Je me souviens de cette nuit-là comme si c’était hier. Nous avons passé la soirée à rire, à boire et à parler de tout et de rien. Tom et moi étions assis sur la terrasse de son appartement, buvant du vin rouge et discutant de la vie. Au fil de la soirée, notre conversation s’est intensifiée, et nous nous sommes sentis très à l’aise l’un avec l’autre. Tom a posé sa main sur ma cuisse, me regardant droit dans les yeux, et j’ai senti une vague de chaleur se propager à travers mon corps. Nous avons échangé un baiser doux et sensuel, puis nous sommes entrés dans l’appartement.
Tom m’a emmené dans sa chambre, où il avait allumé des bougies parfumées et une musique douce. Nous avons continué à nous embrasser, nos mains explorant mutuellement nos corps. Je pouvais sentir sa respiration chaude sur ma peau, et j’ai frissonné de désir. Tom a commencé à me caresser doucement, en prenant son temps pour me découvrir et explorer mon corps. Nous avons fait l’amour toute la nuit, explorant notre désir mutuel dans une danse passionnée. Le lendemain matin, nous nous sommes réveillés tous les deux, encore nus et enlacés. Nous avons échangé des sourires complices, sachant que nous avions vécu une nuit que nous n’oublierions jamais.
Cependant, la semaine suivante, j’ai compris que Tom ne partageait pas les mêmes attentes émotionnelles que moi. Il était clair que pour lui, cette expérience était simplement du sexe sans engagement émotionnel, alors que pour moi, c’était plus complexe que cela.
J’ai commencé à réfléchir sur la nature des relations sexuelles. Est-il possible d’avoir des rapports sexuels sans amour et sans conséquence émotionnelle ? Ou est-ce que cela finit toujours par créer un déséquilibre émotionnel dans l’un des partenaires ?
J’ai réalisé que le sexe sans engagement émotionnel peut être source de plaisir et de libération pour certaines personnes. Cela peut être une façon de se découvrir, d’explorer sa sexualité, et de prendre soin de ses besoins physiques sans avoir à s’engager émotionnellement. Cependant, il est également vrai que le sexe sans engagement peut être source de confusion et de douleur pour d’autres.
Il est donc important de se poser les bonnes questions avant de se lancer dans une telle expérience : pourquoi est-ce que je veux avoir des relations sexuelles sans amour ? Est-ce que je suis prêt(e) à accepter les conséquences émotionnelles qui pourraient en découler ? Est-ce que je suis prêt(e) à communiquer clairement avec mon partenaire pour éviter les malentendus et les conséquences négatives ?
Ma propre expérience m’a appris qu’il est possible d’avoir des rapports sexuels sans amour, mais que cela doit être fait en toute conscience et en prenant les précautions nécessaires. Chacun est libre de faire ses propres choix, mais il est important de prendre en compte les risques potentiels pour éviter les dommages émotionnels à long terme.
Pour moi, la clé de toute relation sexuelle est la communication claire et honnête avec son partenaire. Avant de s’engager dans une relation sexuelle sans amour, il est important d’avoir une conversation honnête avec son partenaire pour clarifier les attentes et les limites de chacun. Si l’un des partenaires commence à développer des sentiments, il est important de l’exprimer ouvertement et d’en discuter ensemble.
En fin de compte, les relations sexuelles sans amour peuvent être une expérience positive et libératrice si elles sont pratiquées de manière responsable et consensuelle. Cependant, il est important de se rappeler que chaque individu a des besoins émotionnels différents et que les rapports sexuels sans amour peuvent ne pas convenir à tout le monde.
Dans tous les cas, il est important de prendre des précautions pour se protéger et de communiquer clairement avec son partenaire pour éviter les malentendus et les conséquences négatives. Il est également crucial de faire preuve de respect et de considération envers son partenaire.
Et vous, chers lecteurs et lectrices, qu’en pensez-vous ? Avez-vous déjà vécu des rapports sexuels sans amour ? Quelles ont été vos expériences ? J’espère que cet article vous a été utile et que vous avez trouvé des réponses à vos questions. N’hésitez pas à partager vos réflexions et expériences dans les commentaires ci-dessous.
