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Ce show a été encensé autant qu’il a été hué. N/nous avions envie de faire un beau show pour N/nous mais aussi pour faire honneur à l’équipe de Dèmonia qui cette année encore nous permettait de mettre en avant N/notre BDSM. Pour le show N/nous N/nous étions entouré de la sensuelle, féline et autoritaire Maitresse Caly et de son soumis, du Rigger Docval et de Tyka, d’une modèle, de la magnifique Lady par qui le scandale est arrivé et dans le rôle principale, une magnifique baignoire centrale éclairée et a demi remplie d’eau. Bien sur N/notre maquilleuse Charlotte ainsi que N/notre photographe Jutta étaient présentent pour d’une part N/nous rendre sublime et d’autre part immortaliser l’instant. Cela restera un magnifique souvenir à tout point de vue. Le seul regret, que la programmation des shows soient mal orchestrée. Pour les spectateurs impossible de savoir quand les show passaient. Ce qui fait que beaucoup de personnes Oon loupé le N/notre comme N/nous avons N/nous même loupé des shows que N/nous voulions voir. Vraiment dommage.
Le show en lui même était réfléchi, et répété. Docval arrivait sur scène avec Maitresse Caly et Lady. Monsieur Laurent suivait en entrainant de force la modèle. tanyaML et le petboy fermions la marche pour forcer la modèle à avancer. Monsieur Laurent déshabille violemment la modèle sur scène et l’oblige a rentrer dans la baignoire. Il l’a lave et pendant se temps Docvale fait le tour avec Lady. Pendant que Maitresse Caly s’occupe de tanyaML etu du petboy Docval revient sur scène avec de la petfood et prépare une gamelle. tanyaML et lady mangent dans la gamelle. C’est de la petfood. Monsieur Laurent sort la modèle de la baignoire et la transforme et petgirl avec l’aide de Maitresse Caly.
La polémique. La polémique est venue du fait de la présence de la chienne Lady sur la scène. Certaines personnes ont vu un animal maltraité. Autant vous dire qu’au début quand j’ai appris la nouvelle j’ai beaucoup ri. Mais vu l’empleur cela a fini par passablement m’énerver. Lady n’a jamais été maltraité, elle devait se rendre sur scène et manger. Ensuite elle retourné sagement se reposer comme une artiste dans un endroit au calme, bien ventilé avec de l’eau. En faite Lady était moins exposé que les autres animaux (serpents) que l’Oon a pu croiser dans la foule. Mais voila cela a suffit pour créer des polémique inutile d’autant que N/nous avions pris nos précautions et que N/nous avions contacté N/notre service juridique concernant l’emploi d’animaux domestique dans des spectacles.
je garderai et toutes les personnes ayant fait se shows ont gardé un excellent souvenir, tant des répétitions que du jour J ou Nnous sommes montés sur scène 2 fois.
En exécutant, encagoulée, un Te Deum punk le 21 février 2012 sur l’autel de la cathédrale du Christ Sauveur de Moscou, Maria Masha Alekhina n’a jamais imaginé l’impact mondial qu’aurait cette performance anti-Poutine de 40 secondes, orchestrée par son groupe des Pussy Riot.
Libérée après plus de 20 mois de prison, celle qui est devenue avec sa comparse Nadejda Tolokonnikova une des plus célèbres prisonnières politiques de Russie, est toujours aussi virulente à l’égard du régime. Sa détention dans l’un des camps de travail les plus redoutés du pays a transformé cette militante des droits de l’homme en vraie tigresse. Graciée en décembre par son ennemi juré Vladimir Poutine, cherchant à séduire la communauté internationale en prévision des Jeux olympiques de Sotchi, Masha a repris la lutte de plus belle.
Elle était de passage à Genève au Festival international du film et forum sur les droits humains (FIFDH) pour la projection du film sur le procès politique des Pussy Riot: A Punk Prayer. La jeune activiste a partagé avec les Genevois l’enfer de sa détention et les atteintes quotidiennes aux droits de l’homme en Russie. Depuis sa sortie de prison, elle multiplie les voyages avec Nadejda pour dénoncer les conditions de détention dans des camps de l’enfer. Présentes à New York, à Berlin et dans de nombreuses autres régions, elles n’ont de cesse de répéter les mêmes slogans. Parcourant sans relâche les rassemblements militants, mettant sans hésiter leur notoriété au profit des victimes de «la barbarie» en Russie. «Ceux ou celles qui essaient de faire respecter la dignité humaine dans les prisons sont opprimés, scande la jeune femme déterminée et très applaudie dans une salle Arditi comble. J’ai vu des femmes réduites à l’état de zombies, travaillant à la chaîne 10- 12h par jour, puis dormir, sans plus parler à personne.»
«L’humiliation des femmes, notamment, dépend du degré d’humanité de ses geôliers.»
Pour cette guerrière à l’allure plutôt sage d’étudiante rangée, la communauté internationale doit savoir ce qui se passe dans les prisons russes. «On a vécu l’isolement disciplinaire: en sandales dans le froid, à peine vêtues, seules dans des baraques glaciales, sans même pouvoir se promener, simplement parce qu’on réclamait le respect de nos droits fondamentaux. La dignité des prisonniers, qui pour la plupart n’ont commis d’autre crime que celui de n’être pas d’accord avec le pouvoir en place, est bafouée. Des vies sont détruites.» Elle explique que chaque déplacement ou demande dans une prison est propice à des abus. «L’humiliation des femmes, notamment, dépend du degré d’humanité de ses geôliers, affirme-t-elle plus motivée que jamais. Nous continuerons jusqu’au jour où le régime en place arrêtera les arrestations et le tabassage systématique de tout opposant politique», prévient celle qui se revendique toujours des Pussy Riot, malgré des rumeurs d’exclusions après leur libération. Les deux jeunes femmes étant accusées par leurs collègues de trahir leur idéologie d’actions spontanées et gratuites en participant à des rassemblements organisés.
