34739 éléments (3198 non lus) dans 75 canaux
“Michelle is just one of dozens of women who use Patreon to sell nude photos, videos, and other prizes to willing — and paying — fans. As a full-time Patreon creator, she’s on the more successful end of erotic content makers. Some of her contemporaries see Patreon as a side-hustle on the way to more lucrative gigs; others want to go full time, but haven’t quite figured out how. There’s no set career path here, but for these women, those paths all converge on Patreon.”
* The women who sell nudes on Patreon (Verge)
“First of all there are no studies. Yes, I looked. As far as medical products go “beta-testing” appears to be snake oil Parseltongue for send-us-your-cash-we-have-done-absofuckinlutely-no work-on-this-what-so-ever-but-it-seemed-like-a-good-idea-at-3 a.m. Ethical researchers do not release “beta” products they complete Phase 1 studies and then recruit for Phase 2 studies. … I may just be a rural OB/GYN but I am pretty sure the words ejaculation, penis, and barotrauma are not reassuring when used together.”
* Guys don’t tape your penis shut instead of using a condom (drjengunter.wordpress.com)
“Among other things, Stephens-Davidowitz’s data suggests that there are more gay men in the closet than we think; that many men prefer overweight women to skinny women but are afraid to act on it; that married women are disproportionately worried their husband is gay; that a lot of straight women watch lesbian porn; and that porn featuring violence against women is more popular among women than men.”
* Proof that Americans are lying about their sexual desires (Vox)
“PornHub’s success helped Manwin build a near-monopoly, as it gobbled up rivals such as RedTube and YouPorn. It also ruined the livelihoods of the actors and filmmakers who found their work had been stolen, and that inequality rankled with Ronson. “A porn performer finds it really hard to even to get a current account at the bank, because they’re deemed disreputable,” he says. “Whereas Fabian – who wanted to build an empire based in part on the handling of those people’s stolen porn – because he wasn’t a porn performer but a male tech entrepreneur, he got a $362 million loan.””
* Jon Ronson interview: ‘There’s this really sweet and adorable world of bespoke porn’ (Telegraph)
“The Free Speech Coalition today released a new video in which adult star Anikka Albrite explains how the Netflix docuseries “Hot Girls Wanted: Turned On” compromised performer safety and privacy.”
* Video: Anikka Albrite Explains Concerns With {Netflix’s] ‘Hot Girls Wanted’ (XBIZ)
“New technologies are cropping up in the field of contraception, including hormone-releasing microchips, revamped condom designs, and low-cost, long-lasting male birth control injections … The good news is that increasing choice for all women appears to be at the center of many of those innovations.”
* 5 Contraceptives Scientists Are Developing Right Now, & These Upgrades Are Way Overdue (Romper)
“People often jump to the conclusion that passionate, rougher sex in porn is inherently violent, or that certain activities are portrayed in dirty videos only because men like to watch them. For many of these acts, it’s assumed that no real woman actually enjoys them, and that any woman who says she does is probably just posturing to show how down she is—again, for the benefit of men. Unfortunately, this puts women who genuinely do enjoy certain moves in a bit of an awkward situation.”
* No, You’re Not a Bad Feminist for Liking ‘Porny’ Sex Acts (Glamour)
SF-based porn studio Naked Sword has picked up an indie film that has received over two dozen awards at film festivals around the world. “The short centers around a middle-aged disabled gay man named Billy who suffers from arthrogryposis multiplex congenita which makes everyday tasks impossible without the help of a caregiver. Because of his disability Billy feels alone in the world and yearns for intimacy and a sexual connection in a world that would rather ignore him.”
* NSFW Indie Short ‘HOLE’ Gives Voice to Disabled, Tackles Sexual Issues (XBIZ)
Main post image via the fascinating gallery at Under the Covers at Taiwan’s Tacky ‘Love Motels’ (Topic)
The post Sunday Sex Reads: Best of the Week appeared first on Violet Blue ® | Open Source Sex.
Cet article du Tag Parfait est réservé uniquement aux visiteurs ayant souscrit à un abonnement Patreon et il est protégé par un mot de passe.
Pour le lire, veuillez saisir ci-dessous le mot de passe que vous avez reçu par e-mail ou dans votre messagerie Patreon :
Mot de passe :
Alors que nous nous enfonçons au coeur de l’été et que les bureaux se vident comment les cocktails près de la plage, les gifs continuent inlassablement à tourner sur cette page à l’infini. Pas de pause pour la rubrique du dimanche qui continuera tout l’été. Au menu, des teubs, des culs et des balls, histoire de ne pas changer.
Mia Rand s’occupe comme elle peut pendant les vacances. Là par exemple elle suce et se fait prendre par des Meeseeks. Les vrais auront reconnu la référence à un épisode de Rick and Morty, les autres auront fait comme moi, ils seront restés à regarder ce gif pendant 3h en s’imaginant être le troisième larron de cette joyeuse bande de Schtroumpfs.
