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“Anyway, the proof is in the pudding, or in this case, the semen, so I gave Trak a spin. I’d already been through the needlessly complicated process of having my sperm analyzed in a lab. If Trak could simplify that process for other men and at the same time teach them something about what’s hanging between their legs, I thought, it might actually justify that $200 price tag.”
* I’m not shooting blanks but I didn’t need a doctor to tell me that (Engadget)
“The pizza delivery narrative is “actually a relatively new thing” in the many-thousand-year-long history of pornography, according to Joe Rubin, a co-founder of independent film preservation and distribution company Vinegar Syndrome, which specializes in cult films, including vintage pornography. He explains that in the history of erotica, the conceit of a delivery person showing up at a woman’s door and exchanging goods for sex is less than a century old.”
* “Did Someone Order a Pizza?” (Eater)
“For this week’s Sex Lives podcast, I watched VR porn for the first time and was, well, horrified. But Vocativ staff writer Tracy Clark-Flory has a more optimistic view. She’s been hanging out on VR-porn sets, and testing VR porn, webcams, and interactive experiences for years. As she tells it, one of the biggest surprise of VR porn is that viewers don’t actually want the horrifying stuff — they want to be cuddled. …”
* Virtual-Reality Porn Is Killing Boners (NY Mag)
“The clitoris really isn’t that confusing. Or it shouldn’t be, anyway. Nonetheless, acknowledging the shape, size, or even existence of this essential body part has not always been par for the course—even in the medical profession. As a 2005 report from the American Urological Association puts it, “the anatomy of the clitoris has not been stable with time as would be expected. To a major extent its study has been dominated by social factors.””
* The Still-Misunderstood Shape of the Clitoris (The Atlantic)
“If horror movies have long taught us there is no greater monster than adolescent female sexuality, Raw offers a twist for the ages. In Julia Ducournau’s breathtakingly depraved new movie, all it takes is one taste for Justine (Garance Marillier), a young veterinary student, to lose herself to a lust she’ll never overcome.”
* Raw (Slate)
“Much of the destructive, extra-punishment punishment we inflict on sex offenders is due to the widely held belief that they’re more likely to re-offend than the perpetrators of other classes of crimes … The problem, as Adam Liptak writes at the New York Times, is that the claim just isn’t true.”
* The big lie about sex offenders (NYT)
“Dr. Radosh, 75 and a neuropsychologist by training, calls it “sexual bereavement,” which she defines as grief associated with losing sexual intimacy with a long-term partner. The result, she and her co-author Linda Simkin wrote in a recently published report, is “disenfranchised grief, a grief that is not openly acknowledged, socially sanctioned and publicly shared.””
* When a Partner Dies, Grieving the Loss of Sex (NYT)
“Whilst research is mixed on the harmful effects of internet porn and some men are choosing to give it up for good, a new study has shed light on the different types of porn users there are and which are healthy and unhealthy. …a recent study in the Journal of Sexual Medicine has identified three different types of porn user: the recreational, the compulsive, and the distressed.”
* This Study Explains The Difference Between Healthy And Unhealthy Porn Users (Esquire UK)
“It started off as nothing more than a small fishing village on the Gulf of Thailand. …After almost half a century, Pattaya has transformed itself from a getaway destination for international soldiers during the Vietnam War to Thailand’s best-known red light district among sex tourists from every corner of the world.”
* No sex please, we’re Thai (Bangkok Post)
Main post image via: Girl in trouble: The mysterious vintage bondage photos known only as ‘Mr. Steinberg’s Model’ (Dangerous Minds)
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Non, «courtier» ou «business», ne sont pas des termes d’économie. Ce sont des mots du «joli monde», celui de la prostitution. Un dictionnaire spécialisé –Du Couvent au Bordel– inventorie ce que la langue français doit aux gagneuses et à leurs macs.
