34739 éléments (3198 non lus) dans 75 canaux
Thanks to our sponsor in Spain, women-run Lust Cinema.
Much gratitude to our thoughtful sponsor, Nubile Films.
Tickets on sale now #London #screening @UnSlutProject and filmed Q&A Thursday March 24th https://t.co/uUvFPSTqU5 pic.twitter.com/DmxYw9WUgD
— Naked Truth Podcast (@nakedtruthguy) March 5, 2016
PROOF: Google lies about spanking porn, falsely returning "No results found" for search strings from spanking sites: https://t.co/slrog9JXg4
— Spanking Blog (@SpankingBlog) March 17, 2016
The post Sex News: Fappening guilty plea, hackers and sex workers, bisexual harm from “LGBT” appeared first on Violet Blue ® | Open Source Sex.
L’engouement et la fierté qu’a le peuple américain pour son armée n’est plus à prouver : en 2013, 524,2 milliards de dollars ont été dépensés par l’armée américaine. Pas mal.
C’est là que Brick Yates – qui a servi chez les Marines pendant 5 ans – a découvert une niche porno jusqu’alors inexploitée. Pendant qu’il était encore actif à l’armée, on lui a proposé de passer derrière la caméra pour tourner un petit film local, où il a pu apprendre les rudiments du métier. Et en 2011, il a été déclaré inapte à continuer dans les Marines.
D’après ses dires : « A ce moment là, deux choses se sont présentées à moi : retourner à la fac ou choper du taf. J’ai choisi les deux. Je suis maintenant étudiant à l’USD. Depuis que j’ai filmé pour ce petit studio local, j’ai acquis une caméra de bonne qualité. Un jour j’ai proposé à ma petite amie de l’époque de nous filmer en train de baiser avant qu’elle n’aille au travail, dans son uniforme. J’ai montré le résultat à des amis, et après avoir rompu, j’ai immédiatement bougé à San Diego dégoter d’autres filles en uniformes. Je ne suis pas intéressé par les costumes d’Halloween ou tout ce qui fait « fake », je veux du vrai. »
Vous l’aurez compris, Brick Yates ne renie pas ses racines mais tend au contraire à les fétichiser pour toucher un public jusque là un peu délaissée dans le domaine. Il recrute alors d’anciens G.I, Marines, ou simples fantassins pour tourner ses gonzos, avec une backstory expliquant de quel régiment ils sont issus et ce qui les a conduit à rejoindre l’armée, puis au porno.
Malgré son indépendance (aucune des vidéos n’est accessible sur les tubes), Brick Lanes a remporté deux Rabbits Awards (la référence en matière de reviews de site de cul), un en 2014 pour le titre de « meilleur site » et un autre l’année dernière pour le titre de « site amateur de l’année ».
Après un engouement fort de la part du public, notamment grâce aux modèles stars du site telles que Gina Parlay, Camden ou Misa Kanna (je vous laisse d’ailleurs apprécier le « Fun fact » de cette dernière, digne d’un épisode de Next dans sa fiche-actrice), Brick Lanes a décidé de se renouveler en proposant un porn plus local à la manière d’un Bang Bros. On aimerait croire que tout ça est authentique, mais on sait que le porno c’est comme le catch : tout est faux.
Guillaume, 23 ans, lecteur du Tag Parfait depuis 2010
Le site propose maintenant un tas de mises en situation classiques allant du policier véreux abusant d’une jeune touriste au massage Nuru qui dérive en orgie. Mais également des parodies plus absurdes, comme une lutte acharnée entre une jeune femme esseulée et un Joker reconverti en cambrioleur de quartier.
« Extrêmement généreux », Brick est allé jusqu’à créer un forum par le biais duquel des collectes de fonds pour diverses associations sont organisées. Par exemple, un Bucket Challenge (OLD) a été réalisé pour aider la fondation ALS.
Le 28 janvier dernier, la Pyschoactive Substances Act a reçu la sanction royale nécessaire à sa promulgation. A compter du 6 avril prochain, cette loi criminalisera la production et la distribution de toutes les “substances destinées à la consommation humaine qui sont susceptibles de produire un effet psychoactif” au Royaume-Uni. L’objectif assumé de ce texte est de faire barrage aux “legal highs”, des produits dont les effets sont similaires à ceux des drogues classiques mais qui circulent librement sur le marché britannique du fait de leur structure moléculaire inédite.
Le problème du Psychoactive Substances Act, c’est qu’en voulant brosser large, il ne définit pas clairement ce qu’il interdit. Quand le texte a été débattu par la Chambre des Communes au début de l’année, les députés britanniques se sont heurtés au problème des poppers : les petites fioles contiennent-elles des substances qui “stimulent ou réduisent l’activité du système nerveux central” ? Si tel était le cas, elles tomberaient sous le coup de la nouvelle loi ; leur production et leur distribution seraient alors passibles de sept années d’emprisonnement. Dans l’autre cas, les poppers pourraient continuer à être distribués librement.
