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une ex-actrice de film X fait un saut à l’élastique
Halana K, une ancien star du X a décidé de changer de carrière. Elle espère devenir une DJette incontournable.
Halana K est une ancienne actrice de X française.
Halana K, 30 ans, est une show girl de renommée mondiale. Mais cette ancienne actrice de films pour adultes a émis le désir, en janvier dernier, de changer radicalement de registre. Elle entend devenir une Djette incontournable.
Pour symboliser cette reconversion, la jeune femme a eu une idée originale. Samedi dernier, elle s’est jetée d’un pont sur les hauts de Niouc dans le val d’Anniviers en Valais en étant entièrement nue! L’endroit situé à 190 mètres du sol est mondialement connu pour être un haut lieu des sauts à l’élastique.
«Elle a dû attendre deux heures jusqu’à ce que la pluie cesse», raconte Cindo Abel, le porte-parole d’Halana K. «Elle avait peur, mais elle n’a même pas crié. Elle s’est lancée comme si elle plongeait dans une piscine. L’élastique s’est finalement stabilisé à 40 mètres du sol».
Tournée mondiale prévue
Après ce moment de frisson, la néo Djette se prépare pour une tournée mondiale. Elle la débutera en janvier prochain en Amérique du Nord, avant de revenir en avril en Europe.
Et contrairement à ce qu’on pourrait penser, Halana K mixera de l’électro-house non pas en tenue d’Eve ou en topless, mais «bodypaintée». Et uniquement sur demande des établissements qui l’inviteront
Source : http://www.20min.ch/ro/news/insolite/story/25666413
Silvio Berlusconi fait quelques exemples, mais il propose à la majorité des fraudeurs un retour des capitaux en échange de faibles pénalités.
La saison de la lutte contre l’évasion fiscale bat son plein en Italie, pays où chaque année plusieurs dizaines de milliards d’euros échappent au fisc. Souvent soupçonné de laxisme, le gouvernement de Silvio Berlusconi – qui a lui-même mis à l’abri certains des revenus de ses entreprises grâce à une myriade de sociétés offshore – se déploie sur deux fronts : fermeté pour quelques-uns et clémence pour tous les autres. Le premier étant censé faire oublier le second.
La fermeté a rattrapé deux stars transalpines : l’acteur de films pornographiques aux 1 400 « œuvres », Rocco Siffredi, et le footballeur argentin ex-vedette du FC Naples dans les années 1980, Diego Maradona. Le premier est soupçonné d’avoir, en compagnie de son épouse, soustrait environ 200 000 euros au fisc italien en déclarant résider en Hongrie, où il a basé ses activités professionnelles. Or, il possède une somptueuse villa à Rome, ville dans laquelle il a aussi acheté, récemment, une moto de grosse cylindrée et une voiture de luxe. Le fisc italien le soupçonne d’avoir monté plusieurs sociétés écrans pour dissimuler ses revenus, qui ont été saisis. « En croisant les dates de tous ses achats et autres services domestiques, nous sommes arrivés à la conclusion qu’il vivait en Italie au moins la moitié de l’année », affirme le chef de la brigade des finances de Chieti (Abruzzes), qui mène l’enquête.
En passant une petite vidéo humoristique joué par Rocco Siffredi, réalisé par Jean-Paul Rouve pour Halte au Long, le nouveau festival de films courts en série. (halteaulong.com)
En savoir plus sur Rocco Siffredi via Wikipedia
J’ai trouvé ce calendrier sur le site suisse Le Matin.
Il est intitulé Calendrier des paysannes 2010. C’est en effet de jeunes paysannes Suisses qui sont photographiées légèrement vêtues. Lié a leur photo le nom du canton. Sûr que ça va bander sec dans les alpages.
Pour ma part je vote pour celle-ci. J’adore sa poitrine généreuse, bien mise en valeur par ce soutien gorge virtuel.
Pour le reste des photos voici le lien : les paysannes suisses sont sexy
Attention : Ce style de prestation se fait que sur demande, avec l’accord du ou des sujets et jamais dans des spectacles public ou il pourrait y avoir des enfants ! Raymi Phénix, au salon de l’érotisme de Nice, a démontré que le plaisir est avant tout dans notre tête. Pour ce faire il a donner dans la journée d’intenses multi-orgasmes aussi bien aux « Stars du X » qu’aux personnes du publique (femmes et hommes). Vu L’intérêt porté par les expérimentateurs (plus de 30 dans la journée) et la puissance de l’expérience, Luka de « Dorcel TV » en a fait un petit reportage qui est, bien sur, passé à l’écran. Cette demoiselle, Zetah, a eu 4 orgasmes en moins de 10 minutes. Etonnant non !?
