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Vu sur Séquestration, polar de Michel de Roy
Le livre aurait presque pu avoir sa place dans la rubrique « littérature érotique » de ce blog, car les premières pages du roman suivaient les péripéties sexuelles de Jessica. Seulement, le roman est un polar, et après ces passages de sexe explicite, suivent un enlèvement, des rivalités et conflits d’intérêt, l’atmosphère glauque d’une bar où l’on […]
Cet article provient de chocolatcannelle
Il était temps, cela devenait inévitable… lui comme moi ne pouvions continuer à vivre ensemble sans être ensemble. Son amie lui avait dit qu’elle ne viendrait pas à la maison tant que j’y serai. Ce qui est compréhensible, donc je lui ai dit que je partirai au début du mois de juillet, dès la semaine prochaine. Et même pour moi il était temps que je passe le pas. Vivre avec Monsieur Laurent du 80. N/nous allions profiter des vacances pour aménager la maison pour que je puisse venir y vivre. Il me fallait de la place. Pour mettre mes dossiers, mon informatique, bref pour y installer ma partie professionnelle. Et ensuite de la place pour y mettre mes affaires perso. C’est fou ce que l’on peut amasser comme affaire quand on vit dans une grande maison. je vais enfin m’endormir en Le regardant dans les yeux et me réveiller en Le regardant dans les yeux. Certes, il y a beaucoup de choses a régler. les enfants, l’organisation, et tout et tout…. Mais il n’y a rien d’impossible. N/nous avons pleins de projet, ma séparation me laisse un peu à sec financièrement parlant. Mais ce n’est pas un soucis. Il suffit de bosser et de faire attention. je suis heureuse et c’est tout ce qui compte. Le reste n’est que subsidiaire. je ne suis pas matérialiste pour un sou. quand j’ai c’est bien mais si j’ai pas je m’en passe. certe j’ai des goûts de luxe, je l’assume totalement. j’ai eu une enfance doré, étant la dernière de la fratrie. Menteuse, tricheuse voleuse et délatrice. j’étais la chouchoute de ma mère.Et comme j’étais jolie comme un cœur tout le monde me croyait même quand je mentais.Bref une petite peste. j’ai honte quand j’y repense. Monsieur Laurent du 80 a du boulot car j’ai tendance à vouloir tout …. tout de suite. La vie m’a rendu plus combative, maintenant je ne renonce pas tout de suite. je persévère. Mais j’ai tendance à vouloir toujours foncer comme un bélier. Quand je vois une difficulté je dois la résoudre tout de suite. Monsieur Laurent du 80 m’a énormément apporté depuis le début de N/notre relation. je suis plus performante au boulot. j’apprend à dire non sans pour autant agresser les gens. Bref j’assume de dire non. je n’ai plus de scrupule. Donc je deviens moins poire aussi. En plus O/on voyage beaucoup et j’adore voyager.
Certes, tout n’est pas rose…. je passe d’une maison de 150 m² à un appart tout petit mais bon il vaut mieux un petit chez soi qu’un grand chez les autres. Et puis à la rentré des classes il a été convenu, que je retournerai dans la maison pour m’occuper des filles le week end. Car pour le moment elles sont en vacances, parties pour les deux mois. Evidemment il a fallut annoncer à tout le monde que l’on se séparait mais bon cela j’en avais rien à foutre. C’est ma vie pas celle de ma mère, ma sœur etc… Mais si il y a bien une chose que j’ai appris .. c’est qu’il ne faut jamais écouter les autres. Ma mère par exemple était amoureuse d’un légionnaire. Quand il fut porté disparu, elle l’a attendu pendant des mois et des mois jusqu’à ce qu’il soit officiellement porté disparu. Un jour, alors qu’elle était au café elle s’est fait draguée par mon père. Elle était seule, elle savait que l’homme de sa vie ne reviendrait plus. il était officiellement considéré comme mort par tout le monde. Alors elle s’est laissée draguée . Il l’a demandé en mariage et elle a dit oui. La veille de son mariage, sont grand amour est revenu. Et elle lui a dit que c’était trop tard. Moralité de l’histoire, elle s’est marié avec un homme qu’elle aimait moins. et toute ma vie je l’ai entendu se plaindre de mon père. Moi il est hors de question que je mette ma vie de côté sous prétexte que je suis la mère de .. la fille de … et toutes ces conneries d’un autre temps… on ne vit qu’une fois. je ne tien spas à avoir des regrets toute ma vie.