Entre deux inhalations de Jungle Juice
Pour trancher la question, la secrétaire d’Etat à la prévention de la maltraitance, de l’exploitation et du crime Karen Bradley a fait appel à l’Advisory Council on the Misuse of Drugs (ACMD). Le 23 février dernier, elle a chargé cet organisme public non ministériel en charge de la classification des drogues d’étudier “les dangers et la psychoactivité” des nitrites d’alkyle, le principal ingrédient des poppers. L’ACMD a rendu ses conclusions hier, mercredi 16 mars. Elles sont on ne peut plus claires : “Les nitrites d’alkyle (“poppers”) n’entrent pas dans la définition des “substances psychoactives” données par le Psychoactive Substances Act de 2016.”
De fait, les Britanniques devraient pouvoir continuer à inhaler tranquillement les vapeurs euphorisantes et vasodilatatrices des poppers. Ce n’est tout de même pas passé loin – et ça ne semble pas tout à fait fini : contacté par BuzzFeed, le Ministère de l’intérieur du Royaume-Uni a affirmé qu’il répondrait “sous peu” aux conclusions de l’ACMD.
En France aussi, les poppers ont fait l’objet de pugilats politico-juridiques remarquables. Le 7 juillet 2011, la commercialisation des nitrites d’alkyle a été interdite par décret du ministère de la Santé “en raison d’un risque de dépendance ou d’abus”. Cette interdiction a été abrogée en juin 2013 par le Conseil d’Etat, après que celui-ci a jugé que ces substances ont “une toxicité faible aux doses inhalées habituelles” et qu’elles présentent en fait des risques de dépendance faible. En 2007, une première tentative interdiction signée François Fillon avait déjà été défaussée par le conseiller du Gouvernement. C’est dire si ça sniffe du poppers au Palais-Royal.
Dans le cadre du 8 mars, Journée internationale des Femmes, le Collectif 8 mars reçoit la journaliste Claudine Legardinier, auteure du livre Prostitution, une guerre contre les femmes.
Infos pratiques17 mars à 20h30
Centre Léo Lagrange
90 Avenue Maginot (à 3 mn de l'arrêt de tram Christ Roi)
Salle Gentiana
A l'occasion de la sortie de son dernier livre, Prostitution, une guerre contre les femmes Claudine Legardinier, journaliste indépendante qui recueille depuis 30 ans des témoignages de personnes prostituées, remet l'abolitionnisme au cœur de la lutte féministe et démontre de façon magistrale les raisons pour lesquelles tout le système prostitueur construit les femmes en objets de désir, pas en sujets de parole.
Malgré cette réalité, la société persiste à perpétuer l'idée selon laquelle la prostitution serait un mal nécessaire, une nécessité sociale, notamment pour prévenir les viols et autres agressions. Un mythe battu en brèche avec force par l'auteure.
Faut-il s'habituer à ce que le commerce des sexes soit l'une des activités les plus rentables avec la vente d'armes et le trafic de drogues ?
Portée par l'utilité de son combat, l'auteure sait nous emporter par sa force de conviction.
Lire notre présentation du livre sur le site de notre revue, Prostitution et Société !
Documentaire initiatique, Fucking in love est une plongée au cœur de New York, une quête de l’amour, du désir et du plaisir initiée par Justine Pluvinage. Après neuf ans de relation avec le seul homme qu’elle ait jamais connu, la jeune artiste et réalisatrice française décide de rompre. “Il avait pour habitude de me dire que l’amour n’existait pas, vivre à deux relevait uniquement d’une intelligence à être ensemble, et qu’une séparation ne pouvait être que l’aveu de la bêtise,” confie-t-elle sur son site. Quelques mois plus tard, direction la Big Apple.
Au printemps 2011, Justine recueille les récits intimes d’hommes et de femmes sur la bisexualité, le polyamour, le mariage, la vasectomie ou encore la branlette. Elle capte une énergie singulière, en mots et en images crus, sur fond de musique pop-folk. “À la suite de cette séparation, je suis envahie d’une euphorie, et d’une libido incroyable. Je découvre ce que peut vraiment signifier désirer ou être désirée.” Le teaser sans paroles répand cette liberté, mêlant portraits sensibles, références pornos, extérieurs jour et intérieurs nuit.
“Ce voyage est une quête, une façon de m’affirmer comme une femme traversée de pulsions sexuelles : oser vouloir baiser, sucer, vouloir pénétrer, oser aimer la bite, assumer la masturbation, revendiquer le plaisir charnel juste pour lui-même,” poursuit Justine. Au-delà de la démarche personnelle, c’est toute une génération qu’elle enlace, avec ses problématiques identitaires, sexuelles, féministes et romantiques.
Diffusé au PornFilmFestival de Berlin en 2015, Fucking in love amorce la route des festivals, comme pour mieux prolonger ce sensuel pèlerinage new-yorkais.
Ce nouvel article de la série traite des soirées libertines, comment cela se passe et les règles qui les animes. Vous avez posé vos limites grâce aux articles précédents (article 1, article 2 et article 3) et vous pensez avoir maintenant assez de confiance réciproque pour aller en soirée libertine. Très bien … voyons voir…
Cet article Le libertinage, pourquoi ? pour qui ? – Partie 4 est apparu en premier sur NXPL.