La marque de boisson fait très fort. Une pub très porno malgré que l’on ne voit à aucun moment un sexe ou un quelconque liquide séminal. En substance, Sprite ça te gicle dans gueule de Salope.
Ils sont fort ces publicitaires.
Et une version de secours en cas de disparition sur youtube (nomé Facial Sprite shot.)
Voir aussi cet article : Facial sprite shot: un goût particulier
Dans cette vidéo en langue anglaise, une jeune et jolie femme, est invité par un réalisateur de film coquins à se balader nue dans la cage d’escalier de son imeuble.
Pour plus d’intensité le mec lui pique (temporairement) les clefs, pour qu’elle ne puisse pas changer d’avis en cours de route.
L’oseriez vous ?
CELIBATAIRE PARTY Samedi 19 Septembre 2009 à 21 heures à L’ Entrepôt.
Pourquoi vous parler de cette soirée ?
Alors que les boites font des centaines de soirées « rencontres » par an.
C’est qu’un détail à retenu mon attention, le coup des bracelets, qui m’ont fait pensé, aux même bracelets libertins (réels ou fantasmés).
Les organisateurs proposent des bracelet à l’entrée :
Donc comme je ne connais pas le lieu et que l’entrée et gratuite, c’est le moment de jeter un oeuil.
Pour mes lecteurs et lectrices Strasbourgeois(es), c’est le moment de me rencontrer si vous passez à la soirée dites le moi sur le forum
Pour en savoir plus sur la soirée visitez ce site : Strasbourgcurieux
INTERVIEW AUDIO. Rencontre avec des étudiants de Sciences-Po à l’origine d’un projet qu’ils prennent très au sérieux : la création d’une revue érotique par et pour les jeunes. L’érotisme, un objet politique ou une bonne raison de sécher les cours ?
Ces étudiants-là n’ont pas pris de vacances : ils ont passé leur été à mettre la dernière main à “L’imparfaite”, la première revue érotique étudiante. Inspiré d’une expérience américaine, ce projet a été très bien reçu par la communauté éducative de Sciences-Po. Il faut dire que Fahd Ayeva, 23 ans, a su trouver les mots pour que tout ça paraisse sérieux :
Voici un truc qui me rappel quelques souvenirs.
Ok les filles et les gars, vous n’étiez pas né(e)s, donc question subsidiaire [1], quel age a le propriétaire de ce blog ?
Réponse en papier libre… non je m’égare [2], nous sommes à l’époque d’internet, donc réponse sur mon Face Book Alain Strasser .
les gagnants auront droit à ma considération la plus distinguée et les gagnantes auront le droit de m’héberger pendant deux jours.
[2] indications capitale, pour l’époque du truc.
[1] en fait il n’y a pas de question principale.
DU VENDREDI 5 AU 30 AOÛT
A ENDORFINE – 33 BOULEVARD DE LYON – STRASBOURG
HORAIRES : DU MARDI AU SAMEDI DE 13H A 18H
VERNISSAGE VENDREDI 5 JUIN A 20H
C’est avec beaucoup d’humour que nous souhaitions désacraliser l’objet d’art. Comme beaucoup l’on déjà fait avant nous, nous nous sommes approprié un objet puis chaque artiste spécialement invité a fait sa propre « customisation » de cet objet.
Dans un premier temps, nous voulions faire un clin d’œil au « art toy ». La décoration de personnages en édition limitée qui connaît à l’heure actuelle un grand succès commercial. L’aspect ludique de cette nouvelle pratique, d’où son nom « TOY », nous semblait intéressante, et nous avons voulu le conserver. Mais puisque nous voulions proposer quelque chose de différent il n’était pas question de partir de petits personnages.
La proximité évidente entre « Hard Toy » ( jouets pour adultes) et « Art Toy » (personnage à décorer) nous a permis de faire un choix tout naturel. Nous avons permis le « Sex-toy » customisable. Le contraste entre l’objet qui, (en dehors de sa qualité fonctionnel ) est un produit commercial fabriqué industriellement, et le fait qu’il soit décoré par un artiste pour en devenir unique, est aussi intéressant. Il s’agit comme pour les « Art Toy » de s’approprier un objet commun et vierge et d’en faire quelque chose d’unique. Les 30 artistes qui participent à cette exposition représentent un véritable melting-pot de techniques et pratiques artistiques. Ainsi tatoueurs, illustrateurs, graphistes, artistes peintres, writers venant de toute l’Europe, se retrouvent autour du même objet pour en faire au final quelque chose de plus personnel. L’interprétation même de cet objet par chacun d’eux pourra peut-être s’avérée révélatrice… qui sait ?!