Agressées encore au début du mois de mars, Masha est malgré tout venue à Genève. «Nous étions en route pour la prison de Nijni- Novgorod (400 kilomètres à l’Est de Moscou), lorsque des jeunes nationalistes nous ont agressées avec de la peinture et de l’antiseptique, raconte- t-elle avec un aplomb étonnant. Ils nous ont jeté des objets métalliques et tabassées. C’est ce qui arrive à tous ceux qui expriment trop fort leurs opinions politiques en Russie.» Des attaques et des intimidations qui n’ont d’autre résultat que d’attiser la détermination de ces jeunes activistes pacifiques et artistiques comme elles se définissent volontiers.
Persécutés
La Russie n’a pas signé la résolution, adoptée en 2011 par le Conseil des Droits de l’homme des Nations Unies, affirmant les droits LGBT. En 2009, l’arrestation à Moscou de militants gays pour propagande LGBT avait déjà choqué la communauté internationale. Depuis, les attaques se multiplient, selon Masha. «Les homosexuels sont persécutés, mais jamais ouvertement. La police organise des expéditions punitives, ils sont tabassés, mais les auteurs ne sont jamais retrouvés.» Elle détaille aussi la politique d’encouragement à la discrimination dans le pays. «Vous avez, par exemple, un commentateur bien connu sur une chaîne de télévision qui incite régulièrement la population à criminaliser l’homosexualité. Ce qui lui vaut de belles promotions professionnelles. Aujourd’hui, toute personne qui milite contre les homosexuels est bien vue par le gouvernement. Ceux qui défendent publiquement le choix libre du partenaire finissent en prison. Mais jamais officiellement pour ce motif. On trouvera d’autres griefs pour justifier une arrestation. C’est très grave.»
Durant le débat, Masha n’a pas hésité non plus à fustiger la communauté internationale pour sa participation aux Jeux olympiques de Sotchi. Il ne fallait pas aller à Sotchi. Des milliers de personnes ont tout perdu pour ces jeux olympiques de la démesure. Le gouvernement n’a pas hésité à exproprier et à réduire en esclavage toute une population pour construire ce qui n’était pas une fête du sport, mais une ode à la dictature. Présentes sur place le 18 février avec plusieurs Pussy Riot et des activistes des Droits de l’homme Masha et Nadejda ont été interpellées. Officiellement suite à un vol avec effraction dans un hôtel. Elles ont été relâchées dans la nuit et le lendemain, six membres de Human Rights Watch les accompagnant ont été fouettés et aspergés de lacrymogène après un happening visant Vladimir Poutine.
«La Russie est immense, le pouvoir de l’église orthodoxe et de Vladimir Poutine aussi, mais les choses vont changer. Le peuple russe va se réveiller et défier l’autocratie. Vous pensez nous faire taire en nous tabassant et nous emprisonnant, mais vous vous trompez, on se battra jusqu’au retour des libertés en Russie et d’autres mouvements prendront le relais si vous cherchez à nous détruire. La démocratie est en marche.» Maria Masha Alekhina est une Pussy Riot ou une «émeute de chattes» en français.
Après avoir discuté avec et rencontré de multiples personnes et couples polyamoureux ou/et libertins, je suis persuadé que certaines personnes ne sont simplement pas construite pour remettre en question les dogmes et règles de notre société, d’autres oui. Cela vient de l’éducation, de la personnalité, de son cheminement, de sa confiance en soi et de […]
Cet article Critique de « Vertus du Polyamour » d’Yves Alexandre Thalmann est apparu en premier sur NXPL.
Les autorités ougandaises ne doutent de rien. Tandis que Kampala ne manque jamais une occasion de se féliciter du durcissement de la répression de l’homosexualité – désormais passible de la prison à vie – le responsable de l’office du tourisme national a tenté plutôt maladroitement de rassurer d’éventuels visiteurs gay. Stephen Asiimwe a s’exprimait en marge d’une récente foire internationale, l’ITB de Berlin.
Ignorance grotesque
«Aucun visiteur gay dans notre pays ne sera harcelé ou mal accueilli parce qu’il ou elle serait gay, a-t-il garanti dans une interview au blog eTurbo News. Mais la culture est importante en Ouganda, et nous demandons seulement à ce qu’ils la respectent. Par exemple, ils devraient s’abstenir de se toucher en public ou d’avoir des rapports sexuels avec des enfants.» La déclaration a suscité la colère et l’ironie parmi les pros du tourisme. Selon l’un d’eux, Asiimwe (qui a été nommé en février dernier) «démontre un niveau d’ignorance grotesque qui pousse à ce demander comment il peut assumer de telles responsabilités.»
Plusieurs pays, dont les Etats-Unis, la Suède ou le Royaume-Uni, ont partiellement suspendu leur aide à l’Ouganda après la promulgation du texte par le président Museveni, en février dernier. Le secteur touristique local, principalement axé sur les splendides parcs naturels du pays, a contribué à hauteur de près de 10% du produit intérieur brut.
Un jeune homme très ambitieux du Malawi
Voulant devenir riche, après plusieurs échecs,
A laissé une hyène bouffer son zizi
Et attend, maintenant, qu’on lui envoie son chèque.