd Weiler, who spearheaded the effort to pass the bill.”
The Origins of Utah’s Fake ‘Public-Health Crisis’ Over Porn (New York Magazine)
“It would have been preferable for The Post to have published a piece on pornography by someone other than a longtime anti-porn activist who lacks objectivity on the issue. Dines’s book, “Pornland: How Porn Has Hijacked Our Sexuality,” which I and others have critically reviewed, is based on fallacies that were recapitulated in her essay. ”
This look at porn was biased (Letters, Washington Post)
Image via: ‘Sexy’ knitted elephant underwear and snake underwear for men (Dangerous Minds)
“A Scarlett Johansson robot, based on 3D-printing technology, could be the first step toward owning a realistic replica of your celebrity crush. … The significance of Ma’s robot isn’t just the technical achievement, but the idea of a celebrity crush replica. A market could even exist for celebrity sex robots.”
Scarlett Johansson Robot Opens the Door to Celebrity Crush Replicas (Future of Sex)
Note: Binary gender and monogamy stereotypes. “From past research, we know that most people of both sexes prefer their partners to be on the nonpromiscuous end of the spectrum. But is that because they fear the promiscuous ones are simply not interested in long-term relationships and/or not really capable of monogamy (and more likely to cheat) or is it because of the social stigma and shame attached to dating / marrying a promiscuous person, past or current? And, does this differ for men versus women? A new study addresses these questions …”
Can Renouncing Promiscuity Help You Find Monogamous Love? (The Casual Sex Project)
“Boris and Natasha … are the names my wife and I created for our fake [Tinder] accounts when we grew tired of relying on our single friends leaving their cellphones on the table when they went to the bathroom for our fun. Natasha is a stately, vaguely Nordic-looking woman, who appears early in the Google Image results when you search “blonde professional model.” But not too early. Boris looks like me with sunglasses, because… he is. Boris and I are very lazy men.”
Why I’m Married and Still Tindering (Thrillist)
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Les gifs de la semaine passent et ne se ressemblent pas. Dans cette série concoctée aux 4/5e par Lazare, on passe de la dernière bonne idée du porn français (c’était il y a 6 ans…) à du WTF japonais en passant par un orgasme incroyable pour finir par un rimjob de toute beauté. Les gifs sont comme les averses en avril, leur amour s’abat sans prévenir. – Gonzo.
Un petit souvenir de la grande époque de Bang Tour, là où les stars du porno – qui pour la plupart débutaient – pouvaient s’échauffer avec une poignée de fans triés sur le volet. Dans cette scène, l’un des deux aura une éjac’ malheureusement classée sans suite. La pression de se retrouver avec Liza Del Sierra, certainement.
Liza Del Sierra – Bang Tour
Mes amis allons allons, calmez-vous, on sait tous que c’est du fake. Hina Kinami n’a pas réellement de tentacules éléphantesques au centre de ses boobs. Je n’en dirais pas plus, j’enquête encore sur cette actrice et sur le studio responsable de ce hentaï IRL : Rocket Inc.
Hina Kinami – Impact! Niple Fuck Tinty Woman Busty An Maru
Merci à Margode, contributrice occasionnelle au Bon Fap de m’avoir permis de réaliser mon chef d’oeuvre, mon gif ultime. Pourquoi continuer après ça ? J’ai bien peur que le meilleur de ma carrière soit dorénavant derrière moi.
Jake Bass & Darius Ferdinand – The Jack Bass experience – Cockyboys
Selina AK tente de s’arracher de l’attraction terrestre pour rejoindre l’espace infini avec l’aide de son mec Alex AK. Si Lazare assis à 1,5 mètres de moi a réussi son chef d’oeuvre avec Jake Bass au-dessus, je pense également avoir touché un point essentiel de ma « carrière » de giffeur. Merci Lucie Blush sans qui rien n’aurait pu être possible. — Gonzo
Selina AK and Alex AK – Spirit Ink – Lucie Makes Porn
Mystère et boule de shit, les tags #Skunk et #Rastasblancs explosent les compteurs sur Pornhub, et ça, la petite teen Mary Jane l’a très bien compris. Sa principale vidéo totalise plus de 5 millions de vues, un score assez remarquable pour une vidéo de la Pornhub Community. Longue vie aux teufeurs, donc.
Mary Jane – Pornhub Amateur
Une fois par mois environ, l’excellent apéro des libertins parisiens fait une after dans un club libertin pour ceux qui veulent prolonger l’apéro. Cette fois ci, nous avions jeté notre dévolu sur le club libertin le « No Comment » qui est un des hauts lieux historiques du libertinage parisien. Découvrons l’ensemble… Nous avions vraiment hâte de découvrir ce…
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Le temps des entrées en force de centaines de migrants semble révolu dans l’enclave espagnole de Melilla, sur la côte marocaine. Au centre de rétention désormais quasi désert, le CETI, la population principale est à présent composée de demandeurs d’asile homosexuels et trans marocains, rapporte le quotidien «El Mundo». Les membres de cette petite communauté se serrent les coudes en attendant une très hypothétique protection internationale.
