La Semaine de la rose blanche, à la fois une commémoration de la tuerie de l'école Polytechnique et une campagne de financement pour éveiller l'intérêt scientifique des jeunes filles, bat son plein.
- Polytechnique, 6 décembre 198934739 éléments (3198 non lus) dans 75 canaux
La Semaine de la rose blanche, à la fois une commémoration de la tuerie de l'école Polytechnique et une campagne de financement pour éveiller l'intérêt scientifique des jeunes filles, bat son plein.
- Polytechnique, 6 décembre 1989A l’occasion de la cérémonie annuelle d’awards du porno gay de Pinkx et de la projection à Paris du film It Is Not the Pornographer That Is Perverse de Cockyboys, j’ai eu la chance de rencontrer l’acteur Allen King, l’une des plus grandes stars du label new yorkais… et un de mes passifs préférés.
Je le retrouve dans un grand appartement du 2ème arrondissement où il vit pour quelques jours en colocation avec toute l’équipe Cockyboys. Il arrive avec un sourire rayonnant, tout beau et s’excusant d’avance pour son anglais qu’il ne trouve pas très au point (mais il s’en sort très bien). Un moment hors du temps avec un garçon trop charmant qui sait qui il est, assume fièrement ses envies et vit sa vie à 200%.
Pour commencer, peux-tu revenir sur tes débuts dans le porno gay ? Comment t’es venue l’idée de te lancer dans le x ?
Je suis né à Bilbao, au Pays Basque et je vis à Madrid depuis 5 ans. La première fois que j’ai pensé à devenir acteur porno, c’était quand j’étais ado. Ça me faisait fantasmer comme beaucoup de monde je pense. Ça s’est précisé dans ma tête quand je suis arrivé à mes 17-18 ans. Je me suis dit que j’en avais vraiment envie et que ça n’était pas une lubie. C’est un monde qui m’attirait et j’avais envie de me donner les moyens d’y faire une carrière. Après quelques petits boulots, j’ai tourné ma première scène vers mes 23 ans avec Lucio Saints qui avait alors fondé son propre label. J’ai ensuite tourné pour Tim Tales et pour MEN qui vient souvent tourner en Espagne. J’ai aussi fait quelques tournages au Royaume-Uni.
Et puis tu es devenu un modèle exclusif pour Cockyboys…
Jake Jaxson, le réalisateur du studio, m’a repéré alors que je venais de remporter un award. Il m’a proposé de devenir un de ses modèles exclusifs et j’ai bien sûr accepté ! J’avais du mal à réaliser la chose. C’est un des meilleurs studios au monde ! Ils travaillent vraiment leurs vidéos, c’est esthétique, les modèles sont super beaux et puis le côté américain me faisait rêver aussi. Cela fait maintenant plusieurs années que je tourne pour eux et je suis juste super heureux. Je prends beaucoup de plaisir à tourner les scènes de sexe mais aussi les parties non sexuelles. On s’amuse tellement à les faire, c’est très créatif.
Cockyboys m’a apporté une énorme visibilité. Avant de collaborer avec eux parfois des mecs me reconnaissaient à Madrid. Maintenant c’est un truc de fou : on me reconnait quasiment partout dans les lieux gays et pas seulement, que ce soit quand je voyage à Jersey, en Europe, au Mexique…
Du coup, étant basé à Madrid tu voyages beaucoup ?
Je tourne aux Etats-Unis avec eux mais seulement l’été ! Ils savent que j’ai horreur du froid et aller à New York en hiver c’est au-delà de mes forces (rires). Mais Cockyboys tourne en fait un peu partout à travers le monde (j’ai tourné avec eux à Londres, au Mexique, en Espagne, maintenant à Paris) donc on arrive toujours à s’arranger pour les tournages de fin d’année. Et je ne vais pas mentir : mise à part la question de la chaleur qui me tient à coeur, j’adore les voyages.
Tu es à Paris pour présenter le film It Is Not the Pornographer That Is Perverse produit par Cockyboys et réalisé par Bruce LaBruce. C’est un réalisateur culte. C’était comment de tourner avec lui ?
Ce film a été une superbe expérience, une des meilleures de ma vie. C’était un vrai tournage de film avec toute une équipe technique et je ne suis pas habitué à ça. Quand Jake Jaxson fait ses films, il n’y a que lui et RJ Sebastian. Ils font tout à deux. Là, il y avait une quinzaine de personnes, une maquilleuse, des costumiers… Je me sentais comme une star de cinéma. Ca a été un tournage de quelques jours, intense et génial. Bruce La Bruce est un super réalisateur qui sait parfaitement ce qu’il veut et qui donne des indications très précises.
C’était un tournage très particulier car on a notamment fait des scènes dans un cimetière où je devais être très provocant et me branler ! J’y montre un autre visage de moi-même plus pervers, dominant et agressif. C’était intéressant à jouer.
On te connait justement, même si tu es versatile, avant tout comme un Power Bottom…
J’ai commencé ma carrière en faisant pas mal de scènes en tant que passif et du coup on a tendance à plus me proposer des scènes dans cette position. Dans ma vie sexuelle en dehors des plateaux je suis totalement versatile !
