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Vu sur Un baiser cinématographique
Dommage que le projet de la création de la revue Canicule avec son thème « le baiser » semble ne pas aboutir, car cela aurait été un très joli exemple de baiser cinématographique.
Cette semaine, je suis allée voir un film muet de 1927. Il s’agit de La Jeune Fille au carton à chapeau de Boris Barnet. Film russe, en noir et blanc bien sûr, d’une heure et demie environ. Un très joli film, d’autant plus intéressant qu’il était accompagné par un duo musicien-bonimenteur qui donnait vie aux images.
Le baiser entre Natacha, principal protagoniste, et Ilia intervient en toute fin de film. Alors non, il ne s’agit pas d’un film érotique. Même pas d’un film d’amour, même si l’amour est subtilement présent. Mais ce baiser-là est peut-être le baiser le plus mignon que j’aie vu.
Natacha et Ilia sont mariés afin qu’Ilia puisse bénéficier de la chambre alouée à Natacha. Raison pratique, bon cœur de Natacha qui ne pouvait, connaisant son état, laisser Ilia, rencontré dans le train, sans logement. A la fin du film, le divorce est demandé par Ilia. Natacha s’y refuse. Elle se pique alors malencontreusement le doigt. Ilia se précipite, porte son doigt à ses lèvres. Alors Natacha se pique volontairement la lèvre et quémande par son attitude et ses gestes. Et Ilia pose alors ses lèvres sur les siennes.
Cet article provient de Films érotiques
Aujourd’hui pas de boulot, donc direction les salles de cinéma, une passion que j’ai appris à apprécier grâce à mon Maître. En effet N/nous adorons les salles obscures et l’existence des pass illimités nous a toujours permis d’en profiter au maximum, mais pour Maître, c’est aussi l’occasion de tester ma docilité et mon obéissance…
D’abord le basique, toujours prévoir des vestes et cela quelque soit la température, évidement l’objectif n’est pas de choquer les éventuels autres occupants de la salle (heureusement, il n’y a jamais grand monde aux heures que N/nous choisissons). Ensuite, pas de soutien-gorge pour aller au cinéma, mes nichons doivent être facilement accessibles afin que Maître leur fasse subir tout ce qui Lui plaira : caresses, pincements, effleurements, je sais également que bientôt Maître m’interdira toute culotte lorsqu’Il me sentira tout à fait prête. Et pour finir une obéissance à toute épreuve et cela en toute circonstance, ainsi ce matin Maître a baissé son boxer afin que je Le branle tout le long du film (Il était caché par la veste bien sûr).
C’était la première fois qu’Il me demandait une telle chose, mais je n’ai eu aucune hésitation, je lui ai obéi comme doit le faire une esclave dévouée à son Maître et j’en suis très heureuse…
Cet article 09 Juin 2016 – Cinéma est apparu en premier sur La Part De L'Ombre.
Selon une information donnée par le site collider.com et reprise par cinemafantastique.net, A Good Day to Die Hard (2013) de John Moore aurait été classé « R » par la Commission de classification américaine estimant que le cinquième épisode des aventures de John McClane était trop violent, dans les images et dans les mots, pour les mineurs de 17 ans non accompagnés d'un adulte. La décision n'ayant pas encore été rendue officielle, il est probable que la Twenty Century Fox discute encore d'arrache-pied avec la MPAA pour abaisser le niveau de restriction et obtenir un « PG-13 » comme ce fut le cas pour le précédent épisode de Die Hard. Dans le même temps, on apprend que Behind the Candelabra (2013) de Steven Soderbergh, racontant la relation tumultueuse et homosexuelle du pianiste Liberace (Michael Douglas) avec Scott Thorson (Matt Damon), ne devrait pas sortir en salles aux États-Unis faute d'un financement suffisant. Le film devrait dès lors tomber au rang des téléfilms.
Par ailleurs, après avoir été sérieusement menacé d'une procédure judiciaire, le film Une histoire d'amour (2012), de Mathieu Tarot et Hélène Filières, est sorti en salles le 9 janvier 2013. Racontant, sans vraiment le dire, l'histoire d'Edouard Stern, un banquier assassiné par sa maîtresse en 2005 et retrouvé vêtu d'une combinaison de latex dans une chambre d’hôtel, le film avait dès son projet suscité la vive opposition de la famille. Expliquant avoir adapté le roman « Sévère » de Régis Jauffret publié au Seuil en mars 2010, le réalisateur explique dans le « Nouvel Observateur » du 8 janvier dernier que le choix de situer l'action dans aucun pays précis, de ne livrer aucun nom et de ne donner aucune profession claire aux personnages du film n'a rien à voir avec une quelconque menace de poursuites devant les tribunaux : « Il s’agit d’un parti pris de réalisation. Dès le départ, le scénario d’Hélène Fillières plaçait le spectateur dans une position de voyeur, entrant dans la vie des personnages, sans rien savoir d’eux, pour en sortir un peu après. » Finalement, l'affaire s'est tassée et la famille du banquier a laissé faire après avoir obtenu la certitude que le film prendrait de la distance avec les faits et le roman de Régis Jauffret. Le film est sorti en salles classé « tous publics » avec l'avertissement suivant : « Plusieurs scènes sado-masochistes sont susceptibles de heurter un public jeune . »