P.S we love sexxxxxx !
Les artistesJUST (PARIS)
UNCLE HO (GRENOBLE)
HOTOH (STRASBOURG)
JACK RIBEIRO (METZ)
CLEMENT PEYROUS (PARIS)
HANDMADE (LYON)
JAW (MARSEILLE)
JULIEN (NIORT)
BIRDERLINE (STRASBOURG)
DARKELIXIR (CHERBOURG)
OGRE (LYON)
LXONE (STRASBOURG)
LA 404 NATION (ROUEN)
WISE.81 (STRASBOURG)
CONE (SAARBRUKEN)
JAEK EL DIABLO (STRASBOURG)
CEON (KARLSRUHE)
ENRICO BACH (KARLSRUHE)
FAZE 183 (MUNCHEN)
DATER (KOBLENZ)
HOMBRE (MANNHEIM)
ROID (BRIGHTON)
ROUGH (LONDRES)
PONK (LONDRES)
VIEW (BASEL)
DERS (BASEL)
OPIUM (NAPLES)
WANY (MILAN)
ZEUS40 (NAPLES)
DAN SINNES (LUXEMBOUG)
DEMS (ELCHE, ESPAGNE)
Ses modèles dernier cri s’exhibent sur les plages de la Riviera italienne ou de la Côte d’Azur, et il fait figure d’uniforme sur les plages de Rio de Janeiro. Certes, il existe encore des réfractaires, à l’instar des adeptes de quelques côtes allemandes de la Mer Baltique, où le naturisme est roi. Mais lorsque l’on pense été, soleil et plage, il nous vient tout de suite à l’esprit un petit bout de tissu, élevé au rang de star sur la plupart des plages du monde : le bikini.
Un regard sur l’histoire aurait permis de prédire depuis longtemps le succès rencontré par le deux-pièces. En effet, on a retrouvé dans la Villa Romana del Casale, en Sicile, une mosaïque antique représentant plusieurs jeunes femmes vêtues de tenues ressemblant à s’y méprendre à des bikinis. Quoi qu’il en soit, nous avons dû attendre quelque 1500 ans pour que le plus petit maillot de bain du monde soit créé spécialement pour la plage puis 20 ans supplémentaires pour que la mode du bikini envahisse les plages du monde entier.
Le bikini voit le jour à l’été 1946, soit un an seulement après la fin de la Seconde Guerre mondiale ! Le 5 juillet, à Paris, l’ingénieur français Louis Réard présente dans le cadre d’une élection de miss un maillot de bain deux-pièces composé d’un haut minuscule et de deux triangles de tissu reliés par deux cordelettes en guise de bas. La nouvelle tenue est si minimaliste qu’elle tient facilement dans une boîte d’allumettes ! L’invention doit son nom à un atoll du Pacifique, pour des raisons historiques (d’un goût plutôt macabre) : en effet, c’est dans la lagune de l’atoll de Bikini que les Etats-Unis lâchent la première bombe atomique de l’après-guerre, une fois la population de l’île évacuée. Ces faits se déroulent quatre jours avant le défilé de mode de Louis Réard, et le nom de « Bikini » est alors dans tous les journaux et sur toutes les lèvres. Le nouveau modèle fait l’effet d’une bombe, les journalistes sont enthousiastes et le deux-pièces réussit ainsi une entrée fracassante.
Dans les pays catholiques le bikini est considéré comme immoralEn dépit de son succès médiatique, il ne réussit pas à s’imposer tout de suite dans la société. En effet, après sa présentation, il est interdit de séjour sur presque toutes les plages du monde. En 1947, on fonde même une association anti-bikini à Rio de Janeiro ! Et l’Amérique, guère moins prude à l’époque qu’aujourd’hui, ne veut pas en entendre parler.
Les années 1950 sont certainement trop conservatrices pour que le bikini puisse avoir sa chance. En Italie et en Espagne, pays traditionnellement catholiques, le deux-pièces est considéré comme immoral. Les magazines féminins allemands et français le mettent à l’index jusqu’à la fin de la décennie.
