J’ai goûté au parfum de gitane.
J’en avais sur mes doigts rieurs et cruels.
Je m’en suis enivré les yeux ouverts, mortel et surhumain.
Je n’ai pas vu le temps passer, really.
Les fragrances ont disparu mais je les retrouverai.
Sur le même sujet« Le pouvoir passait par les corps, là où les désirs empruntaient à la violence de biens étranges tournures. »*
(Dufaux & Miralles dans Le Pavillon des plaisirs)
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