Hier soir avec ma Chérie, nous avons fait du sport. Et nous avons même échangé les maillots … mais avant le match. Moi j’ai eu sa culotte et elle m’a piqué ma chemise.
Ça a commencé dans l’entrée de l’immeuble, en bas de l’escalier. On rentrait de la dernière séance du ciné :
– « Le premier arrivé … » m’a-t-elle dit.
Ma Chérie n’a pas eu le temps de terminer ; je lui ai baissé le pantalon et la culotte sur les genoux et je me suis enfui dans l’escalier. Elle a crié « Tricheur ! » , m’a agrippé par les chaussures, m’a fait tomber et, tout en lutant-rampant-remontant vers moi, a réussi à me gober la queue.
Mais la porte de l’immeuble s’est ouverte. En mode panique, nous avons grimpé vite fait quelques marches de plus, les fesses à l’air et nous nous sommes immobilisés. Les secondes nous semblaient des minutes. Alors, pendant que l’homme attendait l’ascenseur juste en-dessous de nous, j’en ai profité pour glisser deux doigts dans ma Chérie, tout comme elle aime. Ça sifflotait en bas et gémissait en haut. Je lui ai plaqué ma main sur la bouche :
– « Tais-toi mon Amour, tu vas nous faire prendre ! »
Ma Chérie se tortillait dans tous les sens sur les marches. Elle s’agrippait à mon manche comme une noyée à sa planche et finalement, elle a réussi à jouir sans faire un seul bruit, juste au moment où la lumière s’est éteinte d’ailleurs ; le voisin et l’ascenseur s’étaient évanouis dans les étages depuis un bon bout de temps, semble-t-il.
Nous sommes restés encore un moment comme ça, immobiles, mes doigts en elle. Elle a eu un frisson, et c’est là qu’elle a passé ma chemise. Puis elle m’a attrapé par le seul vêtement qui me restait, ma cravate, et m’a entraîné à sa suite dans l’escalier.
Elle se déhanchait devant moi, lascive, aguicheuse, et se retournait de temps en temps pour me sourire. Dans la pénombre, je voyais la forme et le balancement trouble de ses fesses sous ma chemise et je ne saurais garantir que je ne bavais pas, ni de la bouche, ni du gland.
Arrivée au palier de notre étage : elle m’arrête, farfouille dans le tas de linge que je porte, en extirpe sa petite culotte … qu’elle me fourre aussi sec dans la bouche.
Elle me jauge du regard :
– « Voilà, c’est mieux comme ça »
puis enchaîne :
– « Je disais donc, mon petit Chéri : la première arrivée … est baisée. »
et pose aussitôt la main sur la porte :
– « Gagné ! »
Que voulez-vous ? Obligé : je l’ai prise, là, en la collant à notre porte d’entrée.
On ne s’est rendu compte qu’après, lorsqu’on a voulu rentrer, qu’on avait dû perdre les clés quelque part dans l’escalier. On est redescendu et, en fait, je crois bien que nous avons fait l’amour sur tous les paliers hier soir, rez-de-chaussée compris. Mais pas une seule fois, j’ai gagné.
Non, je n’ai pas gardé sa culotte. Par contre ma Chérie, elle, a dormi avec ma chemise. Enfin, comme d’hab’, quoi.