Dans le milieu de la prostitution les mots pour le dire foisonnent en un jargon inépuisable de termes, tous plus insolites les uns que les autres, qui ne cessent d’évoluer depuis le XVIe siècle. Sensible à cette pléthore lexicale, Claudine Brécourt-Villars –spécialiste de la littérature et des idées de la fin du XIXe siècle et du début du XXe– énumère dans un livre-objet à la facture précieuse les termes les plus imagés. On y apprend notamment que le mot bizness «anglicisme introduit en France au milieu du XIXe siècle par les pickpockets anglais», est rapidement attesté (dès 1895) au sens de «travail de la prostituée». Les businessmen peuvent donc en rabattre : leur métier à l’origine ne consiste guère qu’à vider des bourses trop pleines. Et que dire des courtiers ? Leur nom qui vient du néerlandais makelare («intermédiaire»), lui-même dérivé de makein («trafiquer») a donné… «maquereau, l’homme qui vit de la prostitution des filles». Voilà qui n’est pas vraiment glorieux. Claudine Brécourt-Villars rajoute avec un brin d’humour : «Au fil des temps, maquereau a fini par être confondu avec le nom donné au poisson de mer, dont le dos tacheté de vert et de bleu évoque les costumes voyants et les bijoux clinquants portés par les proxénètes à la fin du XIXe siècle».
Cave, catin, bocard, boxon ou boulangère…
Dans Du Couvent au bordel, dictionnaire fabriqué avec un soin particulier (grammage, typo, encollage), au titre imprimé en forme de calligramme érotique, la chercheuse livre sa moisson de mots. Milord, mondaine, montretout, musardine, pierreuse, poniffe, Prosper, putanisme… Chaque locution est accompagnée de citations truculentes. On les fait rouler sous la langue avec le même plaisir qu’on se prend à caresser la couverture couleur chair de l’ouvrage : c’est littéralement un livre à textures et à confiture. Un régal, donc, et l’occasion d’apprendre que le mot «salope», par exemple, dérive peut-être d’un nom d’oiseau, tout comme «grue», «cocotte», «poule» ou «chouette»… «Salope. Appellation dénigrante d’origine obscure, peut-être composée de sale et de hoppe, dérivé de huppe, oiseau réputé pour sa saleté, attestée en 1775 au sens de femme malpropre. Par glissement sémantique, […] femme aux moeurs dissolues».
Des termes souvent péjoratifs
Bien qu’elle apprécie la verdeur de ces mots, la chercheuse note, avec amertume, que «les marchandes d’amour sont stigmatisées», y compris par leurs propres clients. Comparées aux volatiles de basse-cour, aux batraciens, voire aux larves d’insectes, les prostituées portent des noms qui les avilissent. «“Araignées de luxure” ou “de pissotière” offrent la parfaite représentation du rejet que suscitent ces filles, considérées comme avilissantes. S’ajoutent à ce florilège “chienne”, “guenon”, “truie”, femelles” réputées pour leur lascivité» sans oublier «morue» bien sûr (à cause de l’odeur), quand ce n’est pas un nom de maladie («vérole») ou d’instrument de cuisine (par allusion au fait qu’elles font bouillir la «marmite» ou chauffer la «casserole» du souteneur). Tout cela n’est guère flatteur.
Féminisme avorté sous la Révolution
Ces mots, souvent insultants, en disent long sur «la condition des prostituées dans la société française et, inévitablement, sur celle des femmes». Il n’est d’ailleurs pas innocent que durant la Révolution française, les filles publiques aient multiplié les doléances, dans l’espoir que leurs droits soient enfin reconnus et qu’en réponse à leurs tentatives des fins esprits se soient moqués d’elles, en les ramenant à ce qu’elles étaient : «garces, putains, toupies, maquerelles, etc». Il n’y a pas de plus sûr moyen, pour mâter les femmes qui réclament l’égalité que de leur dire tout cru quels termes injurieux les désignent. Une des publications les plus célèbres du genre date de 1790. Elle est publiée chez un éditeur fictif : la «Société philantropine», située «rue Tiron». La brochure s’intitule : Réclamation des courtisanes parisiennes adressée à l’Assemblée nationale. Claudine Brécourt-Villars en cite un extrait savoureux dans son dictionnaire.
