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Toujours bien confiné, le Tag ne perd pas le fap et les gestes barrières de vue. Cette semaine encore, quelques conseils pas franchement avisés pour passer une quarantaine sereine.
Une maison bien ordonnée apaise l’esprit, me disait ta daronne avant les mesures du gouvernement. Elle avait raison. Alors, on range, on nettoie partout et pensez bien à la moisissure sur les joints de la salle de bain. Ce truc est vraiment une plaie à enlever. Mais si votre douche est assez grande, vous allez pouvoir vous y mettre à deux, c’est plus rapide. Kendra Sunderland (de retour cette semaine encore) s’occupe de nettoyer le calcaire de la vitre.
Évitez de laisser traîner du linge sale à travers tout l’appart. Un peu d’ordre, que diantre ! Ne vous laissez pas aller ! Josephine Jackson se montre plutôt pointilleuse sur la propreté de sa machine. En effet, il faut nettoyer le tambour régulièrement pour enlever la crasse et le joint de la porte. Chapeau Jo, tu penses à tout (même à la Fake Hostel) !
L’utilisation des gants reste un souci pendant cette crise sanitaire. Nous voyons trop souvent des personnes les utilisant mal. Ils sont à usage unique déjà, c’est une première chose à respecter. Deuxièmement, si vous touchez une surface, puis une autre, vous avez tout contaminé. Il va falloir bien savonner les fesses et les seins de Skylar Vox après cette séance de Filthy POV (un des studios disponibles sur Adult Time).
Pour les personnes confinées avec leurs parents, bon courage, tout d’abord. Ensuite, quand vous céderez à vos pulsions et que vous sauterez sur votre demi-frère ou demi-sœur, c’est inévitable si l’on en croit le porno ces dernières années, soyez discret·ète ! Pas de bruit et cachez-vous un peu mieux que Kendall Woods et Jax Slayher.
Vous vous souvenez de l’époque où on sortait dans des bars ou des pubs ? Ces endroits où l’on servait de l’alcool, on y allait entre ami·e·s pour passer un bon moment, rire, partager, se raconter les dernières nouvelles, à évoquer notre scène préférée de Public Disgrace. On discutait, c’était le bon vieux temps !
Encore un effort, on va y arriver et on pourra bientôt aller acheter du pain sans craindre une amende.
Je m'attendais à mieux de la part du Devoir qu'un mauvais reportage sur la détresse des acheteurs de la prostitution et les astuces « innovantes » d'un groupe qui maintient des femmes dans l'exploitation sexuelle. Mais c'est bien ce à quoi ressemble l'article de Jessica Nadeau, « L'industrie du sexe ne s'arrête pas ».
- Prostitution, pornographie, traite des femmes et des enfants, industries du sexe