La clique virile, par profit et par sadisme, noues débite en morceaux :
- en bouts à branlette (cul, sein, bouche, cheville, cuisse)
- en bouts à vendre (« corps » des femmes en prostitution, cheveux)
…. trafic génocidaire.
Car ce petit business entre hommes se fait sur fond
de guerre totale :
- persécution sexuelle dite « divertissement de confort et de réconfort ». Or ce sont des viols de masse. En temps de paix, ils sont commis au nom des pactes pervers de type hétérosexualité , mariage, travail, ou prostitution.
- spoliation dite « division du travail ». Or il s’agit d’un hold-up mondialisé fait de déshéritement et de mise à prix à la naissance, d’esclavage domestique, de suspension du droit du travail en matière d’atteinte à la personne, de temps de travail, de condition et d’accès à l’emploi et au travail informel, et surexploitation sur le marché du travail formel.
- élimination de masse dite « transition démographique » en Asie (or c’est un génocide d’une centaine de millions de femmes) ou « crimes passionnels » et « crimes sexuels » en Rance (or c’est, pour les premiers, de la torture politique dans la prison domestique et, pour les seconds, des exécutions sommaires)
Et de propagande génocidaire :
- « pornographie ». Pur script du viol et de la torture sexiste à usage des dominants.
- « culture sadomasochiste » agitant les notions de « consentement« et de « liberté ». Pur lobbying qui vise à blanchir toute la frange des viols aggravés, au plan des consciences comme au plan pénal.
- « clichés » de la femme vénale, de la femme entretenue, de la femme castratrice, de la salope masochiste … Or ces clichés retournent point par point l’oppression virile. Car c’est eux les salopeurs et les profiteurs: ils noues spolient, ils sont entretenus par noues, ils noues « castrent », c’est à dire noues rendent impuissantes au quotidien, ils noues salopent le corps avec leur jouissance sadique et l’esprit avec leur culture de viol.
Au centre de leurs cultures millénaires, les noyaux durs de la haine génocidaire :
- le stigmate de « parasite » entretenu, qui pompe les caisses des dominants.
- le stigmate d’être « indigne » qui mérite toutes les violences, dont l’être est fait pour ces violences. Noues sommes pour eux l’immoralité faite être vivant : dans un système religieux traditionnel, noues sommes les culs à prendre. Dans le système « démocratique » des patriarcats néolibéraux, où la liberté individuelle est la quintessence du sujet autant que son aspiration fondamentale, « la femme » incarne cet être rampant qui renonce à sa liberté (être d’amour en laisse) ou qui la pervertit (être masochiste qui réclame la liberté de mettre ses chaînes). Par leur propagande sadienne, freudienne et sexologique, ils noues accusent carrément de désirer leurs violences et d’en jouir ! Pure projection de leur propre sadisme. Il s’agit là d’une accusation sans précédent historique, car les autres peuples étaient persécutés ou mis sous tutelle « seulement » pour cause de fatalité divine ou de biologie ou culture arriérée, voire parfois de faute dans une vie antérieure, choses dont ils ne sont pas eux-mêmes responsables et dont ils ne jouissent pas (aussi au sens de profiter).
- le stigmate de l’indignité est ancré dans celui de « souillure purulente » : selon eux, religieux et pornographes, noues portons le vice (saloperie et masochisme) ou la saleté (règles) et noues les portons … aux hommes. Voilà notre dangerosité : corrompues, noues les corrompons.
… et que ces Instances viriles ne sont là que pour y veiller.