Réclamation des courtisanes adressée à l’Assemblée Nationale
Il s’agit d’un pastiche bien sûr. Cette «facétie» (selon les mots de Gaston Capon, auteur des Maisons closes au XVIIIe siècle) repose sur une fiction. La fiction est la suivante : au moment de l’abolition des titres nobiliaires, les filles publiques de Paris réclament l’abolition des vilains mots qui servent à les désigner, qu’elles nomment des «titres déshonorants». Elles se réunissent donc en Assemblée de femmes (toutes de la même profession), «pour concerter les moyens les plus prompts et les plus sûrs de réprimer, dans notre langue, tout ce qui porte atteinte à la bienséance et au maintien de l’honneur». Leur but : «réclamer l’abolition de ces termes impropres, qui compromettent à la fois la délicatesse des deux sexes». Elles élisent tout d’abord leur présidente : le vote désigne «Mademoiselle Testard» présentée comme une «marchande […] familiarisée depuis longtemps avec tous les membres du corps législatif»… Que faut-il comprendre par là ?
Comment faire quand on n’a pas de C** au C** ?
Une note en bas de page fournit l’explication suivante : «Instruite sans doute du mot de Piron à Madame de** que POUR FAIRE DES VERS IL FALLAIT DES COUILLES AU CUL, Mademoiselle Testard a présumé qu’il en fallait autant pour faire de bonne prose. Delà, ses assiduités auprès des Représentants de la Nation, et parmi les douze cents dont elle peut se flatter de connaître à fond les deux tiers, aucun n’a démenti l’opinion qu’elle en avait conçu». Traduction : à défaut d’avoir des attributs virils, Mademoiselle Testard se débrouilla pour les approcher de si près que les couilles de douze cents membres de l’Assemblée lui imprimèrent par derrière la force nécessaire à la rédaction en prose de ce discours. Et quel discours !
Interdire l’usage des «épithètes dégoutantes»
Ce Discours –totalement fictif bien sûr– dénonce avec inspiration «ces propos indécents, dont l’éjaculation incendiaire expose à tout moment le nom […] des courtisanes parisiennes». Mademoiselle Testard suggère une réforme : il faut désormais que soient interdites non seulement les appellations dégradantes de la Corporation mais les «épithètes dégoutantes dont nous sommes si souvent les victimes, malgré nos complaisances». Mademoiselle Testard demande alors à ses consoeurs de l’aider à dresser la «liste abhorrée» des mots à interdire. Elle propose que cette liste soit remise à l’Assemblée Nationale et qu’un décret sanctionne juridiquement leur utilisation… C’est alors qu’une autre femme, Madame André, intervient.
«“Conasse” est le premier mot que j’offre à votre indignation»
Madame André n’y va pas par quatre chemins : «Mesdames, dit-elle, “Conasse” est le premier mot que j’offre à votre indignation. […] Il nous est adapté sans cesse par des milliers de Petits-maîtres impuissants qui ne devraient trouver dans notre grandeur que le reproche de leur petitesse». L’argument est si bien tourné qu’on croirait presque, à le lire, qu’il s’agit d’un authentique. Une véritable féministe n’aurait pas formulé la chose autrement. Hélas, l’esprit «facétieux» qui a composé la brochure imagine qu’une prostituée (Manon St Pré) interrompt vivement l’allocution de Madame André en criant : «Et foutre Mesdames, pourquoi voulez-vous interdire ce faible moyen de vengeance aux malheureux individus que le Ciel a privé de ses faveurs». Ce qui met fin au récit. La brochure s’achève, laissant le lecteur à mi-chemin entre la sympathie pour les prostituées et le désir de protéger ces mots qui, malgré tout, ont une raison d’être. Une mauvaise raison, certainement, mais… aucune censure jamais n’abolira le bazar.
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A LIRE : Du couvent au bordel. Mots du joli monde, de Claudine Brécourt-Villars, Gallimard Hors collection, La Table Ronde, 2017.
Avec Le vertige des falaises, roman méchamment beau et cruel, Gilles Paris aborde à nouveau l’un de ses thèmes favoris, l’enfance. A une différence près : ici, l’héroïne est une adolescente âgée de 14 ans. Ce qui, pour cet auteur, est une première.
Mise en abîme et chant choral.
Gilles Paris a choisi d’isoler les membres de cette famille sur une île inconnue où chacun cache ses secrets derrière des murs transparents et froids.
L’écrivain a posé son histoire sur l’Île où règne depuis plus de trente ans une famille très riche, les Mortemer. Ils vivent en haut des falaises, à Glass, une très grande maison toute en verre et en acier construite par Aristide, le grand-père architecte, sur un terrain qui appartenait à la famille d’Olivia, sa femme.
