Si petit et si grand que je me sens un géant, ce n’est pas le con d’Irène mais celui de …
Si petit et si grand royaume que je parcours tel le roi soleil triomphant de je ne sais quelle bataille homérique.
Il m’aspire et m’inspire, il m’avale, me gobe, me retient, pleur de me perdre, ri de me retrouver.
Con cédant à mes assauts, con jurant de continuer, confus de mes ruses pour le rendre fou.
Ce con est plus grand que l’univers, c’est mon ciel et ma terre tremblant de l’eau et du feu de ma crémation, incendie de sens.
Ce con est si petit et me rend si grand que ses cris me louangent, m’encouragent, me décuplent.
Si petit et si grand que ce n’est plus une mouille mais un déluge qui noie l’ivresse de nos orgasmes simultanés.
Repus, vidé, je suis désormais trop petit dans ce con devenu si grand.