Mise à jour du 16 février 2023 :Depuis que j’ai publié mon article sur les rapports sexuels sans amour, j’ai reçu de nombreux commentaires de lecteurs partageant leurs propres expériences et réflexions. Certains ont raconté comment le sexe sans amour leur a permis de se libérer de la pression sociale et de trouver une forme de plaisir purement physique. D’autres ont décrit comment cela avait créé une confusion émotionnelle et des sentiments de regret.
Un lecteur, nommé David, a partagé son histoire sur la façon dont les rapports sexuels sans amour ont fini par l’amener à trouver l’amour véritable. Il a expliqué que, pendant des années, il avait eu des relations sexuelles sans engagement émotionnel, mais qu’il avait finalement réalisé qu’il cherchait quelque chose de plus profond. C’est alors qu’il a rencontré sa future épouse, qui partageait sa vision de l’amour et de la sexualité.
Un autre lecteur, nommé Sarah, a décrit comment elle avait commencé à pratiquer des rapports sexuels sans amour pour se libérer de la pression sociale, mais qu’elle avait fini par se sentir vide et insatisfaite. Elle a fini par réaliser que ce qu’elle cherchait vraiment était une connexion émotionnelle et une relation amoureuse profonde.
Un troisième lecteur, nommé Léa, a partagé son expérience en disant qu’elle avait pratiqué des rapports sexuels sans amour pendant des années, mais qu’elle avait finalement réalisé qu’elle était fatiguée de se sentir seule. Elle a fini par trouver un partenaire avec qui elle partageait une forte connexion émotionnelle et sexuelle, et elle a réalisé que c’était ce qu’elle avait toujours cherché. Pour elle, les rapports sexuels sans amour n’étaient plus suffisants, car elle avait besoin de plus de profondeur et d’intimité dans ses relations. Elle a également souligné l’importance de la communication et de la compréhension mutuelle dans toute relation, qu’elle soit basée sur l’amour ou non.
Ces histoires montrent que les rapports sexuels sans amour peuvent avoir des conséquences très différentes selon les individus et leurs besoins émotionnels. Il est important de prendre le temps de réfléchir sur nos propres attentes et besoins avant de décider de pratiquer le sexe sans amour. Il est également crucial de communiquer clairement avec son partenaire pour éviter les malentendus et les conséquences négatives.
En fin de compte, que l’on choisisse d’avoir des rapports sexuels sans amour ou non, il est important de respecter ses propres besoins et limites, ainsi que ceux de son partenaire. Le sexe peut être une source de plaisir et de libération, mais il peut aussi être source de douleur et de confusion. L’important est de faire des choix conscients et d’être honnête avec soi-même et avec son partenaire.
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]]>Il y a quelques années, suite à une rupture amoureuse, j’avais décidé de ne plus rencontrer un seul homme et de vivre sans sexe. Ça a été difficile, mais cela l’a-t-il été plus pour moi ou bien pour eux ? Le printemps venant, avez-vous remarqué, mesdames, que c’est la période durant laquelle les nouvelles conquêtes arrivent et les ex reviennent ? La sève ne monte pas que dans les plantes, durant le mois de mars… Accepter toutes les propositions reviendrait à approuver les histoires sans lendemains. Les histoires sans lendemains sont les plus difficiles à vivre, car souvent, un seul des deux amants a décidé qu’elle le soit et c’est généralement l’homme !
Est-il bénéfique de vivre sans sexe ?Est-ce que vivre sans sexe peut nous protéger contre les prédateurs de l’amour ? Tout le monde connaît la célèbre organisation d’entraide contre l’alcoolisme « les alcooliques anonymes », s’il en existait une nommée « les amoureux anonymes », combien serions-nous à nous y inscrire ? Nous sommes nombreuses à ne pas rechercher seulement le sexe mais à l’associer avec l’amour. Lorsqu’un homme nous propose de vivre une histoire, elle inclut bien évidemment le sexe, mais parfois, ils ne souhaitent rien d’autre et essayent de nous faire croire le contraire par des « je t’aime », « je ne te quitterai jamais »… Ils sont nombreux à y parvenir hélas ; est-ce que s’interdire toute relation sexuelle peut nous préserver d’une nouvelle souffrance amoureuse ? Ne plus faire l’amour avec ces hommes, parfois si tentants, nous préserve-t-il d’une nouvelle déception sentimentale ? Si on décide de ne plus vivre de nouvelles relations, elles n’existeront jamais. Ça nous permet de ne souffrir d’aucune rupture mais nous pouvons être frustrées de ne pas savoir ce que cette histoire aurait donné. C’est un dilemme !
