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Bonjour cher Docteur, je me nomme Aymeric, j’ai 36 ans et je suis irrésistiblement attiré par les pieds de femmes chaussés de hauts talons. Je suis fou des stylettos et j’avoue que les chaussures à semelles rouges me font tourner la tête. Il m’arrive de suivre des femmes dans la rue en fixant leurs chaussures, sans savoir à quoi elles ressemblent physiquement. Plus ça va, plus je m’enfonce dans ce fantasme, où je ferais l’amour en me frottant sur les pieds chaussés d’une femme sans m’occuper du reste. J’ai conscience que plus ça va, moins ça va, mais je n’arrive pas à décrocher. Comment pourrais-je me soigner ?
La réponse de notre sexologue :Avoir des fantasmes n’est pas une maladie ! Et s’il ne s’agit que de cela il n’y a aucune raison de se soigner. Les raisons qui justifieraient d’entreprendre une démarche thérapeutique sont de deux ordres. Il peut arriver que le fantasme devienne obligatoire, c’est-à-dire qu’il ne soit pas possible d’avoir une relation sexuelle en dehors, ou bien que le fantasme vous pousse à des actions répréhensibles exposant à des poursuites judiciaires.
D’après ce que vous décrivez il semblerait que vous arriviez à suivre les femmes portant le style de...Lire la suite sur Union
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« Bonjour docteur, moi c’est Zoé, 24 ans. Je suis en couple, même si nous ne vivons pas ensemble. Mais j’estime que les vacances sont faites pour faire des rencontres et s’éclater sexuellement. Depuis que j’ai 18 ans je pars seule pour en profiter. Est-ce que cela fait, pour autant, de moi une femme infidèle à mon compagnon ? »
La réponse de notre sexologue :C’est un problème délicat. Vous considérez que vous formez un couple, mais ne vivez pas ensemble et, si je comprends bien, n’êtes ni mariés, ni pacsés. Dans ce cas, la notion de fidélité au sein du couple repose uniquement sur des valeurs morales et relationnelles. La bonne question à vous poser pour savoir si vous êtes infidèle à votre compagnon c’est de vous demander ce qu’il en penserait, au cas où il viendrait à découvrir ce que vous faites pendant vos vacances. Pensez-vous qu’il considère que vous avez toute liberté pendant
ces périodes-là ? Je n’en suis pas sûre, et d’ailleurs je pense que c’est un sujet dont vous vous gardez bien de parler avec lui. Sur le plan moral, la notion de tromperie intervient à partir du moment où ce que l’on fait doit se faire en cachette de l’autre pour ne pas le blesser ou le décevoir. Certains couples admettent la liberté sexuelle...Lire la suite sur Union
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Les œuvres incomprises des artistes que j’aime, celles qui sont injustement résumées comme étant des échecs commerciaux sont souvent mes préférées. Je ne choisis pas. Quand Madonna sort Erotica en […]
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En mémoire à Emmanuelle Badibanga, décédée le 27 avril 2021 aux Seychelles, Nassima Reutlinger réalisera une performance lors de son exposition. La gérante de l’espace culturel, La Passerelle, à Nice était pour Nassima Reutlinger un exemple de combativité et de joie. Partageant toutes deux une même passion pour l’art et le dessin d’après modèle, elle […]
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Le proposition de loi constitutionnelle, suggérée par la NUPES puis déposée par la majorité parlementaire, souhaite inscrire dans la Constitution l’impossibilité de priver une personne du droit à l’interruption volontaire de grossesse (IVG).
Cette proposition avait déjà été faite en 2018 par La France Insoumise puis en 2019 par le PS, sans succès, les autres membres de l’Assemblée nationale l’estimant inutile en l’état de notre droit.
Or, au regard de la décision américaine, mais également des résultats des législatives, cette proposition revient aujourd’hui sur le devant de la scène.
Il est évident que le fait que le Rassemblement National ait atteint le score historique de 89 député·es ne peut qu’inquiéter. Et ce d’autant plus quand on sait que Marine Le Pen proposait il y a quelques années de dérembourser l’IVG pour éviter ce qu’elle appelait les « avortements de confort », ou quand l’année dernière les députés RN au Parlement européen ont voté contre une résolution visant à « garantir l’accès universel à un avortement sûr et légal ». Constitutionnaliser le droit à l’IVG permettrait donc en effet de le sécuriser, en évitant qu’il soit touché un jour par un Parlement à majorité ultra-conservatrice.
Un effet d’annonce ?
Néanmoins, la constitutionnalisation de ce droit ne sera jamais une totale protection puisque, même s’il n’était pas possible de le supprimer, il serait toujours possible de modifier la loi Veil et de réduire, par exemple, le délai légal à une ou deux semaines de grossesse, et ce sans que cela ne soit anticonstitutionnel, puisque le droit à l’avortement serait maintenu bien que vidé de sa substance.
Ainsi, cette proposition que la majorité s’est empressée de déposer a un mauvais goût d’effet d’annonce, au détriment des actions de terrain. On rappellera à ce titre que le Planning Familial dénonce régulièrement la baisse de ses subventions. On déplorera également que toutes les formes de contraception ne soient pas remboursées : aujourd’hui, seules certaines d’entre elles sont prises en charge et uniquement pour les femmes de moins de 26 ans. Aucune contraception masculine n’est remboursée, ce qui est tout bonnement aberrant et rend les femmes seules responsables de la contraception, alors même qu’un homme est fertile 365 jours par an quand une femme l’est 40 à 80…
Nous en concluons que la constitutionnalisation du droit à l’avortement, c’est bien, mais que mettre des moyens financiers et médicaux pour garantir au quotidien les droits des femmes à disposer de leur corps, c’est mieux !
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