Pour trouver des partenaires, Vanessa s’est inscrite sur des sites libertins sous un pseudonyme qui annonce d’emblée la nature de ses recherches : Gbwanted. Pour elle, aucune limite dans le nombre des participants à ses petits délires. Elle a commencé à se dévergonder, il y a une quinzaine d’années. D’abord deux, puis trois, quatre, cinq… L’une de ses plus belles performances : un gang bang le samedi, où elle était seule avec une vingtaine d’hommes (de 20h30 à 4h du matin). Il a été suivi d’un autre gang bang le lendemain avec une quinzaine d’autres partenaires : « Et au final, j’ai été surprise quand tous ces hommes m’ont applaudie. »
Gang bang et soumission ? Contrairement à Françoise, Vanessa ne vit pas du tout ce type de situation dans un désir de soumission, voire d’humiliation : « En gang bang, je ne me sens pas du tout soumise, ni souillée quand mes amants d’un soir éjaculent sur moi. Je le vis comme un cadeau que ces hommes me font. Je prends un immense plaisir à exciter et à faire jouir mes partenaires de jeu. Je me sens un peu comme la reine de leurs désirs et je suis très heureuse de voir l’effet que je leur produis en les voyant bander pour moi. C’est réellement un échange. »
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