Beaucoup de nostalgie pour ces premiers moments d’émoi. Que ce soit sur K7 pour les plus ancien·ne·s ou sur NT1 pour les plus jeunes, les films érotiques des années 70 à 90 ne sont qu’une caresse sur nos petits coeurs tout mous. Du célébrissime Emmanuelle à Ilsa, la louve des SS (WTF ?), on passe par des séquences ô combien sensuelles à des extraits complètement loufoques. Je vous en donne un bref aperçu en ce dimanche en remerciant bien la chaine Pornhub Cinemacult. A vos magnétoscopes, on rembobine !
Beaucoup de dentelles, des hauts talons, de grosses boucles d’oreilles et un fauteuil imprimé, bienvenue dans le monde merveilleux de Carmen Russo. On aime le regard déterminé et le jeu de jambes de l’actrice qui, cela dit, ne choisit clairement pas l’option la plus facile pour enlever ses chaussures.
Petit coup de coeur pour cette fraction de sensualité dans l’avion de la sublime Emmanuelle. Je me revois encore au moment où je suis tombée par pur hasard sur cette extrait : un cul posé dans le canapé de la pote, une bière à la main et la beauté sur l’écran. On est toutes restées scotchées devant tant de whaou. Quelques années ont passé depuis, mais Dieu sait que ça me donne toujours les mêmes frissons.
Un dégrafage, un pied courbé, une jolie promesse toute en volupté. La pulpeuse Dyanne Thorme joue sur la corde sensible dans le film Ilsa, la louve des SS. Je suis d’accord, c’est tout à fait étonnant de retrouver un film avec un titre pareil dans les lignes du Tag Parfait, mais n’ayez crainte, quelques scènes dignes d’un vrai nanar nous font rapidement réfléchir s’il s’agit ou non d’un simple chef-d’oeuvre où l’érotisme est roi.
Une envie pressante d’un petit bout de fromage en plein milieu de la nuit ? Mais tiens, qui voilà ! La délicate Trina Michelsen avait déjà pris le pli face à sa gourmandise. Entre deux tomates cerises et une bouchée de mousse au chocolat, le couple se balance sur les bords de l’amour et de la tendresse. Ça frise le cliché mais c’est tout ce qu’on aime.
On commence et on termine avec un gif signé de la grande Carmen. On a le droit a un défilé d’expressions qui ferait pâlir les plus grands mimes français. En même temps, comment rester neutre quand non seulement, on vient de tomber de façon tout à fait loufoque et qu’on se retrouve nez à nez (encore une fois) avec les jambes longilignes de la douce Carmen. Auriez-vous su garder votre calme ?
Image en une : Emmanuelle, Just Jaeckin, 1974