Mia Rand – Meeseeks preview
Je suis tombé par hasard sur la chaîne de Desire SFM qui fait comme son nom l’indique dans le SFM porn… Je suis resté hypnotisé par la taille impressionnante des couilles du gars. Imaginez-vous les prendre à deux mains ? Ça a l’air fou, un peu comme si vous aviez des bijoux de taureau entre les jambes. Je vous raconte pas le manspreading dans le métro avec ça…
DesireSFM a une chaîne sur Pornhub
Voici le boule d’Ashley Alban, que dire de plus ? Pas grand chose, si ce n’est que sa chaîne gratuite est une petite merveille où elle n’hésite pas à poster sa série Ass Shaking qui comme son nom l’indique mixe généreusement twerking, teasing et porno. Du grand spectacle.
Ashley Alban – Ass Shaking XII
Une teub c’est comme une grosse glace, faut bien lécher jusqu’au bout sinon ça coule partout.
Isis Love & Isiah Maxwell – Blacked
Vous êtes certainement en train de regarder ces gifs depuis votre transat avant d’attaquer une solide séance de grillage sur la plage. Pour vous rafraîchir, vous êtes tenté d’aller dans l’eau. Si l’envie vous prend de vous faire sucer et de nourrir les poissons par la même occasion, voilà à quoi ressemblera un potentiel cum shot sous-marin : un bon gros bordel. N’allez pas vous noyer pour ça, restez donc sur la terre ferme.
This must be underwater love…
Image en une : Chaîne Youtube gaming de Mia Rand
Noir sanctuaire fait suite à Mortel sabbat des mêmes auteurs. Depuis la disparition de son protecteur, l’agent du FBI Aloysius Pendergast, Constance Greene s’est retirée dans les souterrains de leur manoir new-yorkais. Alors que tout le monde le croyait mort, le frère de Pendergast réapparaît et enlève Constance. Proctor, le majordome de Pendergast, se lance à leur poursuite jusqu’en Afrique. Mais Constance est-elle réellement là-bas ?
Avec Noir sanctuaire, Preston & Child n’en sont pas à leur coup d’essai. Ce roman est le seizième mettant en scène l’inspecteur Aloysius Pendergast. Mais c’est le premier à laisser autant de place au majordome. Ainsi, avec ce thriller, les deux auteurs nous embarquent à nouveau dans une aventure digne de Jules Vernes.
L’imagination prolifique de Preston & Child pourrait paraître loufoque si elle n’était étayée par de réelles connaissances scientifiques. Si le lecteur devine rapidement qui est le coupable, l’intrigue laisse la part belle à de multiples rebondissements. Etre tenu en haleine, n’est-ce pas ce que demande tout passionné de thriller ?
A noter : par certains côtés – intelligence hors norme, humour désenchanté et éducation désuète, les personnages de Preston & Child renvoient un peu à ceux de la série Sherlock.
Extrait (p.15 à p. 18)
Proctor sortit lentement de l’abîme dans lequel il s’était enfoncé et reprit progressivement connaissance. Cette remontée interminable lui fit l’effet d’une éternité. Cette remontée interminable lui fit l’effet d’une éternité. Enfin, il ouvrit les yeux. Ses paupières étaient en plomb et il dut lutter pour ne pas les laisser retomber. Que s’était-il passé ? Il resta un temps allongé sur le sol en balayant du regard le décor de la pièce. Il reconnut son salon privé.
Bien des tâches m’attendent…
Soudain, tout lui revint en un éclair. Il tenta douloureusement de se relever, en vain, rassembla ses forces et réussit cette fois à se mettre en position assise. Il se sentait aussi pesant qu’un sac de farine.
Il consulta sa montre. 11h15. Son évanouissement n’avait duré qu’une demi-heure.
Une demi-heure. Dieu seul savait ce qu’il avait pu advenir dans l’intervalle.
Bien des tâches m’attendent…
Au prix d’un effort héroïque, Proctor se releva en titubant. La pièce se mit à tourner autour de lui et il s’appuya contre une table en secouant violemment la tête, dans l’espoir de s’éclaircir les idées. Il demeura immobile quelques instants, le temps de reprendre des forces, puis il ouvrit le tiroir de la table et en tira un Glock 22 qu’il glissa dans sa ceinture.
La porte de l’appartement était ouverte, laissant entrevoir le couloir qui donnait sur les chambres du personnel. Il s’arrêta sur le seuil, s’appuya contre le chambranle, et s’avança de la démarche mal assurée d’un homme ivre. Parvenu en haut de l’étroit escalier de service, il s’agrippa à la rampe et descendit péniblement jusqu’au rez-de-chaussée. Cet effort tout comme le sentiment de danger qui l’étreignait contribuèrent à aiguiser ses sens. Il remonta un corridor et poussa la porte conduisant aux parties communes de la vieille demeure.