Vu sur Anaïs, Jacques Montfer
Anaïs, escort-girl, confie l’histoire de sa vie à un psychanalyste. Souvenir d’Afrique où toute jeune adolescente, elle voit un homme noir et une femme baiser sous l’œil attentif du mari, regrets d’avoir fui lorsqu’elle revoit l’homme noir qui l’a fascinée. Anaïs est la fille d’un diplomate et suit ses parents lorsqu’ils se rendent au Kazakhstan. […]
Cet article provient de Littérature érotique
Ce fut le film le plus controversé du dernier Festival de Locarno, son nouveau directeur Carlo Chatrian n’hésitant pas à miser sur le cul pour rameuter la foule. Marchant avec succès sur les traces de son prédécesseur Olivier Père, qui avait lui aussi tenté d’appâter le client avec L.A. Zombie de Bruce La Bruce, nous fourguant un porno gore homo sous prétexte d’art, le boss a ainsi fait salle comble en programmant en compétition Zones humides (Feuchtgebiete), de l’Allemand David Wnendt. Le réalisateur a adapté le best-seller éponyme de sa compatriote Charlotte Roche, qui avait provoqué de gros remous dans le pays lors de sa sortie en 2008, tout en se vendant à quelque trois millions d’exemplaires. Un succès phénoménal allant évidemment de pair avec le contenu de l’ouvrage, tournant autour de confessions érotiques aussi scabreuses et obscènes que sulfureuses.
fluides et de sécrétions
Dénonçant l’emprise pudique, hygiénique et avilissante de la société sur les fondamentaux de l’être humain, la romancière décrit les aventures, qui se déroulent exclusivement en milieu hospitalier, d’une jeune fille bisexuelle de 18 ans. Adepte de pratiques anales et de plaisir sales, elle prône la vertu des odeurs, laideurs et autres disgrâces, sur fond de fluides et de sécrétions diverses. Pour certains il ne s’agit que de vulgaire pornographie. Pour d’autres au contraire, l’auteur d’origine anglaise à l’enfance chaotique, accessoirement journaliste et ancienne présentatrice de Tracks sur Arte, brosse avec talent le portrait d’une génération perdue par le biais d’un pamphlet féministe. Sinon un pied de nez à notre obsession pour la mode, le beau, le correct et le propre.
On est déjà assez loin du but dans le livre. Que dire alors du film où la Tessinoise Carla Juri enfile le costume de l’adulescente en pleine exploration de son corps et de ses émanations malodorantes! Apparemment épanouie, décomplexée et libre de ses choix, elle entretient en réalité une relation conflictuelle avec ses parents divorcés. Souhaitant les réconcilier, elle utilise une sexualité maladive et destructive pour régler ses problèmes existentiels, jouant les anticonformistes en compagnie de son amie Corinna.
Les premières scènes nous mettent vite au parfum, la montrant en train d’écumer des toilettes publiques hyper crades de Berlin, pataugeant pieds nus dans de l’eau croupie pleine d’immondices, époussetant le couvercle des waters de sa chatte, tout en portant un poil pubien à la bouche. Souffrant d’hémorroïdes, elle ne cesse de se gratter le derrière en faisant du skate.
