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Bon ok les jours sont un peu gris en ce mois de décembre, mais au Tag on est content parce que bientôt viennent les festivités et ça n’a pas de prix. Ce qui nous rend super enthousiastes c’est aussi les gifs gay. Vu que maintenant on les fait tous les quinze jours, c’est trop le pied de les retrouver. Ils nous avaient manqué, les revoilà. Enjoy.
Kris Evans et Mick Lovell s’offrent un petit week-end détox à la campagne. Quoi de mieux pour se ressourcer ? Le grand air, la nature, deux étalons dans un pré… Une sodomie, et ces deux jours sont forcément réussis. Dans ce gif on aime tout : la cadence, la musculature, les testicules qui gigotent au rythme du mouvement des fessiers les plus musclés de l’univers. A ce stade c’est quasiment de l’art.
Kris Evans et Mick Lovell à la campagne – BelAmiOnline
Cario Beck et Massimo Piano sont eux aussi partis en week-end. Ils ont pris leurs camions respectifs et se retrouvent à la pause pipi d’une aire d’autoroute. Ils sont tranquilles, ils prennent leur temps, pas besoin de se presser quand on est en vacances non ? Alors ils s’installent dans les cabinets et se donnent du plaisir. Ce gif résume parfaitement l’ambiance du film : branlette mutuelle et orgasme partagé. Merci à Fleshbot pour la découverte.
Cario Beck & Massimo Piano – Dry My Hole (Men.com)
Ce petit regard amusé c’est du pain béni. Gino Mosca est presque insolent, à jouer à cache-cache avec le braquemart de Jack Harrer. Bien sur qu’elle est énorme cette teub, mais tu n’arriveras pas à te dissimuler derrière ça non. Et puis à jouer avec le feu comme ça tu risques de y perdre tes plumes – ou ton intégrité physique.
Gino Mosca & Jack Harrer – BelAmiOnline
N’en déplaise à Donal Trump, les Etats-Unis comptent une belle équipe d’hommes qui s’aiment très profondément les uns les autres. Du coup, comme ils sont Américains et que leur pays ça reste leur fierté, ils ont décidé de prendre les meilleurs d’entre eux (parmi lesquels Brent Corrigan et Andrew Stark) pour en faire quatre films dignes des plus grands. « America’s Finest », God bless you.
Brent Corrigan & Andrew Stark – America’s Finest – Raging Stallion
Cody Cummings adore se déguiser. Dans les derniers rôles qu’il a joués, notre pref reste celui du policeman dévoué à sa cause. Perquis’ surprise chez Max McQueen où il va se permettre de fouiller jusque dans les moindres recoin, en n’oubliant pas le propriétaire des lieux. Il mate tous les orifices et cherche de fond en comble le moindre élément qui lui permettrait de l’emmener avec lui pour continuer la fouille au poste.
A toute les poules
Qui a dit que le porno était déviant ? Quelques clics vous prouveront rapidement le contraire : de plus en plus de médias s’en font les relais, sans pour autant en montrer un seul extrait. Il n’est plus l’apanage d’un secteur longtemps considéré comme subversif. Vice, Les Inrocks, Cosmopolitan, Buzzfeed… les médias mainstream de tous bords en font régulièrement la promotion. Un bon point pour la visibilité d’une pratique quasi-universelle, un mauvais pour son traitement ultra-rapide – voire inexistant. Si on parle de porno, c’est avant tout parce qu’il génère du traffic.
Auparavant, les médias dits « sérieux » ne touchaient pas à cet objet sale qu’est la pornographie. Elle restait le monopole de la presse spécialiséé. Les années 2000 ont changé la donne : à l’heure du tout numérique, les médias font la part belle au porno.
O M G
L’initiative ne saurait nous déplaire : parler de porno, c’est rendre compte d’une réalité omniprésente dans notre société. Pour autant, ces médias doivent se plier aux règles commerciales et publicitaires qui leur permettent de se promouvoir : celles-ci ne verraient pas d’un bon oeil une affiliation au porno. Et plus généralement aux règles des plateformes d’hébergements, impossible en effet de montrer ne serait-ce qu’un seul téton sur Youtube – même si on s’appelle Buzzfeed.
Parade ultime pour contrer cette réalité : montrer l’envers du décor. L’instigateur de cette tendance est un jeune youtubeur répondant au doux nom de Davey Wavey. Se définissant comme un « globe-trotter gay », il a publié en 2013 une première vidéo intitulée « Straight Guys React to Gay Porn » et a lancé par la même occasion une tendance aujourd’hui généralisée.
