C’est le week-end, N/nous sortons beaucoup et j’en suis très contente. N/nous avons prévu d’aller à la Nuit Elastique qui se déroule à Paris dans les Caveaux du Chapelais. N/nous avons fini par trouver ou N/nous garer. Certes il y a un peu de marche mais ce n’est pas si loin que cela. N/nous y sommes allés avec la voiture de Monsieur du 80. C’est un gros 4X4. Comme d’habitude j’ai ma tenue sur moi sous mon imper. Il ne me mets au dernier moment que le dogbud et les pattes avant. Alors que N/nous sommes e train de marché d’un bon pas Monsieur fonce dans un vélo. Il me dit qu’il ne voit plus rien tout à coup. je suis inquiète. Il essai en vain de lire les panneaux mais Il ne voit toujours rien. je Le ramène à la voiture et je Lui dit de ne pas s’inquiéter que N/nous sommes pas loin d’un hôpital que je connais. je l’assoie côté passager et je me mets au volant. je me dirige vers l’hôpital Bichat. En faite je ne sais pas exactement ou on est par rapport à l’hôpital mais je me veux rassurante pour Lui. Dans ma tête tout va très vite, je sais que je ne dois pas paniquer. je dois faire attention à la route, je dois conduire prudemment mais rapidement. je retrouve le chemin de la rue qui mène à la fourche. je vois une voiture de police je me gare mais je ne vois personne alors je décide de repartir aussitôt,, j’ai conscience que je ne dois pas perdre de temps. je me dirige par la porte de Saint Ouen. je vois enfin les panneau indiquant l’entré de l’hôpital, je fonce, j’explique mon problème au vigile qui me laisse passer aussitôt. je fonce aux urgences. arrivé sur place Monsieur est pris tout de suite en charge. Et je me retrouve seule dans la salle d’attente des urgence avec mes angoisses. j’ai peur, je viens enfin de trouver un Homme qui le comprend, avec qui je peux vivre de grandes choses et il s’est passé ça. j’ai peur. j’ai l’impression que tout s’écroule autour de moi. je suis livide. je prie pour que cela ne soit pas grave et j’attend. dans ces moment là le temps semble long et court en même temps. Puis je fini par prendre conscience de ma tenue, du regard un peu insistant des gens. Et oui, je suis habillé d’un manteau de petgirl en cuir donc qui arrive au dessus des fesses et un imperméable par dessus, des bottes en cuir montante et c’est tout. Entre temps Monsieur est ressorti, enfin, je l’ai vu passer dans un chariot pour aller des salles à ma gauche aux salles à ma droite. Mais je n’ai aucune information. Donc je me décide à aller voir dans la voiture si je trouve quelque chose à me mettre. La seule chose que je trouve c’est un pantalon de Monsieur, encore un peu humide. Mais c’est mieux que rien alors je le met. Le pantalon est un peu trop long mais peu importe. j’ai pu trouve une cigarette, alors je fume dehors, pour évacuer mon stresse, mes angoisses, mes peurs. On m’autorise enfin à le voir, Il m’a réclamé, Il pense à moi, Il s’inquiète pour moi. Ils m’autorisent à rester un peu avec Lui, je me mets en boule au pied de son lit et Il me caresse la tête. Ils reviennent je dois partir…. seule…. le laisser. Il est quatre heure du matin je crois et je suis seule pour retourner à l’hôtel. je suis seule perdue et j’ai besoin de soutien, je vais crier mon désespoir sur internet. je trouve des gens pour me consoler et je fini par m’endormir de fatigue. je ne sais pas combien e temps j’ai dormi mais je me lève il est pas encore 9h, je range toute ces affaires et je file à l’hôpital, je passe par l’accueil t vu ma tête la demande comprend qu’il s’est passé quelque chose. je craque, je pleure et je raconte tout. C’est un amour. Ce n’est pas la première fois que l’on vient dans cet hôtel et elle N/nous connait. Le reste du week-end est passé vite, tout ce que je me souviens c’est ce sentiment de malaise envahissant. Cette crainte de le perdre. De tout perdre. Il a fait un AVC. Un AVC veut dire un accident vasculaire cérébrale. je me souviens avoir fait un cauchemard, qu’Il allait mourir si on ne lui donnait pas un cœur, la seule solution pour le sauver était que je meurs. Bref j’ai le moral dans les chaussettes. je me dis que si je le perd, comment je vais vivre sans Lui. j’ai l’impression d’avoir la poisse, et je ne pense qu’à moi. Mais heureusement Il va mieux, Il va vite sortir. Il sera rester moins d’une semaine. Mais je reste sur mes gardes. je l’épie. je l’observe, à la recherche de la moindre alerte. Parce que mon Maitre, je L’aime déjà.