Une rebelle bidon
Se masturbant aussi avec des légumes, notre sodomite en herbe se paie à l’occasion une pute dans un bordel. Et finit par se retrouver à l’hôpital suite à une fissure anale provoquée par un malencontreux rasage intime. Rouvrant sa cicatrice pour rester plus longtemps, toujours dans l’espoir vain de voir ses parents ensemble à son chevet, elle tombe amoureuse de son infirmier.
Divagation parfois laborieusement onirique prétentieusement de briser les tabous bourgeois. Emmené par une rebelle bidon, il se révèle faussement transgressif et provocateur, minablement exhibitionniste. On est plutôt dans une sorte de pipi caca dégoûtant, culminant dans un échange de tampons ensanglantés entre les deux copines, ou dans l’histoire d’une commande de pizza copieusement assaisonnée de sperme par quatre mecs en érection, qui éjaculent au ralenti. Bon appétit aux fans du genre!
«Zones humides» sur les écrans alémaniques. Sortie en Suisse romande et en France: date non communiquée.
Carla Juri aime le risqueJolie, singulière, attachante, pleine de charme et de caractère, Carla Juri porte le film sur ses épaules et tente de tirer le maximum du rôle casse-gueule et peu ragoûtant qui lui a été confié. Pas facile, d’autant qu’elle est âgée de 27 ans et que son personnage en a presque dix de moins. Mais la jeune femme dit aimer prendre des risques et choisir des personnages présentant un défi.
Carla Juri a grandi au Tessin. Alors qu’elle joue au … hockey sur glace à Ambri avec les garçons, elle part étudier aux Etats-Unis à 15 ans dans l’idée d’intégrer une équipe féminine. Rentrée en Suisse pour passer sa maturité, elle repart suivre cette fois, entre 2005 et 2010, une formation de comédienne à Los Angeles, puis à Londres.
Elle connaît son premier succès avec «180°» de Cihan Inan, cinéaste helvétique d’origine turque qui lui vaut le prix du Cinéma suisse pour un meilleur second rôle en 2011. Multilingue, elle a été engagée en Italie et en Angleterre, notamment dans «Fossil» du Britannique Alex Walker.
Poème érotique de Catherine Gil Alcala
Mise en scène et interprétation de Catherine Gil Alcala
au Donjon privé de Maîtresse Cindy (Paris 18e),
le samedi 23 novembre 2013 à 21h et le dimanche 24 à 17h30
« J’ai voulu écrire un récit érotique. Cela a pris la forme d’un long poème comme une bouffée délirante, un poème éternel tragicomique comme un tableau de Jérôme Bosch mis en mots. On croit s’éveiller mais le rêve ouvre sur un autre rêve. La réalité glisse inexorablement, paysages hallucinés de la jouissance… »
Catherine Gil Alcala
« La salle toute entière semblait pulluler de copulations. Le silence et l’invisible dans l’air même fourmillaient de coïts, de dandinements et de halètements érotomanes. Il pressentit qu’il avait lui-même, homme phallus, pénétré in utero, que c’était là l’explication à toute cette fantasmagorie. Le fatum s’ouvrait à lui sous la forme d’un fatras ordurier, inscrivait dans une vapeur : ICI C’EST LE LIEU OÙ SE RESTAURER DE PERVERSITÉ. »
L’admission à cette soirée privée ne sera permise qu’après révélation d’un mot de passe personnel.
Entrée: 15€
Réservation avant le 23 novembre uniquement à l’adresse suivante : reservation.evenements@gmail.com.
Le mot de passe ainsi que l’adresse du lieu seront délivrés en retour.
Ouverture des portes à partir de 17h. Places limitées.
Pour tous autres renseignements : Tél. 01 44 69 05 05
French porn favorite Dorcel Club is busy releasing superb porn:
A few choice shots I really like are after the jump.
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Se serait, en public, servi d’une citrouille
Pour satisfaire ses pulsions masturbatoires;
Les gosses, à l’Halloween, ont eu vraiment la trouille.