Le célibat engendre-t-il systématiquement la solitude ?J’ai souvent attendu sans espoir, que le téléphone sonne, qu’un SMS ou un E-mail arrive et je ne suis pas la seule, c’est certain. Nous avons de nos jours, de nombreux moyens de communication et de réseaux sociaux, certains hommes semblent les connaître au moment de la rencontre et les oublient au bout de quelques jours, quelques mois ou parfois, quelques années ! Doit-on pour autant considérer le célibat comme une fatalité ? Malgré le succès que je peux avoir auprès des hommes, toutes les fois où ils se sont joués de moi, où ils ne sont pas tombés amoureux et n’ont pensé qu’au sexe, je ne suis demandé si j’étais « aimable », au sens littéral du terme. Vivre sans sexe peut être une solution pour éviter les désillusions amoureuses…
Comment vivre seule ?Les religieux catholiques vivent sans sexe, ils se disent tous aimés d’un seul et même être : « l’être éternel », Dieu, sans jamais aucune jalousie ou rivalité entre eux. Dans certaines histoires d’amour, on compare notre homme, à un dieu, mais si nous étions aussi nombreuses à l’aimer que ces fidèles religieux aiment le leur, il n’y aurait plus aucune fidélité… Vivre sans sexe peut nous permettre de nous retrouver nous-même, apprendre à nous redécouvrir, à nous aimer, à nous chouchouter, ne pensant à personne d’autre qu’à la seule personne avec qui nous vivons depuis la première seconde de notre naissance et qui nous suivra chaque instant jusqu’à la fin de nos jours : nous-même… La chercheuse en psychologie américaine Bella DePaulo a écrit dans une de ses études, que vivre seule est bénéfique, que vivre seule peut permettre « une vie meilleure, qui possède plus d’authenticité et de sens ». Elle a rajouté qu’elle pense que les conditions de vie des femmes célibataires sont supérieures, que leurs initiatives en rapport avec leur propre vie leur permet une continuelle amélioration personnelle. Elles peuvent également se comporter sans avoir de compte à rendre à personne, s’habiller et vivre comme bon leur semble… Elles redécouvrent leur féminité en rapport avec leur propre personnalité.
Il faut penser à soi, sans faire passer les choix d’un homme avant les nôtres. Il faut arrêter de se prendre la tête et en prenant leur sexe ! Malgré tout, on peut vivre sans sexe, mais il est impossible de vivre sans amour, qui que l’on soit et quelque soit notre âge…
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]]>Certaines personnes peuvent être infidèles tout simplement après être tombées amoureuses d’une autre. Dans ce cas, leur infidélité va les mener tout simplement vers une nouvelle histoire d’amour et il est très possible qu’ils ne soient plus jamais infidèles par la suite…
Quand l’infidélité est une vengeanceSi l’infidélité est un acte de vengeance, il est pratiquement certain que le trompeur ou la trompeuse, reviendra vers l’être aimé et abandonnera les bras de son amant ou de sa maîtresse, aussi doux soient-ils. Si l’infidélité est une vengeance, on peut l’associer à de la jalousie ; la jalousie est-elle une preuve d’amour ? La question est assez vaste, mais dans le cas de l’infidélité par vengeance, la réponse est : oui. L’infidélité par vengeance est d’ailleurs la principale raison qui pousse « au crime ».
Quand l’infidélité est une erreur de parcoursSi une personne trompe son compagnon ou sa compagne une seule fois dans leur histoire d’amour, l’acte peut être considéré comme une erreur de parcours, à la seule condition que la relation adultère ne dure pas plus de quelques mois et ne se renouvelle pas. Dans ce cas, le tromper ou la trompeuse se sentira coupable, que la faute soit avouée ou pas.
Quand l’infidélité est due à un manque de confiance en soiCertaines gens se sentent valorisées lorsqu’elles ont une relation sexuelle avec une autre personne que la personne officielle avec laquelle elles vivent leur histoire d’amour. Dans ce cas-là, la relation adultère ne devrait pas durer longtemps. Certains considèrent celle-ci comme une pathologie.
