Son dernier mail disait : 19h Abbesses, sous le manège. A ma grande surprise il ne fut pas déplaisant, un quarantenaire plutôt sexy à vrai dire qui avait voulu se déplacer et venir me chercher. Très aimable, drôle, fin et cultivé. Arrivés chez lui il m’offrit du champagne et des petits fours. Mon “cadeau” était posé sur la table.
Nous parlions cinéma, lecture et peinture. Je le répète, un homme très cultivé. Il avait l’habitude de ce genre de rencontres. Il m’a tout de suite mise très à l’aise et ce dans tous les sens du terme. Nous avons bien discuté pendant une heure et en petite tenue pour ma part. J’étais la veille partie faire du shopping chez La Perle, il aimait les jolies choses. Il m’invita très poliment dans sa chambre à voir ses autres toiles. Sur le chemin je perdis ma culotte.
Il me plaqua contre le mur très sensuellement avec une touche de violence dans son couloir. M’embrassant les seins et me suçant les tétons. Il passa sa grande et fine main entre mes jambes sur mon sexe chaud. Je me laissais aller, il me montrait bien que c’était lui qui tenait les rênes et cela ne me déplaisait pas. Il a gentillement guidé ma bouche vers son sexe d’une taille incroyable. Dieu merci ça n’était pas un adepte des fellations je commençais à ressentir une crampe au niveau de ma mâchoire inférieure. Il ne voulait pas que je le déshabille.
Il me fit m’allonger sur son lit, il aimait mes fesses et les touchait sans cesse, ce qui augmentait mon excitation et la sienne. Comme s’il détenait dans ses mains un trésor. L’agilité de ses doigts réussit à me faire jouir en quelques secondes. J’en ressens encore des frissons dans le bas-bas ventre en y repensant. Il me prit en levrette, au début j’y pris goût puis sa queue étant tellement grosse et longue que je commençais à ressentir quelques douleurs.
Il me banda les yeux. Encore une fois l’excitation monta en moi, mais je me demandai ce qu’il pouvait faire durant tout ce temps où je l’attendais accouder contre l’armoire. Il arriva et me prit avec une violente passion. Puis il retourna à son bureau. J’allais enlever mon foulard : “Non ! Garde-le.” Il se mit à son ordinateur, j’entendais des bruits de souris, il ne se masturbait pas. N’a pas pris de photos ou vidéos. Il regardait simplement des photos, d’une très jolie femme. Puis il me lança dans le lit en missionnaire et toujours les yeux bandés se remit à me sauter. Je sentais son souffle chaud dans mon cou, puis il vint en quelques minutes et m’enleva mon bandeau pour m’embrasser langoureusement.
Après ma douche il m’offrit une autre coupe de champagne. Nous avions largement dépassé l’heure convenue. Il me paya le double et me remercia en m’embrassant le front. Une fois dans le métro je sentais mon sexe encore chaud et qui en redemandait, je devais me calmer, j’allais voir mon petit copain.
(cc) pineapplebun