PAR FRANCINE SPORENDA Dans un texte écrit par un allié du féminisme, depuis rallié aux thèses de la sociobiologie, je trouve cette perle de « science » phallocentrique : des psychologues voulant tester (en fait confirmer) les thèses sociobiologiques sur les différences libidinales entre hommes et femmes ont réalisé cette expérience sur un campus d’université aux Etats-Unis : ils ont […]