Ce n’est que vers le milieu des années 1950 que le bikini refait les gros titres. Il peut dire merci à la blonde peroxydée Diana Dors, une actrice britannique qui fait son apparition au Festival de Venise dans un bikini en vison et à Brigitte Bardot, qui arbore volontiers ce type de maillot dans les années 1950. Mais à l’époque, le bikini n’est porté que par des starlettes ou des pin up. A l’été 1959, certains magazines féminins reviennent sur leur premier jugement et en ont font le « vêtement de la saison » (Vogue). La découverte d’un nouveau matériau, le lycra, ainsi que la fièvre du voyage en Europe permettent également le retour en force du bikini.
Au début des années 1960, on voit encore très peu de bikinis dans les lieux publics. Le tube « Itsy Bitsy petit bikini » contribue certainement à relancer les ventes, tout en évoquant très bien l’esprit de l’époque : « Sur une plage il y avait une belle fille/ Qui avait peur d’aller prendre son bain/ Elle craignait de quitter sa cabine/ Elle tremblait de montrer au voisin… »
La Version originale de Itsy, bitsy, petit bikini, se nome « Itsy bitsy teeny weeny yellow polka dot bikini » elle est de Bryan Hyland (1960).
1962. Ursula Andress fait une entrée on ne peut plus remarquée dans « James Bond 007 contre Dr. No », le premier opus de la série. Elle sort de l’eau habillée d’un deux-pièces ivoire, un poignard accroché à une ceinture et deux coquillages dans les mains. Cette scène culte contribue autant à la célébrité du maillot de bain qu’à celle de l’actrice.
Bikini James Bon 007 contre Dr No
La même année marque la sortie en Amérique du Sud d’une mélodie qui reste jusqu’à nos jours l’hymne international de la plage : « Garota de Ipanema » (La fille d’Ipanema). Cette chanson est un hommage à une jeune fille de 15 ans adepte du bikini, Helôísa Eneida Pinto, qui débute ensuite une carrière de mannequin et de reine de beauté. Ce succès planétaire fait du bikini – surtout dans sa forme très minimaliste – l’uniforme obligatoire sur les plages de Rio de Janeiro.
Les mutations sociales et politiques de la fin des années 1960 finissent par influencer la mode et les maillots de bain de l’époque. Plus aucune morale conservatrice n’empêche les femmes sûres d’elles d’arborer sur les plages des bikinis – de préférence avec des couleurs ou des motifs acidulés.
Au cours de la décennie suivante, le bikini prend des formes très différentes. A une époque, la mode veut que l’on fabrique son deux-pièces soi-même ; après cette période « artisanale », il se décline en différents modèles : tricoté, crocheté, brodé ou bien encore orné de dentelle. Les féministes s’élèvent contre lui, condamnent la mise en avant des attributs féminins et refusent ainsi catégoriquement le soutien-gorge et le bikini. La mode unisexe et le souhait d’un bronzage uniforme conduisent à l’apparition du monokini.
Le bikini met en scène nombril, piercings et tatouagesLa mode du bikini connaît une éclipse au début de la décennie 1980 avec la renaissance soudaine et imprévue du maillot une-pièce. Le deux-pièces n’est plus tendance, il est remplacé par des maillots aux décolletés profonds, très échancrés au niveau des cuisses. Les plages ne sont plus le domaine réservé des maillots de bain et autres bodies, et le bikini se fait de plus en plus rare. Ce n’est qu’à partir de 1987 que les magazines féminins constatent son retour en grâce. Il dévoile désormais moins le corps et se porte avec un bustier. Il est toujours en vogue dans les années 1990, contre vents et marées, car il permet de dévoiler le nombril, les piercings et autres tatouages.
Où en est le bikini au troisième millénaire ? Les magazines féminins, de Elle à Vogue, présentent pour l’été 2007 une mode de plage des plus variée avec des classiques noirs, rouges ou rayés, des bikinis à triangle très minimalistes, des modèles avec de larges culottes, des hauts réduits à leur plus simple expression, de larges bustiers ainsi que des hauts triangles. D’une certaine manière, tous les modèles actuels semblent être inspirés de tendances déjà existantes. Aucune nouveauté révolutionnaire n’est à signaler dans le monde du deux-pièces. Les modèles bien choisis feront certainement leur effet. Le bikini reste une arme de séduction massive.