Leur fils, Luc, s’est marié à la belle et intelligente Rose qui est venue s’enfermer avec eux. Devenu père de Marnie, Luc a fini par quitter sa femme, sa fille et l’Île pour partir habiter sur le Continent et voyager à travers le monde. Mais que s’est-il passé derrière ses murs vitrés ?
Au fil des pages, le lecteur découvrira que cette famille n’est pas aussi lisse que les murs de Glass. Elle cache beaucoup de secrets. Ceux-ci seront révélés par Olivia et Marnie Mortemer et quelques personnages secondaires.
Olivia est née sur cette terre sauvage dont elle connaît tous les habitants. Certains lui obéissent par amour ou par respect, tel le médecin ou le curé. D’autres accepteront de l’argent pour se taire et oublier certains faits.
A 14 ans, rousse à la peau blanche, Marnie vient d’enterrer son père et veille sur sa mère qu’elle adore, Rose souffre d’un cancer inéluctable. Gamine sauvage, Marnie n’obéit à personne, – et surtout pas à Prudence qui sert aveuglément la famille –. Elle ne sourit jamais et fugue régulièrement, au grand plaisir de sa grand-mère Olivia qui l’aime par-dessus tout.
Marnie aime passionnément l’Île qu’elle connaît par cœur pour l’avoir parcourue en baskets ou pieds nus. L’adolescente n’imagine pas vivre dans un autre endroit, même si elle rêve de visiter le Continent. Pourtant, elle s’y rendra avec Vincy, l’adolescent qui l’attire et dont elle ne sait que faire.
Marnie semble vivre dans son monde, à l’écart de tous et de tout, sauf de sa mère et de l’Île. Et c’est bien là tout l’astuce de Gilles Paris : aveuglé le lecteur en ayant créé un personnage aussi flamboyant que sa chevelure ; une adolescente insolente, avide de vivre alors qu’elle est entourée d’adultes qui meurent les uns après les autres. Marnie la rousse indomptable qui n’est peut-être pas aussi innocente que certains pourraient le croire.
Le vertige des falaises est l’un des romans les plus aboutis que Gilles Paris ait jamais écrit. Mais gageons que l’auteur de Au pays des kangourous, L’Eté des lucioles et du best-seller Autobiographie d’une courgette (adapté au cinéma par Claude Barras, Ma vie de courgette) n’a pas dit son dernier mot !
Extrait (p.9 à 10)
Marnie
Papa est mort. Je devrais avoir du chagrin, je n’en ai aucun. J’irais bien jouer avec Jane, mais la main baguée de grand-mère Olivia m’emprisonne. Le vent, lui, me décoiffe, et des mèches rousses me rendent aussi aveugle que Jane. Je ne vois plus le trou béant dans lequel deux costauds de l’Île font descendre le cercueil d’où papa ne s’enfuira plus. Il n’aurait pas aimé être mort de son vivant. J’entends leurs efforts, ce lit en bois qui cogne sa nouvelle demeure sur laquelle nous allons lâcher une poignée de terre. Tout comme il y a un ana, après la mort de grand-père Aristide. Ils sont enterrés l’un près de l’autre comme deux amis qu’ils n’étaient pas. C’est comme ça dans la famille. On ne pense jamais à haute voix, sauf au bord des falaises, là où le vent emporte tout. Je retiens mes mèches, ramasse de la terre rouge et la jette sur le bois vernis. Olivia retire vivement sa main. La bague m’a griffée, je saigne un peu. Les larmes glissent sous ses lunettes, ses rides les retiennent. Elle vient de perdre son fils qui n’aimait que les casinos, les voitures de sport, et les jolies femmes. Je répète juste ce que j’ai entendu derrière les portes. Le vent se lève comme toujours sur cette Île, la terre tourbillonne au-dessus du cercueil. Olivia tremble. Je ne sais pas si c’est le chagrin ou le climat changeant de l’Île. Elle salut de la tête Géraud le médecin, et Côme le curé. Elle ne se risquera pas à les embrasser. Chez les Mortemer, on garde ses émotions pour soi. Elle vient d’attraper mes doigts, sans s’y accrocher cette fois, comme lors de nos promenades le long des falaises. On remonte lentement l’allée du cimetière, la maison des morts avec toutes ces tombes grisâtre où ont été ensevelis des hommes, des femmes et des enfants que je n’ai pas connus et pour lesquels je ne ressens rien. Tout comme avec grand-père et papa. J’ai mes raisons. Olivia s’appuie sur mon épaule et fait peser son grand âge. En un an elle a perdu un mari et un fils. Je serais presque heureuse de rentrer à la maison si maman n’était pas malade. On n’a pas besoin des hommes. Ils n’apportent que du malheur.