Quand l’infidélité est la conséquence d’un manque d’investissement dans la relationLorsqu’une personne se sent délaissée par l’être aimé, avant de devenir infidèle, elle aura donné des signes d’alerte, elle aura annoncé plusieurs fois à son compagnon ou sa compagne qu’elle est malheureuse de se sentir délaissée. Lorsqu’elle passera à l’acte, elle ressentira un sentiment de culpabilité et peut-être même qu’elle continuera à aimer la personne avec qui elle a est en couple légitime. Si cette dernière fait des efforts et s’investit enfin dans leur relation, l’histoire adultérine s’arrêtera.
Quand l’infidélité est une recherche de fantaisie dans la vie sexuelleLorsqu’une personne en trompe une autre juste pour trouver une ou plusieurs relations sexuelles différentes, il sera rare qu’elle tombe amoureuse de sa relation. Cette dernière pouvant d’ailleurs être multiple ; la plupart du temps d‘ailleurs, ces personnes-là sont guidées par le sexe et non par le cœur.
L’infidélité mène-t-elle toujours à la rupture ?Généralement, l’infidélité amène à la rupture du couple, mais certaines personnes trompées décident de pardonner l’être aimé, même si la personne récidive dans son acte à plusieurs reprises… Pardonner l’impardonnable est une très grande preuve d’amour. Certains couples décident d’avoir une relation libre, appelée également du libertinage assumé, l’acteur de cinéma Will Smith et son épouse Jada Pinkett Smith, par exemple, ont décidé de vivre leur amour de cette manière. Ce genre de relation est dangereux ; même si le couple s’aime depuis plusieurs années, il y a le risque, comme dans toute relation infidèle, que l’un des deux tombe amoureux d’une autre personne. Ce risque est démultiplié puisque plusieurs relations adultérines il y a…
Deux sites de rencontres extra-conjugalesIl existe des sites internet consacrés aux aventures infidèles ; deux d’entre eux sont « J’te trompe » et « NetAdultere.fr ». Le premier fait valoir le partage des fantasmes sexuels et adultères en toute discrétion. Le second annonce que l’infidélité rime avec simplicité. Pour ces deux sites, les données sont protégées dans un anonymat total. Les rencontres virtuelles avant les rendez-vous charnels sont proposées par chat, webcam ou messagerie. Les localisations géographiques permettent de rencontrer une personne dans l’endroit souhaité. Tous styles de fantasmes sexuels sont proposés : le libertinage, l’échangisme, le sadomasochisme, mais également les relations plus classiques, que les personnes soient hétérosexuelles, homosexuelles ou bisexuelles. Sur ces plateformes, pas de formes plates ! Ces lieux de rencontres obtiennent un franc succès auprès de ses membres, ce qui rend le membre de ces messieurs actif, pour le plus grand plaisir de ces dames…
L’infidélité peut être pratiquée pour différentes raisons, laquelle invoquerez-vous ? Allez-vous un jour passer le cap ? Allez-vous garder le secret ? L’important est, comme dans toute relation amoureuse ou sexuelle, de ne faire souffrir personne…
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]]>Un grand nombre d’entre nous a souri en entendant “son homme” dire qu’il souffre le martyre, face à une douleur quelconque, en le voyant alité pour un simple rhume ou dès qu’il aura un peu de fièvre, non sans oublier pour autant, de s’en occuper et de le soigner avec patience et douceur… Les hommes supportent moins la douleur physique que les femmes, pourtant la testostérone, plus présente chez eux que chez nous, est hyperalgésique, c’est à dire qu’elle provoque une diminution de la souffrance. Qu’est-ce que ça serait s’ils n’en avaient pas ! Alors qu’elle en est la raison ? Il y a une réponse naturelle à tout ça : les hommes oublient moins facilement la douleur provoquée par telle ou telle situation et vont l’anticiper avant même qu’elle ne soit présente, elle serait donc plus psychologique que réellement physique. Nous n’oublions pas nos souffrances, nous non plus, serait-ce simplement une question de volonté ? Sourions donc à cette maxime : “Les douleurs de l’accouchement peuvent permettre à une femme de comprendre celle d’un homme qui a un peu de fièvre”…