Après le succès des manifestations du 9 mars, les travailleurSEs du sexe restent mobilisées ces 5 et 9 avril, journées de mobilisation nationale, pour faire entendre leur opposition ferme à la loi travail. En tant que travailleurSEs du sexe, nous nous opposons en effet à double-titre à cette loi : en favorisant la précarité de touTEs les travailleurSEs, elle détruit de nombreux acquis sociaux pour lesquels nous nous battons en demandant la décriminalisation du travail sexuel. Et en imposant de telles conditions de travail, elle généralise une précarité déjà en vigueur dans les industries qui emploient les personnes les plus démunies comme dans l’industrie du sexe.
Les liens entre précarité et entrée dans le travail du sexe sont évidents, nous les constatons chaque jour. Parce que ce projet de loi vise à donner toujours plus de pouvoirs aux employeurs, à généraliser les formes de travail précaire, elle plongera encore plus de travailleurSEs dans la misère. Alors même qu’il prétend lutter contre la prostitution, ce gouvernement propose aujourd’hui un projet de loi qui ne fera que renforcer les facteurs qui amènent déjà de nombreuses personnes à exercer le travail sexuel parce que leur emploi dans d’autres secteurs ne leur permet pas de subvenir à leurs besoins. Alors que le gouvernement lutte contre la prostitution car elle serait source de violence, il ne propose que de rendre toujours plus violent le monde du travail dans sa globalité.
En imposant une politique ultra-libérale avec ce projet de loi El Khomri, comment peut-il espérer que le “parcours de sortie” que la proposition de loi de lutte contre la prostitution puisse avoir les effets escomptés s’il s’agit de proposer aux travailleurSEs du sexe de se réorienter dans des secteurs où règnent tout autant que dans l’industrie du sexe la violence et l’exploitation ?
Dans l’industrie du sexe, la précarité et les rapports d’exploitation sont notre lot quotidien. La stigmatisation des travailleurSEs du sexe renforce le pouvoir de nos employeurs, y compris dans les branches légales de notre industrie. De surcroit, la criminalisation des autres secteurs de notre industrie renforce cette vulnérabilité des travailleurSEs à l’exploitation. Parce que lutter en tant que travailleurSE du sexe, c’est s’exposer à un stigmate souvent lourd de conséquences, y compris légales, les contrats précaires et le non respect du code du travail
sont déjà monnaie courante. La généralisation de ces pratiques signifie une volonté de faire taire toute opposition de la classe des travailleurs. Avec ce projet de loi, il s’agit de rendre légales des pratiques qui, bien que pour le moment illégales, peuvent être imposées par les employeurs sans vraiment craindre de réponse de la part des travailleurSEs.
Il s’agit donc, et ce à deux niveaux, de faire des salariéEs d’aujourd’hui les putes de demain, et de donner à tous les employeurs le pouvoir que peuvent aujourd’hui avoir les patrons et proxénètes qui abusent de la vulnérabilité et de la précarité des travailleurSEs du sexe.
Le STRASS exige le retrait complet et inconditionnel du projet de « Loi Travail » et appelle donc touTEs les travailleurSEs du sexe à se mettre en grève dans les secteurs où elles le peuvent, à poster des messages de solidarité sur leurs annonces, à signer la pétition contre la loi travail, et à rejoindre les mobilisations locales !
In around 10 minutes, The Double Feeling: Fleshlight documentary by Kataskop Film provides a look into the making, packaging, and a little bit of the use of popular men’s masturbation toy, Fleshlight. The editing isn’t tight, so expect a few awkwardly long lingering shots of people looking uncomfortable around the factory, and also expect some really (unintentionally) depressing comments in the beginning about heterosexual relationships from their receptionist.
In all, it’s pretty interesting though. I love factory tours and manufacturing. Also, when I worked at the dildo hut for years and years, I sold a ton of Fleshlights to people, just the same as walking in a store and buying a pair of “special occasion” shoes. What I never told anyone was that we totally screwed around with Fleshlights in the stockroom, seeing if we could cram our entire fists into them (among other things), and one co-worker even managed to get her head (almost) into one. We’d also tie the end and try to blow it up like a balloon (ever watch your butch punk rock co-worker die laughing while trying to blow into a big fake pink vagina?), and one co-worker got busted for using a former floor model as a pen cup on her desk. I’ll also never forget the time I watched a lesbian couple come in, look at the display Fleshlight like “WFT?” and the butch of the couple grabbed it. They looked around to see if anyone was watching, then the femme slid three fingers into it — and freaked the fuck out in the most hilarious wide-eyed way, pushing it at her girlfriend with a “You gotta try it!” urgency. They didn’t buy one, but they definitely had a great time checking it out.
* Note: My co-workers and I were playing around with decommissioned floor models, and yes, after we’d washed them.
The post The Double Feeling: Fleshlight documentary appeared first on Violet Blue ® | Open Source Sex.