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Je sais que tous les goûts sont dans la nature, qu’on dit « à chacun son fap », qu’on ne juge pas mais quand même… Aussi loin que mon imagination et mon vice peuvent aller, je n’ai jamais saisi la pratique sexuelle du sounding qui consiste à s’insérer des objets dans l’urètre (très joliment appelée « Sodurètre » en bon français). Bien que cette zone soit particulièrement sensible (pour ne pas dire extrêmement douloureuse), Wikipedia m’informe que cette pratique peut amener à l’orgasme, autant chez l’homme que la femme, mais perso elle m’amène surtout en PLS.
Moi (vision d’artiste)
La sodurètre se retrouve de temps en temps dans le porno, très peu dans le mainstream mais surtout dans la sphère BDSM amateur plus ou moins solitaire où il fait bon de s’enfoncer des objets devant son téléphone portable. C’est par exemple le cas de PaulAnnie, duo Maitre-Esclave de Caen qui a sa petite chaîne sur Xtube. Paul (l’esclave) aime faire subir à sa teub de délicates tortures, pendant qu’Annie (la maîtresse) vient lui filer un coup de pouce de temps en temps. C’est insoutenable à tous les niveaux, je vous propose donc de regarder la vidéo qui va suivre.
Les commentaires sous forme d’avatar-teub sont dithyrambiques : « so hot » ; « MErci d’avoir ajouté cette video. Le moment que je l’ai vue, j’ai mis le bout d’un pinceau dans ma queue! » ; « Makes my cock so hard every time i watch this vid. Very hot ! ».
Alors que faire… Croire les commentaires et tenter l’impossible ou laisser parler son coeur qui souffre et demande la fin immédiate de cette torture visuelle ?
Le web est une boîte de Pandore : tu y pénètres et tu ne contrôles plus ce qu’il en sort. On ne va pas s’en plaindre car chaque semaine on trouve de nouveaux gifs à tomber. D’après Shakespeare, « l’enfer est vide, tous les diables sont ici ». Maybe ouais.
Jada Stevens a deux signes distinctifs, un symbole chinois « nympho » tatoué dans le cou et un cul magnifique qui frôle l’indécence. Si le premier est hors champ, le second démontre toute sa puissance dans ce gif dégoulinant. Plus besoin de nous en convaincre : les produits laitiers sont nos amis pour la vie.
Jada Stevens – In The Crack
Quel intérêt de faire un double date si ce n’est pour finir en orgie ? Anna Polina et Lola Reve n’hésitent pas une seconde sur la suite de leur dîner. Elles prennent tout en main et les mecs n’ont qu’à suivre. De toute façon, ils ne sont là que pour elles, et nous aussi.
Lola Reve & Anna Polina – Claire la scandaleuse – Marc Dorcel
Ça faisait longtemps qu’on n’avait pas trouvé une paire de seins aussi fabuleuse. Impossible de retrouver le film exact de ce gif mais tous les films d’Hitomi Tanaka offre le même panorama : deux montagnes au début, qui se métamorphosent par la suite en tsunami. C’est fou.
Quelle souplesse, quelle grâce ! Staci Carr joue à la ballerine coquine auprès de Mick Blue pour sa première scène hétéro (chez Brazzers). Bien qu’on soupçonne la scène d’avoir été tournée en sept fois – ou en sept ans – elle n’en reste pas moins impressionnante.
Staci Carr & Mick Blues – Banging the Ballerina – Brazzers
Jasmine James semble avoir oublié une culotte ou deux au fond du tambour. Danny D vient l’aider et lui permet d’aller chercher au plus profond. Je ne savais pas que faire ses machines pouvait être aussi sexy, quelqu’un aurait l’adresse ?
Jasmine James & Danny D – Jasmine James at the Laundromat – Brazzers
À la semaine prochaine !