Fort du succès de cette première vidéo, Davey Wavey a d’ailleurs enquillé sur une autre vidéo avec de (vraies) lesbiennes réagissant à du porno lesbien. Avec sept millions de vues au compteur, c’est la vidéo la plus regardée de sa chaîne Youtube.
Le topo est simple : montrer du porno à des gens et filmer leurs réactions. Le concept est brillant et on ne s’empêche pas de rire devant certaines, notamment lorsqu’une étudiante britannique propose à quelques collègues de classe de le faire avec leurs meilleurs potes. Par moment c’est incroyablement gênant et à d’autres on se permet de rigoler grassement.
Ce type de vidéos s’est multiplié depuis un certain temps. On en trouve littéralement pour tous les goûts. Buzzfeed – à qui on ne la fait pas – en a carrément fait une série, ne se privant pas de mettre des couples « face à face au porn » :
Ou des meufs qui matent du porn pour « la première fois » (quasiment 12 millions de vues) :
Ainsi qu’un joli combo stars du porno + leurs propres films + un mec lambda qui a sûrement déjà du fapper dessus (14 millions de vues) :
On ne va pas vous faire toute la liste, elle est longue comme les pénis que vous ne verrez pas dans ces vidéos.
Chez Complex.com, on aime aussi la viralité SFW et on choisit la même astuce pour faire tester du porno VR à des novices. Bon, comme ça bouffe la moitié du visage, il n’est pas facile de voir quelle émotion sort de ce visionnage mais la gestuelle de certains en dit long.
L’idée a tellement bien marché qu’ils ont évidemment continué avec d’autres personnes, faisant tester ledit casque à la classe d’âge supérieure (8 millions de vues) :
Et même des rappeurs (presque 2 millions de vues)
Ils auraient pu continuer longtemps comme Buzzfeed mais ont eu la bonne idée de s’arrêter là. Ce qui n’a pas empêché d’autres de reprendre le flambeau et faire péter leur tour leur compteur Youtube.
C’est le cas de la chaîne MooMoo TV qui s’est fait maître dans la confrontation des citoyens coréens face à l’Occident. L’idée générale est de les faire réagir à la culture pop américaine (du rap, des clips, des pranks…) et donc bien sûr au porn. Vous avez sûrement dû la voir passer, puisqu’elle a totalisé déjà plus de 2 millions de vues (dix fois plus que leurs vidéos habituelles) et a fait le bonheur des médias spécialisés dans le « buzz ».
La vidéo est marrante mais on oublie d’expliquer que les Coréens n’ont pas du tout la même culture porno que la nôtre, puisque le porno est strictement interdit là-bas (et passible de plusieurs années d’emprisonnement). Bien sûr, on rigole, mais cette simple indication permet tout de même de mieux comprendre des réactions qu’on pourrait juger excessives au premier abord. Ces hommes voient un porno dont ils n’ont pas idée, qu’ils n’ont peut être jamais imaginé. Si on connaît un peu le porno japonais (le seul autorisé…), on peut comprendre leur comportement. Il est dommage que cette tendance, si drôle et redondante soit-elle, oublie de contextualiser les attitudes qu’elle diffuse.
On apprécierait sûrement beaucoup mieux ces vidéos en sachant ce que ces braves gens regardent. Certaines dévoilent quelques scènes – en les floutant – certains participants décrivent ce qu’ils voient, donnent quelques catégories… Mais on en reste là, censure oblige…
Face à toutes ces vidéos virales, on le sentiment que l’objet pornographique est traité encore une fois comme un simple appeau à clic, un élément de foire uniforme. A l’étiquetter comme « un » et unique porno, elles réduisent ses variétés, ses formes, ses perspectives… Et c’est bien dommage.
L’adolescence, période de bouleversement majeure marquant le passage du monde des enfants à celui des adultes, transition entre deux états, un peu à la manière d’une chrysalide, le concept de l’adolescence nait après la 2e guerre mondiale. Françoise Dolto (pédiatre, psychanalyste) à travers le complexe du homard métaphorise la carapace de l’enfance devenue trop étroite et...
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Le programme du Front national est un programme qui s’oppose aux progrès sociaux et porte atteinte aux libertés et aux droits fondamentaux de toutes et tous.
Plusieurs candidat.e.s du Front national menacent de supprimer les subventions du Planning Familial si ils ou elles sont élu.e.s dimanche prochain.