Plus d’info sur le bikini via wikipedia
Organisation d’évènements hors norme, recherche filles et femmes sexys sachant jouer du pipeau, pour dresser les hampes des oriflammes de nos parlementaires européens. Vous êtes délurée et votre garde robe sait vous habiller pour les galas et vous déshabiller pour satisfaire les gouts des mâles en ut et majeurs.
Les filles et femmes entreprenantes, serons récompensées, à niveau de leur investissement à contenter les invités de marques.
Ci dessous l’annonce officiel.
POP ELEGANZ – Private Party « A la Gloire de l´Empire » 14 Juillet (midi-4h) DescriptionDeux fêtes distinctes, de concepts inédits et décalés, de jour comme de nuit, qui privatisent tout le Quai des Pêcheurs ainsi que la péniche du Rafiot, totalement transformés et redécorés pour l´occasion : du jamais vu au centre ville de Strasbourg…
Pour être sur la Guestlist (13, 14, ou les deux) inscrivez vous en ligne sur www.popeleganz.com
/// Mardi 14 Juillet (midi – 4h du matin): À la Gloire de l´Empire
Fête Nationale, en présence de l´ensemble des parlementaires européens et de leurs attachés. Venez snober la Garden Party de l´Elysée…
- Le Jour de gloire:
Ambiance plage la journée (Ice Creams, Chouchous & Barba papas), Dress Code décontracté.
Sunshine Mix: DJ Miss You (Sexy Dirty House Music) & Pop Eleganz DJs
- La Nuit de gloire:
Dress Code: Tenues de Gala, uniformes, robes de soirées et Ordres du Mérite …
Moonlight Mix: Mr Dibz (l´Entrepôt – Electrohouse & E.B.M.) & Pop Eleganz DJs
- Toute la journée:
Sushis non stop (le Moozé)
Nombreux shows artistiques, bodypainting et bikinis
PAF unique de 10 euros (valable toute la journée et la nuit): un bracelet vous sera remis pour que vous puissiez venir honorer la Nation de jour comme de nuit (dress code du soir: Gala Militaire…)
Organisateur : POP ELEGANZ
du mardi 14 juillet 2009, à 13:00 au mercredi 15 juillet 2009, à 04:00
au Quai des Pêcheurs privatisé, ainsi que tout le Rafiot. Strasbourg, France
C’est un film qui sort le 8 juillet en France, dont je vais vous parler.
C’est un film tout public, mais qui traite d’un sujet, très dans la ligne éditorial de mon blog.
Surtout que l’actrice principale, Sasha Grey vient du monde du porno.
Une gorge profonde par Sasha Grey
Elle est plutôt célèbre pour ses performances lors de scènes de fellations et de gorges profondes, qui lui ont valu le AVN Award catégorie « meilleure fellation » en 2008, dans le film « Babysitters ».
Donc double curiosité…
Le pitchChelsea est call-girl de luxe à Manhattan. A ses clients, elle offre bien plus que de banales relations sexuelles : elle leur propose d’être pour eux la compagne d’un soir.
C’est la « girlfriend experience »…
Chelsea est convaincue de maîtriser sa vie. Son business marche bien, elle gagne 2.000 dollars de l’heure et son petit ami accepte même sa manière de vivre. Mais quand on multiplie les rencontres, on ne sait jamais sur qui l’on va tomber…
Un film de Steven Soderbergh
Avec Sasha Gray, Timothy J. Cox, Jeff Grossman
Durée : 1h17
A la première vision des Anges Exterminateurs, je me suis dit que j’avais vu là un bon film, beau, intriguant, ne versant pas dans le vulgaire. Mais je n’ai pas pour autant perçu l’exceptionnelle transcendance du sujet.
Puis j’ai participé à la rencontre avec le réalisateur Jean-Claude Brisseau (au vidéo-club Hors-Circuits, Paris XI). Premier constat : nombreuses et unanimes sont les femmes à reconnaître ce film comme le premier à avoir pu cerner le plaisir féminin.
Deuxième constat : d’après les rencontres et les anecdotes qu’a pu récolter Brisseau depuis des années, il s’avère, à mon humble surprise, que beaucoup de gens (de femmes) découvrent à travers ce film qu’il est normal de se masturber ou de penser à des choses « osées » ; et qu’ils/elles ne sont donc pas victimes de ce trouble psychologique qu’ils cachaient depuis si longtemps ! Soulagement ! Ce trouble n’en est finalement pas un !