J’aime bien la soumission mais j’avoue avoir aussi un petit faible pour le contrôle. Quand je couche avec un mec, je veux le rendre dingue ! Je le regarde droit dans les yeux, je lui souris et lui montre que j’aime ce qu’il me fait, je lui parle pendant le sexe en lui en réclamant plus… Je suis quelqu’un d’assez joueur, oui.
Et après plusieurs années dirais-tu que tu prends toujours autant de plaisir ?
Tu sais, bien sûr le porno apporte de l’argent et une forme de célébrité mais si je suis devenu acteur porno c’est avant tout parce que j’aime le cul ! Et je pense que les gens m’aiment bien pour ça : ils sentent que quand je tourne une scène je m’éclate et je donne tout, comme si je baisais avec quelqu’un dans la vraie vie. J’adore ce que je fais, tout simplement.
J’ai un contrat assez avantageux qui me permet de voyager et de vivre en tournant 12 scènes par an. Le reste du temps je développe mon côté créatif ou je travaille pour des soirées gays. Et je dois dire que les fans de Cockyboys sont vraiment géniaux. Ils sont hyper respectueux et nous donnent beaucoup d’amour.
J’ai cru comprendre que tu avais notamment beaucoup de fans latinos ?
Oui ! J’ai beaucoup de fans en Espagne, au Mexique, en Colombie… Ce sont mes chouchous ! Quand on a tourné au Mexique, l’accueil était hallucinant. Les mecs me prenaient dans les bras pour me dire qu’ils m’aimaient, certains se mettaient à pleurer : c’était dingue. J’aime mes fans latinos car ils sont plus expressifs que les autres qui ont tendance à être plus timides.
Mais je suppose que tout n’est pas toujours rose non plus ?
Bien sûr parfois il peut y avoir de la fatigue. Si vraiment je devais trouver un bémol, je dirais que ce qui me plait le moins c’est quand je tombe sur un partenaire avec qui il n’y a pas de feeling.
Chez Cockyboys, on choisit avec qui on veut tourner mais il peut toujours y avoir des loupés. Parfois c’est comme ça, le courant ne passe pas… et c’est la galère (rires). Surtout que quand on tourne une vidéo Cockyboys, il n’y a pas que le sexe, il y a tous les moments de vie autour qui sont filmés. Dans ces cas-là, il faut y mettre du sien quand tu tombes par exemple sur une diva. Même si je pense dans ma tête « Oh Mon Dieu ce que tu es lourd, je te déteste ! », je vais faire en sorte que tout se passe bien, être sympa, comme ça on bouclera la scène et on y passera pas des heures. Mais je te rassure ça arrive très rarement.
Cockyboys sublime beaucoup ses modèles. Vous êtes tous magnifiques, avec des corps de rêve. Je suppose que ça demande un véritable entraînement sportif ?
Je vais t’avouer un truc : je suis loin d’être aussi sportif que ce qu’on pense. En fait, j’ai juste une chance de malade. Mes potes me détestent car ils font attention à ce qu’ils mangent, ils vont plusieurs fois par semaine au sport etc. et moi je ne prends pas de poids même si je mange des burgers et des pizzas et que je vais juste une fois par semaine au sport histoire de.
Je ne suis pas obsédé par mon corps, je m’aime bien comme je suis, que je sois avec ou sans muscles. Après, forcément, si j’ai une scène à tourner je vais aller pas mal au sport avant histoire d’apparaître au top à l’image.
Et quand tu ne tournes pas que fais-tu ?
Je pense être un garçon assez ordinaire. Quand je ne tourne pas, j’aime passer du temps avec ma famille ou mes amis, qui comptent beaucoup pour moi. Je suis assez fêtard aussi. Je ne suis pas du tout quelqu’un de solitaire, j’aime être entouré.
Et avec les garçons en dehors des tournages, ça se passe comment ?
Je n’ai pas trop de problèmes pour faire des rencontres. Certains garçons ont parfois un à priori en raison du porno mais en traînant un peu avec moi ils se rendent compte que je suis tout à fait normal. Ceci étant dit, j’avoue que pour le moment j’aime bien être célibataire. Je voyage beaucoup pour Cockyboys et mes soirées et ça n’est pas évident de se poser et se consacrer à quelqu’un.
Pour ce qui est du sexe à proprement parler, parfois je rencontre des mecs qui n’arrivent pas à bander face à moi parce qu’ils se mettent trop la pression. Ils ont peur de moi, de ne pas être à la hauteur. Ils sont obsédés par l’idée d’être au niveau des mecs avec qui ils m’ont vu dans des scènes. Les fans surtout finissent souvent tétanisés, gênés. Ils me disent « Je m’en veux tellement de ne pas bander, j’aime tellement tes vidéos, je t’aime tellement et là je n’y arrive pas ». J’essaie de les rassurer mais ça ne marche pas toujours et c’est dommage (rires).