Image en une : Staci Carr
Lundi 20h30 au Co, un espace multiculturel insolite, se joue pour moi – et pour la quinzaine de personnes présentes – Tout Contre, une pièce de théâtre au coeur de l’intime, qui brise les codes classiques de la mise en scène. D’ailleurs, il n’y a même pas de scène…
Vous allez me dire, « Quel pléonasme ! » et bien sûr, vous avez raison. Le spectateur de théâtre est voyeuriste, c’est la base. C’est l’essence même du théâtre, du cinéma, de la téléréalité, de la presse à scandale. Nous sommes voyeurs et nous adorons ça comme le savent très bien les réalisateurs ou metteurs en scène. Sebastien Bonnabel, lui, est allé encore plus loin dans la démarche et a voulu expérimenter un concept assez novateur.
Le vrai mot pour qualifier ce type de théâtre serait plutôt le théâtre immersif ou encore théâtre interactif. L’idée ? Briser la règle du quatrième mur, le mur spectateur ou « la caméra ». La scène, c’est une salle géante, et c’est au spectateur d’être actif, et d’aller voir ce qu’il veut voir au sein des différents endroits, près des comédiens. Cumulé à l’interprétation d’une pièce type « Closer » de Patrick Marber où l’intimité des personnages est au coeur de l’intrigue, vous obtenez un spectacle où vous vous sentez VRAIMENT voyeur. Avec toute la gêne et l’excitation qui peuvent y être associées.
Concrètement, comment ça se passe ?
Des lumières s’allument et vous indiquent où va avoir lieu la prochaine scène. Au fil de vos déambulations dans la salle, on vous invite à regarder par dessus les épaules des acteurs pour lire leurs chats Facebook coquins, à vous asseoir près du lit conjugal quand les amants se livrent à des mamours, assister à la dispute de deux personnages à la table d’un café, alors que vous êtes assis à celle d’à côté.
Cela vous est certainement d’ailleurs déjà arrivé dans la vraie vie ; d’être le témoin passif et voyeuriste d’une scène qui se déroule à côté de vous, celle où l’on fait « semblant » de ne pas voir, mais que l’on suit d’une oreille distraite, ou du coin de l’oeil. Là, c’est permis, oui, oui… et c’est ça qui est bon !
Si vous avez raté le film de Mike Nichols avec Jude Law, Natalie Portman, Julia Roberts et Clive Owen, les 4 protagonistes de l’histoire ont un rapport assez singulier à leur sexualité que l’on découvre au fur et à mesure du déroulement de l’histoire : Alice s’en sert pour se faire aimer, Dan ne peut regarder une personne dans les yeux lorsqu’il fait l’amour, il idéalise ses relations, Larry consomme la sexualité pour éviter de s’impliquer et Anna a des relations sexuelles lorsqu’elle culpabilise.
Bref, Tout Contre vous fait voyager au coeur de l’intimité des acteurs. Dans leur salon, leur chambre à coucher, dans leurs conversations privées, leurs disputes, leurs failles. Vous êtes là, assis à côté, impuissant mais empathique, attendant la suite de leur histoire.
Ils ne vous connaissent pas, mais vous, vous les comprenez, vous êtes parfois à moins d’un mètre de leurs émotions.
Et sans que vous vous en rendiez compte, ils deviennent au fur et à mesure de la pièce, de très bons amis.
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Tout Contre de Sébastien Bonnabel en collaboration avec Clémence Demesme, c’est tous les lundis à 20h30 jusqu’au 7 décembre… et c’est malheureusement complet !
Oui, je sais, c’est la deuxième fois que je communique sur un spectacle où vous ne pouvez pas aller, c’est franchement pas cool…
La bonne nouvelle, c’est que Sébastien souhaite développer son concept dans une seconde pièce en poussant encore plus sa réflexion sur la sexualité et la sensualité ! Alors, on se donne rendez-vous pour la deuxième ?
Acteurs : Marie Hennerez, Barbara Le Toux, Eric Chantelauze et Philippe de Monts.