Pourquoi les hommes sont plus bagarreurs que les femmes ?Ce point est plus lié à l’éloge de la violence qu’à une raison naturelle ou médicale. Les jouets des petits garçons sont bien souvent des voitures ou des armes et ceux des petites filles, des poupées ou de la dînette. Le sexisme est déjà présent très tôt ! Quelques scientifiques affirment cependant que si les hommes sont plus bagarreurs que les femmes, c’est une raison sexuelle : une femme ne pouvant donner la vie que tous les dix mois environ, leur nombre de partenaires sexuels est plus réduit que chez les hommes qui se livrent concurrence pour se reproduire. C’est également la raison pour laquelle ils sont plus jaloux, bien que moins fidèles et la jalousie peut créer… des bagarres…
Pourquoi les hommes sont plus infidèles que les femmes ?Ces messieurs possèdent des cellules sexuelles jusqu’à la fin de leur vie, même si celles-ci diminuent avec le temps. La meilleure manière de prétendre à une plus grande descendance est de multiplier les rapports sexuels. Cette théorie ne concède certainement pas à réhabiliter leur mauvaise conduite, les dogmes néandertaliens ayant disparu. Ce précepte idéologique ne doit donc surtout pas inspirer une alliance misogyne, phallocentrique et machiste, afin de pardonner le dérèglement sexuel de ces hommes qui manquent de sérieux, ni de la perversion et des nombreux mensonges qui l’accompagnent. Ces coureurs de jupons sont incapables de faire des projets, de se poser et prendre le temps de savourer de bons moments avec une seule femme. J’en connais même un qui se déclare fidèle et sérieux, juste parce qu’il a plusieurs femmes en même temps depuis plusieurs années ! C’est un comble ! Se complaît-il dans son lâche mensonge ou dit-il ça pour se sentir moins honteux de sa pathologie sexuelle ? Les hommes volages sont incapables de découvrir le meilleur d’une seule femme, puisqu’ils ne vont profondément en elles qu’avec leur phallus. Leur instabilité sexuelle et sentimentale ne leur permet pas de trouver le bonheur avec une femme et d’en tomber réellement amoureux, c’est un cercle vicieux… un cercle vicieux pour les plus vicieux !
Pourquoi les hommes mentent deux fois plus que les femmes ?Dans sa nouvelle littéraire “Autre étude de femme”, Honoré de Balzac a écrit : “Un seul mensonge détruit la confiance absolue qui, pour certaines âmes, est le fond même de l’amour”, c’est tellement vrai ! Les femmes décèlent les mensonges de l’homme qu’elles aiment lorsqu’il a l’indélicatesse d’en faire, mais font mine de le croire et lui pardonne par amour, mais est-ce la bonne solution ? Ne serait-il pas plus sage de lui donner une bonne leçon ? Cela pourrait peut-être permettre aux hommes qui trichent de guérir enfin leur cruelle mythomanie perpétuelle. Certains hommes sont plus guidés par leur sexe, quelle que soit sa taille, que par son cerveau, quelle que soit sa taille aussi, c’est pourquoi ils sont moins honnêtes et font continuellement de fausses promesses. Cela expliquerait-t-il aussi pourquoi plus d’hommes se lancent dans la politique que de femmes ?
Guy de Maupassant a écrit une phrase qui pourrait très bien résumer le sujet de ma chronique d’aujourd’hui : “L’homme est faible et bête, entraînable pour un rien et lâche toutes les fois que ses sens sont excités ou domptés”. Il existe bien évidemment quelques exceptions, ces hommes-là savent bien que : le sexe fort, c’est le sexe fiable, quel que soit son genre…
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]]>Il y avait beaucoup de monde, nous étions plusieurs à être debout. Un homme d’une quarantaine d’années, s’est collé à moi. Ça peut arriver parfois, mais en me retournant, j’ai vu qu’il y avait de la place derrière lui… Je me suis avancée un peu pour l’éloigner de moi. Il s’est à nouveau plaqué contre moi et s’est même frotté sur mes fesses ! J’ai rapidement senti son désir durcir le tissu de son pantalon. Je lui ai donné un puissant coup de coude dans les côtes et un autre dans ses parties intimes. Il a crié d’une voix un peu aiguë en se reculant et a marmonné quelque chose qui ne semblait pas très gentil et finissait par le mot “pute“, derrière son masque. C’est là que j’ai trouvé le sujet de mon article ! Aurais-je dû le remercier pour cette inspiration soudaine ? Non ! Je l’ai dévisagé et lui ai dit :
– J’ai l’impression que vous « bossiez » dans le métro ! Vous venez de perdre votre emploi !