Souvent les gens pensent que parce que tu fais du porno tu es une sorte d’expert du sexe et que tu baises mieux. Mais c’est faux, je suis un mec normal qui aime s’amuser et je n’attends rien d’extraordinaire de mes partenaires à part passer un bon moment.
Pour en revenir au porno gay, contrairement à beaucoup de modèles tu n’as pas ouvert de compte Onlyfans qui est pourtant très à la mode…
Pour être honnête, je n’aime pas trop Onlyfans. Comme tout le monde j’y ai réfléchi car ça permet de se faire pas mal d’argent mais moi, là, je préfère faire du bon porno, des choses qui sont excitantes et belles à regarder. Quand je tourne avec Cockyboys, je bénéficie de leur belle image, de leur photographie, on met en avant ma personnalité. Ce sont des films.
Si je faisais des vidéos Onlyfans, je ne serais qu’un mec comme les autres filmé au téléphone portable. Certes c’est parfois hard et plus réaliste mais tout ce qu’on y voit finit par se ressembler et ça ne me paraît pas très épanouissant personnellement.
On sent en effet chez toi une forte envie de créer des choses. A côté de tes tournages tu as développé depuis quelques temps d’autres activités…
J’ai créé une chaîne Youtube en espagnol qui marche bien et puis j’ai eu l’idée de faire des chansons avec des clips sexy et fun. Le succès de mes premières chansons a dépassé mes rêves les plus fous. Maintenant j’ai des gens qui me suivent juste parce qu’ils ont aimé mes morceaux, je suis trop content ! J’ai l’impression que la musique latine plait beaucoup et c’est tant mieux. J’ai envie de continuer dans cette voix et je sortirai début d’année prochaine un nouveau single.
Tout ça est vraiment épanouissant : je ne fais que des choses que j’aime. Je ne réfléchis pas trop encore à comment sera l’avenir mais je me vois bien continuer à faire du porno et à développer ces activités artistiques encore pour quelques années. Je profite.
Où l’on parle des ragnagnas… …des ourses, des Anglais qui débarquent. Où l’on parle d’un sang à l’origine de beaucoup de superstitions, de fantasmes, de tabous. Mais à l’origine surtout de l’humanité ! Avec Caroline Sahuquet et Aline Stinus, metteuse en scène et comédienne de « Tout sur le ROuge », une pièce en cours d’écriture avec Elise Thiébaut, l’auteure des Règles… quelle aventure…
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Comme on me l’a fait remarquer il y a peu : je ne mets pas énormément de pénétration dans mes gifs. Au delà du fait qu’il n’y a clairement pas besoin de ça pour rendre la chose excitante, j’ai tout de même décidé d’axer mes recherches cette semaine sur tout ce qui était fellation, anal et autres merveilles de la vie. Et là BIM, en plein dans ma prospection je tombe sur une vidéo d’un certain Marc_222 en solo sur son pieu. Et BIMx2, une vidéo de Rae Lil Black dégoulinante de salive. D’accord, d’accord, on n’est pas sur un 100% péné mais on reste sur du 100% plaisir.
On commence tout en douceur avec un Solo Male Masturbation plein de bon sens. Toujours aussi fan des moments persos capturés dans la plus grande intimité de la chambre, je reste pantoise devant tant de savoir-faire. Les abdos sont contractés comme il faut pour maintenir une pression optimale sur le bas du ventre, l’objet du désir est plus qu’au garde-à-vous et le doigté se veut expert. A quand les cours pratiques obligatoires ?
C’est bientôt l’anniversaire de celle qui fait battre mon coeur : Olivia Wildin. Entre une jolie literie, quelques gélules vitaminées et des bouquins sur la botanique, vous pouvez lui offrir des cadeaux en allant directement sur sa wishlist. Pour ma part je vais rester sagement derrière mon écran à éplucher toutes ses photos, son Twitter et son univers plein d’originalité et de plantes vertes.
Je vous présente la belle Piper Blush qui est présente sur Pornhub depuis maintenant deux mois. Avec à son actif 3 vidéos (pour le moment), celle qui nous vient tout droit du Canada, va continuer à nous réchauffer durant l’hiver. Avec le regard brûlant qu’elle a, sûre qu’il n’y a plus de neige à l’heure qu’il est.
Toujours plus haut, toujours plus forte dans le sexe. Rae Lil Black semble insatiable dans sa position d’objet sexuel. Avec ses talons-échasses, l’amatrice touche du doigt des sommets encore jamais atteints. Secouée, remuée, pétrie sur l’îlot de la cuisine, j’vous jure que la petite Rae est plus que cuite à la fin de la préparation.
Après Leolulu en vacances, Leolulu visitent Paris et Leolulu à la plage, regardons le dernier volume de la saga : Leolulu en boite de nuit. A l’étroit dans les toilettes du club, les deux savent être contorsionnistes pour nous faire partager un petit moment d’anal pas piqué des hannetons. Je vous mets ici la version digitale. Si vous voulez plus de sexe, cliquez ICI !!!
Image en une : Olivia Wildin