Assistant à la mise en scène : Marie Combeau
Par la Compagnie du Libre Acteur. (n’hésitez pas à vous inscrire sur leur site, ils devraient remettre le couvert en 2016).
Lundi 20h30 au Co, un espace multiculturel insolite, se joue pour moi – et pour la quinzaine de personnes présentes – Tout Contre, une pièce de théâtre au coeur de l’intime, qui brise les codes classiques de la mise en scène. D’ailleurs, il n’y a même pas de scène…
Vous allez me dire, « Quel pléonasme ! » et bien sûr, vous avez raison. Le spectateur de théâtre est voyeuriste, c’est la base. C’est l’essence même du théâtre, du cinéma, de la téléréalité, de la presse à scandale. Nous sommes voyeurs et nous adorons ça comme le savent très bien les réalisateurs ou metteurs en scène. Sebastien Bonnabel, lui, est allé encore plus loin dans la démarche et a voulu expérimenter un concept assez novateur.
Le vrai mot pour qualifier ce type de théâtre serait plutôt le théâtre immersif ou encore théâtre interactif. L’idée ? Briser la règle du quatrième mur, le mur spectateur ou « la caméra ». La scène, c’est une salle géante, et c’est au spectateur d’être actif, et d’aller voir ce qu’il veut voir au sein des différents endroits, près des comédiens. Cumulé à l’interprétation d’une pièce type « Closer » de Patrick Marber où l’intimité des personnages est au coeur de l’intrigue, vous obtenez un spectacle où vous vous sentez VRAIMENT voyeur. Avec toute la gêne et l’excitation qui peuvent y être associées.
Concrètement, comment ça se passe ?
Des lumières s’allument et vous indiquent où va avoir lieu la prochaine scène. Au fil de vos déambulations dans la salle, on vous invite à regarder par dessus les épaules des acteurs pour lire leurs chats Facebook coquins, à vous asseoir près du lit conjugal quand les amants se livrent à des mamours, assister à la dispute de deux personnages à la table d’un café, alors que vous êtes assis à celle d’à côté.
Cela vous est certainement d’ailleurs déjà arrivé dans la vraie vie ; d’être le témoin passif et voyeuriste d’une scène qui se déroule à côté de vous, celle où l’on fait « semblant » de ne pas voir, mais que l’on suit d’une oreille distraite, ou du coin de l’oeil. Là, c’est permis, oui, oui… et c’est ça qui est bon !
Si vous avez raté le film de Mike Nichols avec Jude Law, Natalie Portman, Julia Roberts et Clive Owen, les 4 protagonistes de l’histoire ont un rapport assez singulier à leur sexualité que l’on découvre au fur et à mesure du déroulement de l’histoire : Alice s’en sert pour se faire aimer, Dan ne peut regarder une personne dans les yeux lorsqu’il fait l’amour, il idéalise ses relations, Larry consomme la sexualité pour éviter de s’impliquer et Anna a des relations sexuelles lorsqu’elle culpabilise.
Bref, Tout Contre vous fait voyager au coeur de l’intimité des acteurs. Dans leur salon, leur chambre à coucher, dans leurs conversations privées, leurs disputes, leurs failles. Vous êtes là, assis à côté, impuissant mais empathique, attendant la suite de leur histoire.
Ils ne vous connaissent pas, mais vous, vous les comprenez, vous êtes parfois à moins d’un mètre de leurs émotions.
Et sans que vous vous en rendiez compte, ils deviennent au fur et à mesure de la pièce, de très bons amis.
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Tout Contre de Sébastien Bonnabel en collaboration avec Clémence Demesme, c’est tous les lundis à 20h30 jusqu’au 7 décembre… et c’est malheureusement complet !
Oui, je sais, c’est la deuxième fois que je communique sur un spectacle où vous ne pouvez pas aller, c’est franchement pas cool…
La bonne nouvelle, c’est que Sébastien souhaite développer son concept dans une seconde pièce en poussant encore plus sa réflexion sur la sexualité et la sensualité ! Alors, on se donne rendez-vous pour la deuxième ?