Mercredi 09 Décembre 2015Dans la quête de la camgirl parfaite, il existe une catégorie qu’il est assez difficile de croiser : les Françaises ou au moins francophones. On ne dirait pas comme ça, mais elles sont rares. Heureusement, nous avons découvert Lexi Miasaki, qui a accepté de se confier à nous sur son expérience de modèle webcam.
Peux-tu te présenter à ceux qui ne te connaissent pas ?
Je m’appelle Lexi, j’ai 24 ans et je suis une camgirl, fan de culture jap’ et de jeux vidéo. J’ai débuté sur le site Xcams il y a 3 ans où je faisais beaucoup de cam-to-cam. Je m’y connectais principalement le week-end. Cela m’a tout de suite plu. Comme je suis très curieuse, j’ai fait des recherches sur les autres sites qui existaient. J’en ai testé plusieurs pour comparer et j’ai découvert qu’il existait bien plus amusant que les shows en privé !
Tu préfères donc les show publics ?
Diffuser en mode public m’attire beaucoup, c’est devenu une addiction. Je suis une vraie geek, et tout ce qui peut s’apparenter à un jeu me plaît. Quand j’ai découvert Cam4, ça a révolutionné ma vision des shows. J’y ai beaucoup réfléchi car je voulais être certaine de pouvoir assumer. Je me suis lancée et je ne regrette pas ma décision. Le fait de jouer avec les spectateurs pour leur donner envie de me tipper, voir le compteur de mes spectateurs grimper… Tout ça m’excite énormément. C’est un peu comme se lancer des défis : chaque diffusion est différente, je n’obéis qu’à mon instinct et à mon plaisir qui est aussi le plaisir de mes voyeurs. Je ne fais même plus de shows privés pour le moment.
Où peut-on te voir à part Cam4 ?
Jusqu’à il y à 3 mois c’était mon seul site de diffusion. Depuis j’ai essayé Chaturbate. J’ai mis longtemps à me décider car mon niveau d’anglais est assez moyen. J’ai étudié le site pendant quelques mois avant d’y faire mes premiers pas. Je le trouve génial car les apps et bots sont en open source, tout le monde peut contribuer aux fonctionnalités du site et cela le rend extrêmement intéressant et diversifié… La gameuse en moi n’a pas pu résister.
Allez demain je l'ai Hâte pic.twitter.com/2dxbKpq9h4
— ❣ LeXi M. ♥(+18⛔). (@NeptuneCams) November 10, 2015
On dirait que ça a bien marché, tu as déjà plus de 30 000 disciples !
Oui pour ça j’avais élaboré ma stratégie en amont… J’ai commencé à diffuser avec un objet assez à la mode en ce moment le OhMiBod ! Plus sérieusement, je suis moi même étonnée de mon succès, je ne m’attendais pas à grimper aussi vite. Le OhMiBod a clairement été un très bon booster au début. Je possède le Blue Motion Nex1 et Nex2, je me sers souvent des deux dans un même show, mais j’aime mettre des goals différents en plus du OhMiBod, sinon je risque de m’ennuyer assez rapidement et si je m’ennuie mon spectateur aussi.
Quel est ton rapport avec ton public et tes fans ?
Je tisse des liens assez forts avec mes spectateurs réguliers, j’aime rigoler avec eux, leur parler sur Twitter, je cherche l’échange. Cela crée une bonne atmosphère quand je diffuse. Je déteste me sentir seule devant ma webcam. Mais attention, je ne rencontre pas en vrai les personnes qui me suivent car je tiens à préserver ma vie privée. On a déjà voulu m’offrir de gros cadeaux mais il aurait fallu que je dévoile mon identité et ça c’est inconcevable pour moi. Une fois un mec m’a proposé d’être mon « money slave » : il m’offrait quand je le souhaitais des chèques cadeaux, j’ai trouvé cela marrant un temps, mais il était trop insistant sur le fait de me rencontrer… du coup j’y ai mis fin.
Est-ce que tu considères la cam comme ton métier ?
En fait, je n’ai jamais eu pour idée d’en faire un métier. Pour moi c’est avant tout un plaisir « inavoué » car mon entourage n’est pas au courant que je pratique cette activité. Mais j’avoue qu’au départ si j’ai connu ce genre de site c’est parce que j’avais besoin d’un financement rapide pour un projet personnel. Une fois ce projet abouti, je n’ai pas réussi à me résoudre à arrêter…
Est-ce que justement tu as peur que tes proches ou collègues découvrent que tu es camgirl ?