Le vertige des falaises, Gilles Paris, éditions PLON, 240 pages 16,50 €
En librairie le 6 avril 2017
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Nous sommes deux femmes québécoises originaires du Maghreb, et comme la grande majorité des Maghrébines, nous sommes musulmanes. Cependant, nous ne nous identifions pas par rapport à notre religion, mais par notre identité féminine.
- Femmes du mondeBon dimanche les amis ! J’ai deux bonnes nouvelles : la première, c’est qu’on a 7 ans aujourd’hui et qu’on ne compte pas s’arrêter là ! La seconde, c’est que le printemps arrive et que ça me donne un mojo dantesque. Pour fêter toutes ces belles choses, voici une sélection sous influence de nos gifs maison. Cinq doses chargées à bloc de cette substance très puissante qu’on appelle le pr0n.
Voilà ce qui arrive quand on prend trop d’acide et que tout monte d’un coup : on décolle plus fort que la fusée Ariane. Cependant, on doit plus cette montée spectaculaire à la teub du mec de ScarlettKnightley qu’à Timothy Leary d’après mes sources. Le sexe est parfois plus intense que le LSD 25.
Scarlett Knightley – Highschool Chronicles – Pornhub
Riley Reid retourne chez Stagliano pour le 3e volume de ses aventures humides. D’après une étude très poussée sur notre historique internet, le futur dans le porn serait ouvert au squirt-shot – la version féminine du cum-shot. Bon ici, on est plus dans du self-squirt-shot, un genre aussi vieux que le premier mec qui a un jour décidé de s’auto-sucer (ou essayer) et qui s’est retrouvé à goûter son sperme. Au Tag, on vous laisse expérimenter ce que vous voulez, y’a pas de mal à jouer avec ses fluides, bien au contraire.
Riley Reid – Evil Squirters #3 – Evil Angel
L’ennemie jurée de Riley Reid, c’est Remy Lacroix, ici présente. On la retrouve chez Mark Rockwell foncedée devant cet orgasme qui n’en finit pas. Si le premier gif traitait de l’acide, celui-ci serait plutôt la weed si j’en crois l’incapacité de Remy à ouvrir les yeux pendant toute la scène. Finalement, rien de nouveau sous le soleil californien.
Remy Lacroix – Edge Play with Remy Lacroix – Mark Rockwell
Je ne sais pas à quoi carbure Abella Danger, mais je veux bien l’adresse de son dealer car ça a l’air d’envoyer du lourd. En vérité, sa dose s’appelle Xander Corvus dans cette scène chez Brazzers repérée par Saint-Sernin sur Le Bon Fap. Totalement fascinant (mais peut-être un peu surjoué, on vous laisse vous faire votre avis…).
Abella Danger & Xander Corvus – Brazzers
Arrêtons la drogue deux secondes. La GROSSE tendance sérieuse du moment c’est de faire des exercices de fitness puis de tourner du porn. On connaissait déjà Fitness Rooms et ses intros interminables tournées au Club Med Gym du coin, il va falloir maintenant compter sur Buttformation dont le but est simple : vous former le boule avec des squats puis monter sur la Tour Eiffel. Le boule ; ma came.
Amirah Adara – Bootygains Checkup – Buttformation
En couverture : la stoneuse-hula-hoppeuse Remy Lacroix
Le 8 Mars, c’était la Sexo Académie sur la cuisine coquine avec l’excellent (et fort sympathique) Jérôme Marchand. Comme d’habitude, sur un format court de 19h30 à 21h30, Flore d’Union a organisé une soirée fort agréable, sexy et instructive. Toute l’idée des Sexo Académies est d’explorer de manière ludique ce qui tourne autour de la sexualité…
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