Acteurs : Marie Hennerez, Barbara Le Toux, Eric Chantelauze et Philippe de Monts.
Assistant à la mise en scène : Marie Combeau
Par la Compagnie du Libre Acteur. (n’hésitez pas à vous inscrire sur leur site, ils devraient remettre le couvert en 2016).
* Kinsley Eden, Ryan D. – Infatuated
* Larkin Love, Will Powers – Rockabilly Pin-Up (video)
* Joanna Angel, Mark Wood – A very adult Wednesday Addams (video)
* Rizzo Ford, Mr. Pete – Street Punxxx (video)
* Erato, Martin B. – Aregli
* Bran, Leda – Serata
* Gina, Kristof, Jayden – Cocktails for Three (sweet boy-boy-girl scene)
* Apolonia, Carolina, Sean – La Masturbadora (gallery)
* Josephine, Den – Hot TV Night (gallery)
* Robert Axel, Aubrey Kate – Aubrey Kate’s TS Fantasies (video)
* Lance Hart, Sunday Valentina – Aubrey Kate’s TS Fantasies (video)
Find more Eye Candy here.
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Les autorités de Briansk, une ville au sud-ouest de Moscou, doivent se mordre les doigts d’avoir installé, mardi dernier, une nouvelle sculpture sur une place du centre-ville, le square Slavianskaya. La pièce, qui représente deux dauphins en béton doré qui échangent un délicat baiser, a provoqué une lame de fond sur les réseaux sociaux.
La sculpture a inspiré de nombreux internautes adeptes de Photoshop sur le réseau VKontakte (cliquer pour agrandir).
Il faut dire que l’œuvre du duo Janna Antropova et Alexeï Semutkin, passablement kitsch, se prête aux moqueries et les détournements les plus divers. Mais elle a aussi déclenché la colère d’internautes qui l’ont identifié à de la «propagande LGBT», illégale selon la législation russe.Vote trafiqué
La municipalité s’est empressée d’organiser une consultation sur le site officiel de l’administration du district. Deuxième mauvaise idée: le système de vote a été hacké. En quelques minutes, 2500 voix s’étaient ajoutées pour enlever la sculpture, «porteuse de valeurs culturelles douteuses», selon la presse locale. En attendant de savoir quoi faire de ses dauphins, la ville les a placés sous protection policière.
Dans le domaine des wands, la référence jusqu’à maintenant est l’Europe Magic Wand (en tout cas pour moi). Les Wands sont à l’origine des vibromasseurs de massage (dos, jambes, etc…) qui se branchent (la plupart du temps) sur une prise électrique et qui sont extrêmement puissants. Elles donnent donc des orgasmes ravageurs lorsqu’elles sont utilisées…
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L’initiative «Non à la pénalisation du mariage» n’a pas fini de semer la pagaille dans les rangs du Parti démocrate-chrétien (PDC), tiraillé entre ses courants catholiques et sociaux. Cette semaine, ce sont les Jeunes démocrates-chrétiens du canton de Zurich qui ont appelé à rejeter purement et simplement l’initiative de leur formation-mère.
La modification de la Constitution soumise aux électeurs le 28 février prochain prétend défendre un régime fiscal plus favorable aux couples mariés. Or ce texte contient aussi une définition du mariage comme «l’union durable et réglementée par la loi d’un homme et d’une femme». Pour les associations LGBT, il s’agit ni plus ni moins que d’une manœuvre de l’aile conservatrice du PDC visant à empêcher une future ouverture du mariage aux couples de même sexe.
Autosabordage
C’est aussi l’avis des jeunes militants du PDC zurichois, pour qui le parti national «a lui-même torpillé son initiative avec une formulation aussi malheureuse», peut-on lire dans leur communiqué du 5 novembre. Il n’est pas dans la mission du PDC, rappellent-ils, de «placer des embûches sur la voie de la communauté LGBT vers l’égalité».