Là, il marqua une pause. Il s’apprêtait à appeler Mme Trask lorsqu’il se reprit. Signaler sa présence de la sorte n’était pas souhaitable. En outre, Mme Trask était probablement déjà partie pour Albany, au chevet de sa sœur malade. Quoi qu’il en soit, ce n’était pas elle qui courait le plus grand danger, mais Constance.
Proctor traversa le vestibule dallé de marbre en direction de la bibliothèque, avec l’intention d’emprunter l’ascenseur permettant d’accéder au sous-sol afin d’assurer la protection de Constance. Il se figea à l’entrée de la pièce en constatant qu’une table avait été retournée, les ouvrages et les documents qui s’y trouvaient éparpillés sur la moquette.
Il évalua la situation d’un rapide coup d’œil. A sa droite, le salon de réception, ses vitrines remplies d’objets insolites, était sens dessus dessous. Le socle sur lequel était posée une ancienne urne funéraire étrusque avait été renversé, l’urne en miettes par terre. L’énorme vase qui trônait en temps ordinaire au centre du vestibule, rempli de fleurs coupées que Mme Trask renouvelait quotidiennement, gisait en mille morceaux sur les dalles de marbre, ses deux douzaines de roses et de lis dispersées au milieu d’une flaque d’eau. A l’autre extrémité du hall, l’une des portes du placard, grande ouverte, était à moitié arrachée de ses gonds, comme si quelqu’un s’y était raccroché alors qu’on l’emmenait de force.
Tout indiquait qu’une lutte terrible s’était déroulée là. Une lutte conduisant de la bibliothèque à la porte d’entrée. Et au monde extérieur.
Proctor traversa précipitamment le vestibule et s’aventura dans la pièce voisine. Sur l’immense table de réfectoire, qui servait jusqu’à récemment aux recherches que consacrait Constance à l’histoire familiale des Pendergast, régnait un désordre indescriptible. Livres et papiers avaient volé dans tous les sens, l’ordinateur était renversé, les chaises pattes en l’air.
Horrifié par ce qu’il découvrait, Proctor perçut alors, venant du dehors, des cris féminins étouffés.
Oubliant son vertige, il se rua, le Glock au poing. Il franchit à toute allure le passage voûté menant au vestibule, écarta la porte d’entrée d’un coup de pied et s’immobilisa sous le porche.
Un Lincoln Navigator aux vitres teintées, moteur au ralenti, stationnait sur l’allée traversant la propriété, le capot tourné vers Riverside Drive. Près de la portière arrière ouverte, il découvrit la silhouette de Constance Green, les poignets entravés dans le dos. Elle se débattait avec l’énergie du désespoir. Elle lui tournait le dos, mais il reconnut sans peine sa coupe au carré et son imperméable Burberry vert olive. Un homme, également de dos, la poussa sans ménagement sur la banquette arrière avant de claquer la portière.
Proctor leva le canon de son arme et fit feu, mais l’homme bondit au-dessus du capot de la voiture et s’engouffra à la place du conducteur sans être touché. La balle suivant ricocha contre les vitres blindées, l’auto démarra sur les chapeaux de roue et s’engagea à toute allure sur Riverside Drive avant de disparaître dans le grondement de son moteur. Proctor eut tout juste le temps de voir la silhouette de Constance se démener à travers la vitre arrière.
Avant de sauter derrière le volant, l’agresseur de Constance s’était retourné le temps d’un éclair. Ces traits fins et marquées, ces yeux de deux couleurs, cette barbe courte, ces cheveux d’un brun tirant sur le roux, ce regard d’une cruauté froide… Le doute n’était pas permis, il s’agissait bien de Diogène, le frère de Pendergast dont il était l’ennemi le plus implacable. Diogène que tout le monde croyait mort, tuée par Constance trois ans auparavant.
Et voilà qu’il refaisait surface, en enlevant Constance.
Diogène affichait une expression si féroce, un air triomphal si terrible que Proctor, en dépit de tout son stoïcisme, en resta un instant désarçonné. Son trouble dura l’espace d’une seconde. Repoussant sa peur, il se lança à la poursuite du 4×4 au pas de course avant de franchir d’un bond la haie de la propriété.
Noir sanctuaire, Preston & Child, éditions l’Archipel 440 pages 24 €
Traduit de l’américain par Sébastien Danchin
L’article NOIR SANCTUAIRE de PRESTON & CHILD est apparu en premier sur Impudique Magazine.
Dans ses Mémoires, Clara Malraux (1897-1982) a longuement raconté ce que furent ses rapports avec son mari, André. Son témoignage est émouvant.
- Créatrices