Les gens dans le métro ayant vu la scène, se sont mis à rire de ma réponse. L’homme vexé et momentanément émasculé, est sorti rapidement du métro honteux, lorsque les portes se sont ouvertes…
À quel moment débute le harcèlement sexuel ?Je pense que nous avons toutes subit au moins un harcèlement sexuel, qu’il soit dans la rue, dans le métro, au bureau, même lors de soirées entre amis ou ailleurs. Pour le code pénal, le harcèlement sexuel commence lors de “toute atteinte sexuelle commise avec violence, contrainte, menace ou surprise.” C’est assez vaste et flou… Faut-il attendre que le patron nous mette la main aux fesses par surprise, ou plus encore ? Et, paradoxalement, si un homme vous déclare sa flamme, tout simplement parce-qu’il est tombé amoureux de vous, que vous en êtes surprise, mais que vous avez décidé de refuser, quelle qu’en soit la raison, pourrait-il être considéré comme un harceleur sexuel ? Comment lui répondre ? Je pense que nous devons tout simplement être honnête. Si nous n’avons pas envie d’entamer une relation sexuelle avec la personne en question, il faut simplement savoir lui dire “non” poliment ou parfois, moins poliment, si violence dans ses gestes, il y a… S’il est agressif, il ne faut pas hésiter à jouer de notre coude ou de notre genou, en le faisant se cogner avec plus ou moins de force, dans les parties intimes de l’agresseur. Pas de bol pour les boules !
Quelques harceleurs sexuels célèbresComment ne pas avoir déjà lu ou entendu parler de harcèlement sexuel récemment lors des accusations contre l’ex-ministre de la Culture ou ancien présentateur du JT ? En octobre 2017, de la célèbre affaire de Harvey Weinstein a fait couler beaucoup d’encre… Une de mes meilleures amies est actrice de cinéma et scénariste. Elle n’est pas mondialement ni nationalement connue, mais a monté les célèbres marches du festival de Cannes le 23 mai 2019, accompagnée du réalisateur Shahram Akidi. Elle était vêtue d’une robe de soirée très décolletée, jusqu’au bas de son dos. Lorsqu’elle fut arrivée en haut, un couturier célèbre dont je tairais le nom ici, l’a félicitée sur sa tenue et plus encore, lorsqu’elle a annoncé qu’elle l’avait confectionnée elle-même. Il lui a proposé d’aller continuer la conversation au calme plus tard, dans sa chambre d’hôtel. Elle a refusé gentiment avec le sourire et un réalisateur connu que je ne citerai pas non plus sans l’accord de mon amie, lui a fait remarquer que si elle voulait avoir une notoriété internationale, elle en avait la possibilité après avoir passé une ou plusieurs nuits avec lui.
Depuis quand existe le harcèlement sexuel ?Je pense que le harcèlement sexuel a toujours existé, l’instinct animal de mâle étant ancré dans chaque homme. On peut en imaginer les scenarii dans les temps les plus lointains, une des plus célèbres scène du film “La guerre du feu”, réalisé par Jean-Jacques Anneau en 1981, se passant au bord d’une rivière, en est le témoignage… Déjà au début du XXe siècle, on parlait de harcèlement sexuel, celui-ci étant appelé “mauvaise conduite des contremaîtres“.
Parfois on ne s’attend pas au manquement de certains hommes, à leur pulsion sexuelle soudaine, on tombe des nues ! “On tombe des nues”, “tomber ses nues”, les plus rustres seraient si heureux d’une telle pluie ! Le harcèlement sexuel est principalement masculin, cela signifie-t-il que l’homme est plus primaire que nous ? Il a des besoins différents, c’est certain… nous pourrions peut-être en reparler lors d’un autre sujet…
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