Hmm bonne question! Je dirais oui et non. Je suis consciente du risque et je trouve cela plutôt excitant, mais si mon patron ou mes collègues tombent sur l’une de mes prestations, cela risquerait d’être assez gênant pour nous tous ! Mais je n’en ai pas honte loin de là. Après tout je ne fais rien de mal… ça jasera un peu dans les couloirs et ils passeront à autre chose.
Comment envisages-tu ton avenir là-dedans ?
Honnêtement je n’y pense pas trop, je vis cette aventure au jour le jour et c’est très bien comme ça. Je me prends pas mal la tête en ce qui concerne ma carrière professionnelle alors c’est pas plus mal pour moi de voir la cam comme un échappatoire de plaisir. Je pense que le phénomène des camgirls ne fait que commencer, je ne sais pas comment cela va évoluer mais par exemple avec l’Oculus Rift il y aura un milliard de possibilités à exploiter. Je ne suis pas visionnaire mais je suis impatiente de voir ce que ça peut donner, et d’y participer ! Pour ma part, je fais seulement de temps en temps des vidéos à télécharger sur Chaturbate mais je n’envisage pas d’en faire plus ni ailleurs. Cela dit je compte peut-être me lancer dans un projet de chaîne YouTube de gaming, ou l’on pourrait me voir sous un autre jour.
Tu sais qu’on échappe pas à cette question sur le Tag Parfait : c’est quoi ton porn Lexi ?
Je vais en décevoir certains : je ne suis pas du tout porno. J’aime beaucoup les hentaï que je regarde sans modération. En général je lance une recherche dans Google et hop je parcours les pages sans vraiment avoir de favoris. Mais entre mon travail, les jeux vidéo et mes diffusions… Je préfère souvent faire un petit show plutôt que de mater toute seule un hentaï.
Photos fournies par Lexi.
La sexualisation précoce, ou la "fabrique des Lolita", c'est ce déferlement de contenus sexuels dans tous les domaines de la vie de nos enfants et ce dès la pré-adolescence. Comment nous, adultes, pouvons-nous les accompagner face à ces images parfois perturbantes ? Avec Christine Laouénan, journaliste et auteure spécialisée dans les questions de l'égalité filles-garçons et nos militantEs de la délégation de Loire-Atlantique, venez participer au débat et partager vos expériences !
Infos pratiquesMercredi 9 décembre à 18h30
A l'Espace Simone de Beauvoir
15 quai Ernest Renaud à Nantes
Tram ligne 1 arrêt Gare Maritime.
Nos jeunes sont aujourd'hui exposés quotidiennement à de multiples représentations de la sexualité : séries télévisées, cinéma et publicités, réseaux sociaux (Facebook, Snapchat…). Ces représentations peuvent être oppressantes (suis-je normal-e ?, assez ou trop sexy ?) et perturber la découverte ou la construction de ses propres désirs. Pour nous parents, intervenants sociaux et éducatifs, la nouveauté de ce déferlement de contenus sexuels est une réalité à laquelle nous n'étions pas préparés. Les adolescentEs construisent leur sexualité et leur relation amoureuse dans un cadre qui n'est pas tout à fait le nôtre.
Avec Christine Laouénan, journaliste et écrivaine, spécialiste de l'adolescence et de l'égalité filles/garçons, nous vous invitons le 9 décembre 2015 à échanger sur la sexualisation précoce. Quels risques pour les adolescentEs, comment les accompagner en confiance et en respectant leur indépendance ? Quelles frontières poser entre leur « identité virtuelle » sur les réseaux sociaux et leurs sentiments bien réels ?
Échangeons à partir de nos expériences, nos difficultés et nos bonnes pratiques dans une ambiance conviviale à l'Espace Simone de Beauvoir.
Christine Laouénan est l'auteure de nombreux ouvrages sur les thèmes de la violence et de l'adolescence. Journaliste au sein d'une association de prévention de la violence, elle a recueilli au fil des années les témoignages de nombreux adolescentEs de tous âges et de tous milieux qui se sont confiés en toute liberté. Membre de l'association Alternatives Non Violentes (ANV) , elle collabore également à sa revue.
Parmi ses ouvrages, citons La santé de mon enfant, Comprendre nos ados, Jamais jaloux, vous ?, J'ose pas dire non, Les violences du quotidien, Non au racket, Quand les violences vous touchent...
Christine Laouénan collabore également à notre revue, Prostitution et Société.