Melilla es la libertad para muchos homosexuales marroquíes. Un gran reportaje el domingo en @Cronica_ElMundo pic.twitter.com/udwk6WDKpc
— Carmela Ríos (@CarmelaRios) 16 avril 2016
Les autorités ont ainsi reçu 45 demandes d’asile depuis le début 2016. Déjà davantage que pendant toute l’année 2015. Les ONG qui soutiennent les LGBT marocains rapportent que les persécutions se sont renforcées depuis l’arrivée au gouvernement du PJD islamiste, que ce soit aux mains de la police, qui multiplie les raids ciblés, ou de groupes de jeunes casseurs, comme l’a récemment démontré l’affaire de Beni Mellal.
Le CETI (Centro de Estancia Temporal de Inmigracion) est situé à l’écart de la ville de Melilla.
Les gays et les quelques lesbiennes du CETI, âgés de 18 à 41 ans, racontent tous une existence émaillée de menaces et de violences, qui ont commencé dès l’enfance. «Mon rêve est d’ aller en Europe, d’ échapper au Maroc. Je veux juste être moi-même», s’écrie Fati, coiffeur de 28 ans, échappé de la région de Nador après la mise à sac de son salon.Le groupe ne se sent pas en sécurité à Melilla. Ses membres se disent régulièrement insultés et volés par les Marocains de passage ou habitant le territoire. Les magasins du quartier, tenus par des «barbus», refuseraient de les servir. L’un d’eux a récemment été tabassé en allant acheter des cigarettes.
«On n’est en sécurité ni de ce côté de la clôture ni de l’autre», résume Amine. Une femme en hijab apostrophe le journaliste: «Il ne raconte de que des mensonges!», accusant le jeune homme efféminé d’être «sans honte» et d’aimer «s’exhiber». Elle finit par cracher au sol en lâchant «Qawm Lut» – terme coranique désignant les Sodomites, qui invoque une punition divine. «Ils croient que les tremblements de terre qui ont secoué Al Hoceima et Nador sont de notre faute. Chaque malheur ou catastrophe est l’occasion de nous blâmer et de nous persécuter. On est comme la peste», résume Abdu.
Disons-le d’emblée : on aime bien Ellen Page. Parce que c’est une bonne actrice, bien sûr, mais aussi pour son engagement en faveur des droits des femmes et des personnes LGBT. On était donc plutôt enthousiasmé d’apprendre, le mois dernier, que la jeune Canadienne se lançait dans une série documentaire, Gaycation, réalisée pour la nouvelle chaine Viceland et qui se présente comme «un voyage pour explorer ce que signifie être lesbienne, gay, bi ou trans à travers le monde».
Quelles ne furent donc pas notre déception et notre inquiétude en découvrant que, sitôt diffusés, les premiers épisodes se voyaient accusés de verser dans l’«impérialisme gay» : dans sa quête pleine de bonnes intentions, Ellen Page aurait inconsciemment plaqué sur des cultures non-occidentales des grilles d’analyse et des concepts (comme le coming out) qui leur sont étrangères, au lieu de chercher à comprendre comment des individus issus d’autres sociétés que la sienne définissent eux-mêmes leur rapport au genre et à la sexualité.
Faute d’avoir vu les épisodes de Gaycation par nous-mêmes, on ne se prononcera pas sur la pertinence de ces accusations, dont on voudrait croire, par sympathie pour Ellen Page, qu’elles sont infondées ou de mauvaise foi. Elles ont, quoiqu’il en soit, le mérite de nous mettre en garde contre un risque toujours latent, sinon chez Ellen Page, au moins chez beaucoup de militant-e-s LGBT en Occident : celui de percevoir l’infinie variété des pratiques sexuelles qui ont cours de par le vaste monde à travers le prisme de catégories médicales inventées en Europe au XIXème siècle (homosexualité, hétérosexualité, bisexualité…).
Il y a trois ans, deux jeunes essayistes, Stella Magliani-Belkacem et Félix Boggio Ewanjé-Epée, avaient été cloués au pilori médiatique et taxés d’homophobie (alors même qu’ils soutenaient le mariage pour tous…) pour avoir souligné les impasses, les impensés et les angles morts de «l’action de solidarité internationale menée par les groupes LGBT hégémoniques» (dans Les Féministes blanches et l’empire, publié en 2013 aux éditions La Fabrique). Et pour avoir rappelé cette évidence : si les pratiques sexuelles entre individus de même sexe existent dans toutes les cultures et à toutes les époques, l’identité gay, en tant qu’identité politique, est historiquement et socialement construite – elle n’a donc rien d’«évident» ni d’«universel».
Cette multiplicité des formes d’expression de la sexualité et du genre (qui ne peut se réduire au sigle «LGBT»), on en trouvera un aperçu tout au long de la programmation de la seizième édition de Vues d’en face, le festival international du film gay et lesbien de Grenoble. Pour l’occasion, ce numéro 110 d’Hétéroclite accorde une large place à la vie culturelle et LGBT (mais pas que, donc…) de la préfecture iséroise. Bon festival à toutes et tous !
Photo : Gaycation, avec Ellen Page et Ian Daniel © Viceland
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