En tant que lectrice ou lecteur de Cinétrange, vous ne vivrez certainement pas le film de cette façon ! Mais il est important de souligner cette étrange utilité du film.
Pour en venir au film en lui-même, l’intrigue se base sur l’histoire d’un réalisateur cherchant des actrices pour un film sur le plaisir féminin, pour des rôles érotiques donc. Brisseau parvient aisément à réaliser un film avec des femmes presque constamment nues sans tomber dans le travers de la vulgarité. Les actrices, dans leurs rôles d’actrices néophytes, sont convaincantes. Elles jouent très bien ce malaise naturel qui se transforme en aisance au fur et à mesure des expériences. Les femmes sont belles. Leurs expériences de plaisir sont intrigantes et font quasiment oublier aux hommes de penser à se concentrer sur leurs poitrines.
Mais que nous apprend le film ? Pas tant que ça, après tout. Pourtant il semble que parfois on passe à côté des évidences et qu’il peut être utile de les rappeler. Et la question est plus complexe et subjective qu’il n’y paraît.
Je citerai l’idée que le fait d’être vue ou observée, si on arrive à le surpasser, devient un catalyseur, un excitant. Pas une idée nouvelle donc. Mais bien développée par Brisseau.
A ce sujet, je pense qu’il n’a pas été noté que cette étude du plaisir féminin est aussi une étude du plaisir humain tout simplement.
Brisseau ne s’est intéressé qu’aux femmes, il n’a pas cherché à comprendre ou à comparer le plaisir masculin. Le film se veut bien être une étude du plaisir féminin. Mais par effet de bord, il touche les hommes dans une certaine mesure.
Pour un homme aussi, les expériences exhibitionnistes pourront probablement lui apporter un certain plaisir.
Les expériences du film seraient bien sûr beaucoup plus difficiles à tenter pour des hommes. Il y a d’abord les raisons culturelles du culte de la virilité : le fait que les femmes nues et les lesbiennes sont bien plus admises que les gays, en particulier dans les films pornos, mais dans la société en général. Idem pour ce qui serait d’affirmer que les hommes peuvent encore apprendre comment prendre du plaisir.
Ensuite, la nature technique du plaisir n’est pas la même chez les hommes non plus et ça y change sans doute beaucoup. Mais il me semble que ce film n’est justement pas d’ordre technique.
Les hommes sont quelque peu écartés de ce film. L’explication est bien sûr que les femmes sont mieux à même de savoir comment donner du plaisir à une autre femme. Mais il ne faudrait pas non plus prendre cela comme l’unique vérité.
D’autant que ce film traite plus de la question d’être à l’aise, de penser à son propre plaisir, d’oublier ce qui se passe autour de soi, que de la recherche d’un point G ou d’un exploit physique.
Les images sont érotiques. Les parties fantastiques qui se collent sur l’intrigue de base apportent une beauté et un mystère, amplifiant l’idée que le plaisir féminin est vraiment mystérieux.
Ce film ressemble incroyablement, dans sa forme, à l’excellent De Bruit Et De Fureur (1986) d’il y a vingt ans (ce dernier traitait d’un tout autre thème, la vie difficile d’un jeune garçon vivant en banlieue, avec une touche de fantastique aussi). Le côté érotique, le plaisir et les expériences féminines ne sont pas sans rappeler, quant à eux, Choses secrètes (2002), du même réalisateur. Brisseau avait donc probablement bien maturé ce film, même s’il indique avoir changé le montage jusqu’après le tournage (allégeant la part du fantastique).
Le fantastique est un artefact qui, à la fois, se glisse allègrement dans l’histoire, et à la fois ne semble pas nécessaire. L’intrigue fantastique et sa construction tragique n’apportent rien directement à la question du plaisir féminin, mais permettent cependant d’insérer des commentaires off (selon les règles de la tragédie) et d’amener la déchéance du réalisateur qui est de plus en plus évidente et inéluctable.
Brisseau savait bien de quoi il parlait, puisque son film s’avère raconter plus ou moins sa propre histoire, a posteriori. Quelques ennuis juridiques et des critiques acérées et polémiques ont été le lot du réalisateur et de son équipe.
La dimension tragique et fantastique servait donc à insérer en filigrane cette critique de la société sur ses positions par rapport au sexe, et au plaisir. Une critique de l’autocensure du cinéma qui déteint sur le public. Car finalement, ce film ne fait que parler d’une chose « banale » : le plaisir (sexuel).
Dvd disponible chez Blaqout